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ulent à son sujet sont justifiés, de même que les
critiques
à la Duhamel et les enthousiasmes à la Jules Romains ; mais rien de t
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tout le contraire d’un développement de l’esprit
critique
et du jugement. N’importe qui, de nos jours, s’il s’intitule savant,
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européens sur l’Amérique. On n’a pas épargné les
critiques
à la politique d’occupation américaine en Allemagne : ils sont trop d
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uons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des
critiques
de ce genre parce qu’ils ne publient rien, interdisent les reportages
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s films américains au lendemain de la guerre. Les
critiques
, les échos de presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollyw
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d’éditeurs où se coudoient auteurs, débutants et
critiques
; donc point de tribunal du goût, de critique parlée, de rumeurs, ou
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et critiques ; donc point de tribunal du goût, de
critique
parlée, de rumeurs, ou de réputations fondées sur le pittoresque, l’e
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manière de poser les problèmes, votre vocabulaire
critique
, vos rythmes et vos procédés. Et pourtant ne serait-ce point cela, au
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’un pain ; ils ne sont pas si enfantins que leurs
critiques
. On ne m’avait pas dit non plus que New York possède, en plus de ces
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» Ces lignes, écrites en Amérique, trahissent une
critique
inconsciente de l’atmosphère du Nouveau Monde : elles en peignent le
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ît qu’elles sont par nature discutables. Certains
critiques
américains déclarent que la jeunesse de leur pays est sex-obsessed, m
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exy, et que l’obsession n’existe que chez lesdits
critiques
. Certains Européens penseraient plutôt de la même jeunesse qu’elle ma
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il cite l’histoire, d’un ordre spirituel quand il
critique
un livre. Ce qu’il ne tolère pas, c’est le mensonge, et là précisémen
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de chacun de mes articles trop favorables ou trop
critiques
sur l’Amérique ! Car le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai.
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ays que je connaisse, l’avantage d’accueillir les
critiques
avec mieux que de la tolérance : avec une volonté souriante mais séri