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de même pour le mythe : son énoncé désarme toute
critique
, réduit au silence la raison, ou tout au moins, la rend inefficace. O
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r origine et leur portée pour les soustraire à la
critique
, il n’y aurait pas besoin de mythe. On pourrait se contenter d’une lo
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« profane », et elles ont donc tout à gagner à la
critique
individuelle. Mais nous avons besoin d’un mythe pour exprimer le fait
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radiction. Ainsi se trouvent mises à l’abri de la
critique
certaines réalités humaines que nous sentons ou pressentons fondament
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éveil par cette première question, notre méfiance
critique
ne tarde pas à découvrir d’autres énigmes, non moins curieuses et obs
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nte qu’en vertu d’une coutume paresseuse de notre
critique
littéraire. En vérité, elle ne répond à rien. Elle nous ramène simple
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est assez facile d’éliminer, par une comparaison
critique
, les fantaisies individuelles des cinq auteurs. Dans l’analyse du con
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q versions. Je tiens compte également des travaux
critiques
plus récents de MM. E. Muret et E. Vinaver. 8. Vers 1412-1415 : A