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mme de répondre. Nous pourrions nous livrer à des
critiques
du même genre au sujet d’un grand nombre de notions chrétiennes que l
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trêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des
critiques
de l’extérieur. Renaissance du thomisme et des études mystiques chez
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de sabotage ceux qui maintiennent une attitude de
critique
exigeante ou un sens normal de la justice. En outre, la guerre a touj
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ntive à préserver les droits et les devoirs de la
critique
théologique sur tous les plans et pas seulement d’une façon négative
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quences sociales et communautaires. La principale
critique
que l’on puisse adresser à ce point de vue est la suivante : une idéo
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udié, ni par les docteurs de l’Église, ni par les
critiques
littéraires. Et cependant comment en nier l’importance, dans un siècl
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uter que les théologiens se mettent à faire de la
critique
littéraire, comme il arrive qu’on en lise sous leur nom dans les revu
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alité ». Mon idée serait bien plutôt d’exiger des
critiques
littéraires un minimum de connaissances théologiques, dont ils se mon
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rtains d’entre eux se consacrent à l’examen, à la
critique
et même, cas échéant, à une sorte de direction spirituelle des tendan
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irection de recherches peut-être féconde. 10. Une
critique
théologique de la littérature devra mettre en garde son public contre
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qu’un certain sens se manifeste ou se révèle. Les
critiques
ou le public, ou parfois l’artiste lui-même essaieront ensuite de « d
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r être égal à sa mission, il devient clair que la
critique
, l’évaluation des œuvres d’art, doit porter d’une part sur le métier
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ées et révélées par ces moyens. C’est dire que la
critique
devrait être à la fois technique d’une part, et d’autre part métaphys
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de l’artiste Je sens bien qu’en parlant d’une
critique
théologique des œuvres d’art, je choquerai non seulement l’immense ma
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tombe d’accord. Notez que je ne dis pas que cette
critique
théologique serait nécessairement l’affaire des théologiens. Ils y so
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sentent ? Et n’aurait-on pas là le principe d’une
critique
théologique du développement des arts ? Il est certain que si c’était
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de la famille puis sa réfection systématique ; la
critique
acerbe de la SDN puis l’entrée dans cet organisme ? Tout cela peut s’
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ée dans l’homme pour être atteinte par une simple
critique
philosophique28. Or cette critique philosophique est la seule arme do
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par une simple critique philosophique28. Or cette
critique
philosophique est la seule arme dont il disposerait sur le plan de l’
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s à côté de ce qui est essentiel chez Marx. Je ne
critique
pas une erreur contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez mar
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Erreur sur la personne — dans mon vocabulaire. Ma
critique
porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste por
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e porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la
critique
marxiste porte sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxi
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, c’est-à-dire Barth et Marx !35 C’est ici qu’une
critique
proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites
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u communisme n’est justiciable, en soi, que d’une
critique
politique, économique, historique, etc.36 Et je ne vois pas que le ch
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ce qui tombe directement sous le coup de la seule
critique
théologique, ce sont les buts derniers du communisme et les postulats
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et abstrait » (Thèses sur Feuerbach). 24. Marx,
Critique
de la philosophie hégélienne du droit. 25. Au sens le plus large du
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vu le grand réveil piétiste. 28. « L’armée de la
critique
ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique
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ée de la critique ne peut évidemment remplacer la
critique
des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en
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idemment remplacer la critique des armes » (Marx,
Critique
de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne
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Christ. La « doctrine » n’est ainsi qu’une mesure
critique
que l’Église prend de son message sous le rapport de sa fidélité à so
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Révolution nécessaire, par Aron et Dandieu, et sa
critique
de la notion d’échange chez Marx.) 37. « Les pharisiens lui ayant de
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opium. Un tel fait donne raison en apparence à la
critique
marxiste. En vérité, il ne donne tort qu’à l’homme, non à la foi dont
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omme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les
critiques
que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du xviiie siècle