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usionnistes » à ces terroristes de café. À les en
croire
, il n’y aurait rien d’autre à faire que d’installer des mitrailleuses
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les gigolos drogués qui parlent de dialectique et
croient
que Hegel est arrivé, tous ceux qui haïssent la religion parce qu’ell
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’hui avec horreur la prétendue « solidarité ». Je
crois
d’ailleurs avoir indiqué nettement, à la fin de l’enquête, pourquoi c
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s la jeunesse française existe-t-elle ? On put le
croire
vers 1925. C’était, l’on s’en souvient, le temps de l’inquiétude. Le
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neur, la route n’est pas si pénible qu’on peut le
croire
: elle comporte moins de sacrifices que de prix littéraires et de cou
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craintes du bon père : personne en France ne peut
croire
sérieusement aux vertus « révolutionnaires » d’une doctrine destinée
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destinée à périr avec le système régnant, qu’elle
croit
combattre, et dont elle figure le dernier stade de décomposition spir
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théoriciens du suffrage universel, tout le monde
croit
aujourd’hui que c’est quelque chose de très simple, une évidence, une
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s dans l’illusion d’une synthèse qu’elles veulent
croire
transitive, conciliant les contradictions réelles sur le plan tout ab
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ctrines de la Révolution nécessaire. Fernandez ne
croit
pas à l’existence concrète14 de la personne telle que nous la définis
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que dans un paradoxe ; il est perdu lorsqu’il se
croit
sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce parad
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: car si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il
croit
, c’est qu’il est dans la foi ; mais être dans la foi, c’est faire la
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de tracts et de brochures, dont la diffusion, je
crois
, est restée assez limitée. Cette tentative désespérée n’est pas sans
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tains cerveaux, les plus graves malentendus. On a
cru
, ou feint de croire, qu’il ne s’agissait là que d’un « spiritualisme
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es plus graves malentendus. On a cru, ou feint de
croire
, qu’il ne s’agissait là que d’un « spiritualisme ». De même, on a tro
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nouveau » est beaucoup plus considérable qu’on le
croirait
à lire la presse politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeun
17
nfluencer toutes nos tentatives de rénovation. Je
crois
bien n’être pas sorti du cadre précis de cette enquête en marquant la
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permettra de « faire la France protestante ». Je
croirais
davantage à la vertu d’une théologie fidèle à la Réforme. Mais, juste
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ant que chrétien, dans un parti parlementaire. Je
crois
que seul le lieu que nous avons choisi pour notre action, nous sépare
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énement, et qu’il en est encore tout remué. On le
croira
sans peine : il n’a pas l’air d’avoir pu inventer ce qu’il raconte. C
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. Double reproche, plus grave que Koch ne veut le
croire
. C’est en vain qu’il s’efforce tardivement d’en limiter la portée. La
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ement. Elle ne connaît rien que des formes, et ne
croit
rien que ce qui apparaît. « Rien n’est, dit-elle qui ne se manifeste
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e, la vision est le monde de la physionomie23. Je
crois
bien que le psychologue s’est introduit dans la vision, s’est install
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es, à ces catégories morales ou sociales que nous
croyons
« toutes naturelles ». Une forme peut être seulement interprétée, sym
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me décadent des symbolistes. Je suis bien loin de
croire
que cette pensée ait épuisé sa vérité. Je la vois même promise à une
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ces deux temps de l’action, et qu’on n’aille pas
croire
que L’ON n’a pas établi ses constructions sur une enquête permanent
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e moins du monde nuisible au mouvement, mais nous
croyons
avoir, pour le moment, tout autre chose à faire. Dans les 32 pages de
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sur mon compte et ridiculiserez la cause que vous
croyez
défendre. D’accord avec les Izvestia et votre ambassadeur de la rue d
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ées, est-il bien nécessaire à ce beau livre33. Je
crois
que Montherlant se fait du tort chaque fois qu’il entreprend de s’exp
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Quelle est l’attitude pratique que Montherlant a
cru
bon d’adopter ? C’est celle du clerc — il dirait : du poète —, qui se
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ot d’agréable ne prête pas ici à confusion ? L’on
croirait
qu’il s’agit simplement de ce qui peut amuser l’auteur. Mais « un écr