1
n’est pas sur ces voies que vous m’interrogez, je
crois
. c. « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? Réponse d
2
onnement. Ce n’est pas, comme certains veulent le
croire
, un moyen terme entre anarchie et tyrannie, c’est au contraire l’équi
3
t trop ce qui est dit par Hitler et ce qui est du
cru
de l’auteur. Enfin, le chapitre sur les Églises et la religion est su
4
urs causes. Le reste de votre jury m’inciterait à
croire
que j’y ai partiellement réussi : car enfin, vous les jeunes, mes cad
5
lemands ! Certain « curieux » hebdomadaire romand
crut
devoir déclarer récemment que du seul fait que je vivais en France, j
6
pparue dès que vous êtes arrivé en Allemagne ? Je
crois
l’avoir discernée peu à peu, mais assez vite. Cependant, elle ne s’es
7
cette réunion, j’avais dit à quelqu’un : « Vous y
croyez
, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas une formule grand
8
un cantique. C’est alors que j’ai compris. Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
9
t comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions
croire
à quelque chose, nous voulions vivre pour quelque chose. Nous avons é
10
s à celui qui nous apportait cette possibilité de
croire
. Le christianisme, probablement par la faute de ses ministres, ne sat
11
isfaisait plus depuis bien longtemps au besoin de
croire
de la majorité du peuple. Nous voulions croire à la mission du peuple
12
de croire de la majorité du peuple. Nous voulions
croire
à la mission du peuple allemand. Nous voulions croire à l’immortalité
13
re à la mission du peuple allemand. Nous voulions
croire
à l’immortalité du peuple et peut-être réussirons-nous à y croire. »
14
talité du peuple et peut-être réussirons-nous à y
croire
. » Voilà qui dit bien où est la force de l’Allemagne nouvelle. Quelle
15
st la force de l’Allemagne nouvelle. Quelle force
croyez
-vous donc qu’on puisse opposer à cette force-là ? Rien d’efficace, si
16
la foi. Mais la vraie lutte commence là. » Et je
crois
toujours que le problème est là : c’est celui d’une renaissance spiri
17
et déçue, et qui cherchait partout des raisons de
croire
et d’espérer, des raisons de se dévouer corps et âme à un absolu. Il
18
ion, ne puis-je m’empêcher de compléter. Je ne le
crois
pas, réplique Denis de Rougemont. La passion a des racines naturelles
19
le communément un sujet d’actualité, parce que je
crois
que la véritable signification des questions qui se posent au niveau
20
parce qu’un homme a osé, quand tout était perdu,
croire
encore au miracle et l’accomplir ! Le message de l’ermite du Ranft pr
21
ls pas su ? Parce que tous ils s’imaginaient — ou
croyaient
devoir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un peuple dépenden
22
ement sa vie dans une profession libérale ? On le
croit
souvent. Pour ma part, je ne l’ai jamais cru, et aujourd’hui moins qu
23
le croit souvent. Pour ma part, je ne l’ai jamais
cru
, et aujourd’hui moins que jamais. Ce n’est pas à l’Université que j’a
24
ante saveur. Je sais : toutes les générations ont
cru
qu’elles étaient la dernière à cultiver le romantisme. La nôtre se cr
25
la dernière à cultiver le romantisme. La nôtre se
crut
la première, parce qu’elle était horriblement surréaliste ! J’ignore
26
oire peut-être intempestive ? Le problème est, je
crois
, d’autant plus actuel que les menaces qui pèsent aujourd’hui sur l’Ég
27
’individu. Contrairement à ce que peut nous faire
croire
une certaine polémique réactionnaire, l’individu n’est pas une invent
28
ntemporaine donne raison au réformateur. Et je ne
crois
pas être infidèle à sa pensée en y ajoutant cette précision : ce n’es
29
plus ni Juifs ni Grecs. Elle ne demande pas : que
crois
-tu ? qu’espères-tu ? mais elle demande : quels sont tes morts ? Relig
30
l’empreinte d’une personne sur un individu qui ne
croit
plus à sa vocation, et qui a simplement été formé par une éducation e
31
dualiste. Un dernier exemple vous fera sentir, je
crois
, toute l’importance pratique de cette distinction entre personne et p
32
e manuels, — et en même temps un peu d’argent, je
crois
. Tant pis pour les manuels et tant mieux pour l’argent. Mais il y a s
33
qui sont pleins de projets et d’espoirs, qui ont
cru
en septembre 1939 que notre mobilisation allait ouvrir des possibilit
34
les mêmes droits à l’existence ». Autrefois, l’on
croyait
volontiers que chaque État était voulu de Dieu, et qu’il jouissait pa
35
historique ». Pour peu qu’elle arrive à le faire
croire
, soit aux masses, soit plutôt à certains dirigeants, la victoire lui
36
Suisses se délivrèrent d’un tyran. Ils purent se
croire
libres un moment : mais le soleil fécond fit éclore du cadavre de l’o
37
ent ne se saluent plus ! On dirait presque qu’ils
croient
que l’autre, celui qui pense différemment, doit être un type dangereu
38
pas de leurs yeux, et par suite, ne veulent pas y
croire
. Ils prétendent tenir compte uniquement de ce qui est inscrit dans no
39
ns la mesure où nous les appellerons, où nous les
croirons
justes et nécessaires. Peut-être est-il encore trop tôt pour mobilise
40
j’ai tout semé comme d’habitude, et on verra ! —
Croyez
-vous donc qu’ils vous laisseront tranquilles, les fascistes, si c’est
41
ra là, il sera temps d’y penser. » C’est qu’il ne
croit
pas à la guerre. Un second : « Comment penser à autre chose qu’à cett
42
ne point se laisser surprendre. » C’est qu’il ne
croit
plus à la paix. Tous les deux ont de bonnes raisons. Car il est vrai
43
ui ne s’en montrent que plus « durs ». Cet excité
croit
-il vraiment à ses idées ? — Je pense bien, me dit-on. Il n’hésiterait
44
s, c’est ce qui rend sa perte insupportable à qui
croyait
le posséder. Nos haines… Pourquoi la haine, par exemple, de tel régim
45
mois ? Serait-ce à cause de la menace ? Je ne le
crois
pas. S’il n’y avait pas un bien, dans ce régime, un bien que nous avo
46
u’une troupe désordonnée, incapable — du moins le
croyait
-on — d’affronter les armées régulières. 7 juin 1939 Ce restaurant où
47
e, et l’entretien de son attente ardente ? Si j’y
croyais
vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout lieu !
48
uffisait-il d’y penser ? Non, mais il suffira d’y
croire
. Il est dit : si tu crois, tu vivras. aa. « D’un journal d’attente
49
n, mais il suffira d’y croire. Il est dit : si tu
crois
, tu vivras. aa. « D’un journal d’attente (pages démodées) », Formes
50
e précipice était prévu. Mais encore fallait-il y
croire
. Or le matérialisme modéré dans lequel nous étions installés nous met
51
inconscience, j’en dirai la cause : celui qui ne
croit
pas en Dieu ne sait pas non plus croire au diable, et ne sait pas le
52
lui qui ne croit pas en Dieu ne sait pas non plus
croire
au diable, et ne sait pas le reconnaître, fût-il aussi mal déguisé qu
53
que Dieu malgré tout nous aime. Si nous avions su
croire
en lui pendant le temps de sa patience, nous aurions eu « des yeux po
54
es, qui n’ont pas su imaginer le mal parce qu’ils
croyaient
au bien fait de main d’homme. Mea culpa des militaristes, qui n’ont p
55
elle conquiert. Mea culpa des gens de droite, qui
croyaient
pouvoir conserver des privilèges hérités, tout en admirant et soutena
56
ui l’engendrèrent, aux libéraux qui ne peuvent en
croire
leurs yeux. Avis aux Suisses. Les Suisses ont quelque chose à faire,
57
ne survivra aux révolutions actuelles que si elle
croit
à son avenir, à sa mission — qui seule la rend indispensable aux autr
58
s’intéressent à elles et à ses desseins. Nous le
croyons
volontiers et l’attendons à l’œuvre tout d’abord sur le terrain canto
59
rogramme fasciste ; nos marxistes continuent à se
croire
libertaires, etc. Seuls nos staliniens ont cessé de dénoncer les hitl
60
des et la vertu des audacieux. 10. Peut-être me
croira-t
-on si je déclare, après la page qu’on vient de lire, que je n’ai pas
61
an alls wüssen). Comme pour s’excuser, comme s’il
croyait
au fond qu’on devrait tout savoir, et que pourtant… C’est la passion
62
st la passion de la Renaissance, si l’on veut. Je
crois
plutôt que c’est encore l’angoisse avide d’une unité de sens spiritue