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taquer la cause des prolétaires, et tout essai de
critique
libre se voit taxé de réaction. Cette mauvaise foi brutale en service
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st-à-dire : une mesure de l’homme, un principe de
critique
permanente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombr
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agement personnel, libre, efficace et constamment
critique
. Et je ne dis pas cela dans l’abstrait ; j’ai en vue des exemples pré
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de encore l’apanage du scepticisme et de l’esprit
critique
. Les Églises, autrefois, les redoutaient ; je pense qu’elles doivent
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es doivent aujourd’hui les nourrir, si cet esprit
critique
, ce scepticisme, s’appliquent aux mystiques de l’État et du Parti div
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en constater que presque tout les gêne : l’esprit
critique
les gêne, les différences individuelles les gênent, l’opinion libre e
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re, a besoin de l’Europe, j’entends de son esprit
critique
autant que de son sens inventif. La pensée du monde, c’est l’Europe.