1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 mme de répondre. Nous pourrions nous livrer à des critiques du même genre au sujet d’un grand nombre de notions chrétiennes que l
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
2 trêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et des études mystiques chez
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
3 de sabotage ceux qui maintiennent une attitude de critique exigeante ou un sens normal de la justice. En outre, la guerre a touj
4 ntive à préserver les droits et les devoirs de la critique théologique sur tous les plans et pas seulement d’une façon négative
5 quences sociales et communautaires. La principale critique que l’on puisse adresser à ce point de vue est la suivante : une idéo
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
6 udié, ni par les docteurs de l’Église, ni par les critiques littéraires. Et cependant comment en nier l’importance, dans un siècl
7 uter que les théologiens se mettent à faire de la critique littéraire, comme il arrive qu’on en lise sous leur nom dans les revu
8 alité ». Mon idée serait bien plutôt d’exiger des critiques littéraires un minimum de connaissances théologiques, dont ils se mon
9 rtains d’entre eux se consacrent à l’examen, à la critique et même, cas échéant, à une sorte de direction spirituelle des tendan
10 irection de recherches peut-être féconde. 10. Une critique théologique de la littérature devra mettre en garde son public contre
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
11 qu’un certain sens se manifeste ou se révèle. Les critiques ou le public, ou parfois l’artiste lui-même essaieront ensuite de « d
12 r être égal à sa mission, il devient clair que la critique , l’évaluation des œuvres d’art, doit porter d’une part sur le métier
13 ées et révélées par ces moyens. C’est dire que la critique devrait être à la fois technique d’une part, et d’autre part métaphys
14 de l’artiste Je sens bien qu’en parlant d’une critique théologique des œuvres d’art, je choquerai non seulement l’immense ma
15 tombe d’accord. Notez que je ne dis pas que cette critique théologique serait nécessairement l’affaire des théologiens. Ils y so
16 sentent ? Et n’aurait-on pas là le principe d’une critique théologique du développement des arts ? Il est certain que si c’était
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
17 de la famille puis sa réfection systématique ; la critique acerbe de la SDN puis l’entrée dans cet organisme ? Tout cela peut s’
18 ée dans l’homme pour être atteinte par une simple critique philosophique28. Or cette critique philosophique est la seule arme do
19 par une simple critique philosophique28. Or cette critique philosophique est la seule arme dont il disposerait sur le plan de l’
20 s à côté de ce qui est essentiel chez Marx. Je ne critique pas une erreur contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez mar
21 Erreur sur la personne — dans mon vocabulaire. Ma critique porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste por
22 e porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste porte sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxi
23 , c’est-à-dire Barth et Marx !35 C’est ici qu’une critique proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites
24 u communisme n’est justiciable, en soi, que d’une critique politique, économique, historique, etc.36 Et je ne vois pas que le ch
25 ce qui tombe directement sous le coup de la seule critique théologique, ce sont les buts derniers du communisme et les postulats
26 et abstrait » (Thèses sur Feuerbach). 24. Marx, Critique de la philosophie hégélienne du droit. 25. Au sens le plus large du
27 vu le grand réveil piétiste. 28. « L’armée de la critique ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique
28 ée de la critique ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en
29 idemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne
30 Christ. La « doctrine » n’est ainsi qu’une mesure critique que l’Église prend de son message sous le rapport de sa fidélité à so
31 Révolution nécessaire, par Aron et Dandieu, et sa critique de la notion d’échange chez Marx.) 37. « Les pharisiens lui ayant de
32 opium. Un tel fait donne raison en apparence à la critique marxiste. En vérité, il ne donne tort qu’à l’homme, non à la foi dont
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
33 omme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les critiques que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du xviiie siècle