1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 taquer la cause des prolétaires, et tout essai de critique libre se voit taxé de réaction. Cette mauvaise foi brutale en service
2 st-à-dire : une mesure de l’homme, un principe de critique permanente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombr
3 agement personnel, libre, efficace et constamment critique . Et je ne dis pas cela dans l’abstrait ; j’ai en vue des exemples pré
4 de encore l’apanage du scepticisme et de l’esprit critique . Les Églises, autrefois, les redoutaient ; je pense qu’elles doivent
5 es doivent aujourd’hui les nourrir, si cet esprit critique , ce scepticisme, s’appliquent aux mystiques de l’État et du Parti div
6 en constater que presque tout les gêne : l’esprit critique les gêne, les différences individuelles les gênent, l’opinion libre e
7 re, a besoin de l’Europe, j’entends de son esprit critique autant que de son sens inventif. La pensée du monde, c’est l’Europe.
2 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
8 hambre des communes. Des mémoires, suggestions et critiques nous furent envoyés de toutes parts. Et des contacts étroits furent é
9 mmune de l’homme et de sa destinée se fonde cette critique alternée de l’individualisme et du collectivisme, renaissant à toutes
10 vernements ; 3. D’exercer une action de vigilance critique pour assurer ou restaurer la juste valeur des mots sans lesquels aucu