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d’une équation fondamentale de l’exister, dont la
critique
personnaliste a pour objet de rechercher les éléments dans toutes les
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stifiées qu’à titre, si j’ose dire, de métaphores
critiques
, par là même significatives du vrai sujet de cet ouvrage : « L’homme
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une manière de postface : je n’ai pas fait de la
critique
dans cet ouvrage, mais des exercices spirituels. Qu’ils soient d’un a
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donnée ? La tentation est forte, de passer d’une
critique
des collectivités mensongères à l’utopie d’une communauté chrétienne,
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préoccupations religieuses », nous dit-on. Et la
critique
, gênée, passe outre, ou fait de la psychologie. Mais se taire équivau
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s révèle au cours de Journal ; mais le malaise du
critique
commence au-delà de ce premier piège évité. Il naît de la difficulté
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ront pas d’abuser. Voici qui va fort loin dans la
critique
du genre : « Je ne pense pas qu’il y ait grand profit à tirer de ces
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de propriété demeure à mes yeux justiciable de la
critique
de Proudhon.) Décrire le « pays » de Ramuz, c’est aussi décrire sa pe
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itable poète, mais c’est aussi ce qu’une certaine
critique
ne veut point pardonner à Ramuz. Un écrivain français, de tradition c
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roman policier : il n’a pas de psychologie. Et la
critique
parle beaucoup de subjectivité et d’objectivité… Dans le monde de Ram
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ait. Comment les autres la voient-ils ? C’est aux
critiques
qu’il faut s’adresser pour obtenir le troisième document, le point qu
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a personne, au sens où je l’entends ici. La seule
critique
où se révèle un génie qui ressemble au sien, je la trouve dans un des
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le. Maintenant, les objets. Tout ce que le résumé
critique
de la figure n’a pas su dire, nous le retrouvons indiqué dans le chap
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à rejeter tous les intermédiaires culturels, s’il
critique
le machinisme, s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assur