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cy, et datant de 1748, le roi Stanislas Leczinski
critique
lui aussi le Projet de l’abbé, et propose que le roi de France prenne
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et philosophiques, autant de prises de conscience
critiques
du rôle de l’Europe dans le monde. Le xviiie siècle marque ainsi le
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cilien à l’un de ses amis, contenant une agréable
critique
de Paris et des Français, 1700 et 1710. 119. Gregorio Leti, Histori
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lié seulement après sa mort, Rousseau formule des
critiques
plus sévères. Pour l’abbé, c’est aux princes souverains qu’il apparti
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e 1800 intitulé Über den ewigen Frieden, c’est la
critique
lucide (quoique exagérément pessimiste) des diverses doctrines europé
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9). Reste donc la solution fédérative. C’est à sa
critique
d’abord sympathique puis de plus en plus sceptique que Gentz consacre
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nière instance, à tous les contentieux. Suit une
critique
du Rousseau de L’Extrait : S’il était vrai, comme dit Rousseau, que
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d’aggraver ses conditions — ici Gentz reprend la
critique
de Burke et de Bonald — tout ce que l’on est en droit d’espérer et de
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positive 190 Comte entend donner une solide base
critique
à son européisme, en concentrant son « analyse scientifique » sur une
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elle de 1867, il a des phrases qui découragent la
critique
: Ces yeux saturés de nuit viennent regarder la vérité… Ils savent q
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orges Sorel, en passant par Proudhon et Renan, la
critique
virulente et hautaine du « pays du dollar » et de son « matérialisme
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ccident, était théorie scientifique, sujette à la
critique
, hypothèse, ou, en tout cas, vérité relative et partielle, sans préte
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es, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs
critiques
et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la t
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ques et leurs symbolistes, leurs critiques et les
critiques
de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente es
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listes, leurs critiques et les critiques de leurs
critiques
. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres,
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u’il s’agisse de la valeur des témoignages, de la
critique
des textes, des sources et des garanties de la connaissance ; qu’il s
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production vague et purement imaginaire, par une
critique
et une analyse minutieuse de ses jugements, par une division rationne
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illité d’opinions faites une fois pour toutes. Sa
critique
impitoyable révèle des faits et des possibilités. Mais sa liberté cri
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le des faits et des possibilités. Mais sa liberté
critique
se retourne aussi à tout moment contre elle-même. Elle éclaire ses mé
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éruption, quitte à perdre la vie. C’est l’esprit
critique
qui s’élève contre la superstition, cet esprit que célèbre Lucrèce en
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iculière et contingente, le seul qui résiste à la
critique
et qui représente pour la société humaine le point autour duquel, dan
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st-à-dire : une mesure de l’homme, un principe de
critique
permanente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombr
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s. Laissons d’abord un autre Anglais, le poète et
critique
Stephen Spender, nous rappeler que les torts de l’Europe, bien réels,
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européen eût sa source dans un esprit de liberté
critique
, générateur de créations sans cesse renouvelées parce que sans cesse
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aurait plus qu’une seule culture uniforme. Je ne
critique
pas tel ou tel projet d’organisation mondiale. Ces projets relèvent d
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ence particulière qu’il possède… Je suis poète et
critique
de la poésie. Je tenterai de montrer ce que cette profession peut avo
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notre génie d’invention est intact. Nos méthodes
critiques
doivent à leurs principes mêmes de pouvoir toujours s’adapter aux cir
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ts. Nous n’avons pas le droit de nous borner à la
critique
, nous avons le devoir de contribuer à l’élaboration de nos destins po