1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
1 cy, et datant de 1748, le roi Stanislas Leczinski critique lui aussi le Projet de l’abbé, et propose que le roi de France prenne
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
2 et philosophiques, autant de prises de conscience critiques du rôle de l’Europe dans le monde. Le xviiie siècle marque ainsi le
3 cilien à l’un de ses amis, contenant une agréable critique de Paris et des Français, 1700 et 1710. 119. Gregorio Leti, Histori
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
4 lié seulement après sa mort, Rousseau formule des critiques plus sévères. Pour l’abbé, c’est aux princes souverains qu’il apparti
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
5 e 1800 intitulé Über den ewigen Frieden, c’est la critique lucide (quoique exagérément pessimiste) des diverses doctrines europé
6 9). Reste donc la solution fédérative. C’est à sa critique d’abord sympathique puis de plus en plus sceptique que Gentz consacre
7 nière instance, à tous les contentieux. Suit une critique du Rousseau de L’Extrait : S’il était vrai, comme dit Rousseau, que
8 d’aggraver ses conditions — ici Gentz reprend la critique de Burke et de Bonald — tout ce que l’on est en droit d’espérer et de
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
9 positive 190 Comte entend donner une solide base critique à son européisme, en concentrant son « analyse scientifique » sur une
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
10 elle de 1867, il a des phrases qui découragent la critique  : Ces yeux saturés de nuit viennent regarder la vérité… Ils savent q
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
11 orges Sorel, en passant par Proudhon et Renan, la critique virulente et hautaine du « pays du dollar » et de son « matérialisme 
12 ccident, était théorie scientifique, sujette à la critique , hypothèse, ou, en tout cas, vérité relative et partielle, sans préte
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
13 es, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la t
14 ques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente es
15 listes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques . Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres,
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
16 u’il s’agisse de la valeur des témoignages, de la critique des textes, des sources et des garanties de la connaissance ; qu’il s
17 production vague et purement imaginaire, par une critique et une analyse minutieuse de ses jugements, par une division rationne
18 illité d’opinions faites une fois pour toutes. Sa critique impitoyable révèle des faits et des possibilités. Mais sa liberté cri
19 le des faits et des possibilités. Mais sa liberté critique se retourne aussi à tout moment contre elle-même. Elle éclaire ses mé
20 éruption, quitte à perdre la vie. C’est l’esprit critique qui s’élève contre la superstition, cet esprit que célèbre Lucrèce en
21 iculière et contingente, le seul qui résiste à la critique et qui représente pour la société humaine le point autour duquel, dan
22 st-à-dire : une mesure de l’homme, un principe de critique permanente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombr
23 s. Laissons d’abord un autre Anglais, le poète et critique Stephen Spender, nous rappeler que les torts de l’Europe, bien réels,
24 européen eût sa source dans un esprit de liberté critique , générateur de créations sans cesse renouvelées parce que sans cesse
25 aurait plus qu’une seule culture uniforme. Je ne critique pas tel ou tel projet d’organisation mondiale. Ces projets relèvent d
26 ence particulière qu’il possède… Je suis poète et critique de la poésie. Je tenterai de montrer ce que cette profession peut avo
27 notre génie d’invention est intact. Nos méthodes critiques doivent à leurs principes mêmes de pouvoir toujours s’adapter aux cir
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
28 ts. Nous n’avons pas le droit de nous borner à la critique , nous avons le devoir de contribuer à l’élaboration de nos destins po