1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 par rotation.) Mais elle invente aussi l’analyse critique et la conduit à ses dernières conséquences : l’idée de l’atome et cel
2 origines. Car la liberté, pour le Grec, c’est la critique frondeuse, l’acte civique, ou le risque individuel ; pour le chrétien
3 ont lus avec vénération, c’est-à-dire sans esprit critique , et ceci les distingue absolument de nos écrits européens. Les Orient
4 pe risque d’être détruite par ce qui tue l’esprit critique , déprime le goût de la liberté, étouffe le cri de la justice, plus sû
5 s modernes ont substitué la promotion de l’esprit critique en vue de l’autonomie individuelle. Le dressage consistait dans un co
6 l’ignorance au savoir, de l’instinct à la raison critique , du royaume du sacré indiscutable et protecteur vers l’aventure perso
7 nt de l’histoire, constitution d’archives, examen critique du passé, leçons qu’on en tire, renouvellement des arts, sujets de ro
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
8 s étroitement spécialisé et adapté sans nul souci critique à sa fonction dans l’actuelle société. Mais la révolte actuelle des é
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
9 cité, mais ces confusions sont stériles, et leur critique impitoyable peut être à la rigueur féconde. 35. Critique fédéralis
10 mpitoyable peut être à la rigueur féconde. 35. Critique fédéraliste du nationalisme Nietzsche, témoin de la montée de nos
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
11 ire, comme tant d’autres. On le soustrait à toute critique , à toute contestation, réputées trahisons, jugées comme telles. On en
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
12 ible au cœur » ? Où trouver aujourd’hui une bonne critique du niveau de vie ? Dans Marcuse ? Dans François Perroux ? Ce niveau r