1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 ulent à son sujet sont justifiés, de même que les critiques à la Duhamel et les enthousiasmes à la Jules Romains ; mais rien de t
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 tout le contraire d’un développement de l’esprit critique et du jugement. N’importe qui, de nos jours, s’il s’intitule savant,
3 européens sur l’Amérique. On n’a pas épargné les critiques à la politique d’occupation américaine en Allemagne : ils sont trop d
4 uons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des critiques de ce genre parce qu’ils ne publient rien, interdisent les reportages
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 s films américains au lendemain de la guerre. Les critiques , les échos de presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollyw
6 d’éditeurs où se coudoient auteurs, débutants et critiques  ; donc point de tribunal du goût, de critique parlée, de rumeurs, ou
7 et critiques ; donc point de tribunal du goût, de critique parlée, de rumeurs, ou de réputations fondées sur le pittoresque, l’e
8 manière de poser les problèmes, votre vocabulaire critique , vos rythmes et vos procédés. Et pourtant ne serait-ce point cela, au
9 ’un pain ; ils ne sont pas si enfantins que leurs critiques . On ne m’avait pas dit non plus que New York possède, en plus de ces
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
10 » Ces lignes, écrites en Amérique, trahissent une critique inconsciente de l’atmosphère du Nouveau Monde : elles en peignent le
11 ît qu’elles sont par nature discutables. Certains critiques américains déclarent que la jeunesse de leur pays est sex-obsessed, m
12 exy, et que l’obsession n’existe que chez lesdits critiques . Certains Européens penseraient plutôt de la même jeunesse qu’elle ma
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
13 il cite l’histoire, d’un ordre spirituel quand il critique un livre. Ce qu’il ne tolère pas, c’est le mensonge, et là précisémen
14 de chacun de mes articles trop favorables ou trop critiques sur l’Amérique ! Car le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai.
15 ays que je connaisse, l’avantage d’accueillir les critiques avec mieux que de la tolérance : avec une volonté souriante mais séri