1 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
1 s encore des jérémiades sur le déclin de l’esprit critique et l’abandon des grands principes. « C’est inconcevable ! » opineront
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
2 d parce qu’elle est le seul régime qui tolère une critique railleuse. Ensuite, parce que l’humour est nécessaire pour la bonne m
3 ntimement persuadé que la démocratie dépérit sans critique , dénonce d’avance comme totalitaires ceux qui verront dans les procha
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
4 mpères. Ils observaient le Philanthrope, d’un œil critique . Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une cigarette, dans un an
4 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
5 on spirituelle, et cela s’appelait droit de libre critique . Tout cela s’explique et des générations de romanciers nous ont montr
5 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
6 on puisse lui faire, et je m’étonne que si peu de critiques s’en soient avisés jusqu’ici… diable et Invention. — À Madrid, dans
7 e haïr le diable. — La plus grave, peut-être, des critiques que je me fais, c’est d’avoir pu donner l’impression que je me croyai
8 complémentaires, telles qu’invention et négation critique , synthèse instantanée et analyse par la durée ; mais aussi leurs résu