1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e qu’on en peut retenir, c’est la méthode, car je crois qu’elle sert mieux la démocratie que l’Église romaine, quoi qu’en pen
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 esseurs suisses et français. Miracle qui nous fit croire un instant à la fameuse devise de la Révolution. d. « Conférences d
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 plus protestant — mais oui, M. Journet — et je ne crois pas qu’il puisse se produire ailleurs qu’en terre romande. C’est l’es
4 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 onc la foi ? » Mais c’est encore une question… Je crois qu’il ne faut pas attendre immobile dans sa prière, qu’une révélation
5 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
5 éconçu. (Cette attitude est plus rare qu’on ne le croit , de nos jours.) M. Esmonin montra avec beaucoup de clarté comment, en
6 iques. Et les statistiques faussées peuvent faire croire à une très forte diminution du nombre des protestants. Aussi ne s’eff
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 d’hôtel en collaboration avec Paul Donzé. Qui eût cru que ce paysagiste plutôt impressionniste s’astreindrait jamais aux ex
8 qui vouent tout leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Paul Donzé touché à son tour par la grâce décorative, il n’
9 nie mélancolique et qui voient plus loin qu’on ne croit , mais il a toujours l’air de songer à la Hollande, sa seconde patrie
10 p des meilleurs de nos artistes. Mais n’allez pas croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y a une sorte d’aristocrati
11 vélant un tempérament très rassurant. C’était, je crois , le vrai Humbert qui commençait à s’affirmer. Puis il y eut une pério
12 ent et d’une abondance très sûrement ordonnée. Je crois qu’on doit beaucoup attendre de ce tempérament qui fait jaillir en lu
7 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 is me cramponner à cette espèce de bonheur qu’ils croient lié à la possession, et que j’allais vivre aussi sur le dogme l’argen
14 r le dogme l’argent-fait-le-bonheur. En somme, tu croyais que j’allais adhérer à l’idéologie socialiste, gros farceur, va. Quan
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
15 avec un sentiment religieux de la beauté. Mais je crois que l’Orient est devenu fou. Il ne comprend plus rien. » Des bugles a
16 sions, — illusions des formes passagères que nous croyons seules réelles, illusions des reflets qui ne livrent que le côté terr
17 ut ce qu’il y a sous le soleil, et même ailleurs. Croyez -moi, ce qu’il faudrait écrire, c’est une Vie simultanée de Gérard, qu
9 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
18 e amie d’une beauté de plus en plus frappante, il croit saisir dans un regard de cette femme l’écho de ce qui serait lui. Déj
10 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
19 in errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux croit -on), est frappé d’insolation ; sa folie d’un coup l’envahit. C’est un
20 èvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie.
11 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
21 e, après lecture de ses œuvres, si M. Brunschwicg croit ou non à la divinisation finale de l’homme par le progrès des science
22 ans les « milieux » littéraires, l’un parce qu’il croit tout à fait, l’autre parce qu’il ne croit pas du tout, le troisième p
23 e qu’il croit tout à fait, l’autre parce qu’il ne croit pas du tout, le troisième parce qu’il croit ou ne croit pas selon les
24 il ne croit pas du tout, le troisième parce qu’il croit ou ne croit pas selon les sautes brusques de son tempérament. Attendo
25 pas du tout, le troisième parce qu’il croit ou ne croit pas selon les sautes brusques de son tempérament. Attendons encore un
12 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
26 tacitement toute forme de vie, et explicitement — croyons -nous — certaines expériences particulières, telles que les rêves (à l