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rs intérêts particuliers, ou de leur idéologie, a
cru
pouvoir imposer sa primauté, les autres se sont ligués contre lui, l’
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éjà beaucoup plus unie, en réalité, qu’elle ne le
croit
. C’est sur le plan de l’action gouvernementale que les oppositions et
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si elle la rencontre ? Un homme ne peut à la fois
croire
au mariage — à la volonté — et à la passion — à la fatalité. On aime
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olonté — et à la passion — à la fatalité. On aime
croire
à une « fatalité » — l’alibi de la culpabilité — mais de combien de c
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mposer au sein d’un organisme vivant, n’allez pas
croire
que le fédéralisme soit une espèce d’éclectisme universel, ou d’oppor
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devant la complexité du réel, il la respecte, il
croit
à ses vertus, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le
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authentique et non pas empruntée, imitée ? Je ne
crois
guère aux mesures de « défense » qu’on nous propose périodiquement :
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nnants de créations du premier ordre. Et cela, je
crois
, pour les deux raisons suivantes : premièrement, la passion créatrice
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poser au sein d’un organisme vivant, n’allons pas
croire
que le fédéralisme soit une espèce d’éclectisme universel ou d’opport
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devant la complexité du réel, il la respecte, il
croit
à ses vertus, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le
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enri Spaak, enfin, plus tard et contre eux à l’en
croire
, mais en fait dans le même sens final qui est celui d’une Europe auto
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les services ministériels et les parlements ne se
croient
pas encore en mesure « d’aller plus loin ». Mais dans notre civilisat
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est-il sûr que cet état soit bien celui que l’on
croit
? Pour répondre à cette question, il conviendrait d’examiner, après L
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nts de l’industrie, et quelquefois de la culture,
croient
distinguer dans les projets d’Europe unie « une politique d’unificati
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t n’est pas tout à fait étranger. Si M. Homberger
croit
vraiment que le mélange des peuples est un danger majeur pour son pay
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iffère dans ce domaine de la majorité. Certes, je
crois
qu’une Europe fédérée sauverait seule à long terme nos chères diversi
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u celui de la Suisse moderne, laquelle ne saurait
croire
à la seule force comme accoucheuse des sociétés, et gardera toujours
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que nous avons quelque chose à donner. Je veux le
croire
avec Victor Hugo : La Suisse dans l’histoire aura le dernier mot. M
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illeurs de sa philosophie, j’ai toutes raisons de
croire
qu’en imposant cette épreuve « inutile » à notre école, il poursuivai
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. Mais tout d’un coup, voici deux ou trois ans je
crois
, on dirait une plongée sous-marine et l’humanité disparaît de la pein
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t pas, hélas, ce qui les a rendues possibles. Ils
croient
qu’ils pourraient acheter ces beaux objets (ou plutôt se les faire do
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libre ? Ou au contraire, comme on a tendance à le
croire
dans nos élites humanistes, serait-elle un facteur de déshumanisation
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ure, et c’est vrai dans ce sens que l’homme moyen
croit
qu’il ne pourrait plus se passer de cet objet, mais le fautif n’est p
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vicieux pour ceux-là seuls qui ne demandent qu’à
croire
qu’ils y sont enfermés. Au-delà des impasses logiques, le désir bâtit
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mais de comprendre intimement. Il faut cesser de
croire
qu’éducation civique signifie connaissance scolaire d’institutions et
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es formateurs. Je le dis tout crûment comme je le
crois
: aussi longtemps que la Campagne (ou quelque chose d’équivalent) n’a
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part des hommes d’aujourd’hui de le voir, ou d’en
croire
leurs yeux quand ils le voient, c’est le dogme inculqué dans les espr
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peuvent encore l’imaginer les politiciens qui se
croient
réalistes — parce qu’ils sont en retard d’une génération sur les réal
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en faveur d’un exode généralisé des cerveaux ! Je
crois
que la santé de la culture a toujours consisté dans ses échanges, dan
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il faudrait déplorer ou arrêter si on le peut. Je
crois
qu’il faut considérer là-dedans les dimensions des activités en jeu,
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r le vaste monde, qu’est-ce qui se serait passé ?
Croyez
-vous que La Chaux-de-Fonds se serait plainte d’avoir perdu un cerveau
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, elle aussi, de la communauté internationale. Je
crois
vous avoir donné ainsi le moyen méthodique d’organisation, comme disa
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ces émissions selon la quantité des réponses. Je
crois
que c’est faux. Il faudrait que la télévision et la radio aient l’hér
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t deux ou trois ans, d’aller à contre-courant. Je
crois
que ce serait payant assez vite. Il y aurait beaucoup à dire là-dessu
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ur tous les sujets abordés. Et je vous prierai de
croire
que ce n’était pas toujours des sujets purement techniques ou de gram
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utour de cette table. Tout d’abord, M. Renold. Je
crois
que nous sommes presque entièrement d’accord. J’ai peut-être un peu f
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ne fait rien sans ça. L’organisation aussi. Mais
croire
qu’un climat, c’est un financement + une organisation, ça c’est croir
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c’est un financement + une organisation, ça c’est
croire
ce que croient les Américains. Eh bien, j’estime que l’Europe se doit
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cement + une organisation, ça c’est croire ce que
croient
les Américains. Eh bien, j’estime que l’Europe se doit d’apporter que
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principe optimiste — ou pessimiste d’ailleurs. Je
crois
que vous avez parfaitement raison dans tout ce que vous avez dit sur
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femmes d’aujourd’hui qui ont passé par l’école et
croient
savoir l’histoire s’imaginent qu’il y a toujours eu des États, que le
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écessités qui expliquent que le Marché commun ait
cru
devoir convoquer le très important colloque de Bruxelles sur les écon
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part des hommes d’aujourd’hui de le voir, ou d’en
croire
leurs yeux quand ils le voient, c’est le dogme inculqué dans les espr
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e nommé Rhône-Alpes, qui est sa région naturelle,
croit
-on vraiment que cela lui ferait perdre son caractère de cité suisse p
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esponsabilité propre vis-à-vis de l’Europe. Je ne
crois
pas que nous ayons mission de préconiser urbi et orbi la transpositio
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se ses complexes. Or, contrairement à ce que fait
croire
le langage courant, avec des phrases comme « Je suis pleine de comple
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i concerne l’amour, beaucoup de gens continuent à
croire
que l’analyser l’amoindrit. Une passion « inexplicable » paraît plus
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le. Il manque le pacte. L’engagement total. Je ne
crois
pas à la valeur magique du « oui » solennel mais bien à la valeur psy
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stes, du désir de ressentir une passion, qui fait
croire
que « ça y est », avec la réalité. Quand les gens cesseront de croire
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t », avec la réalité. Quand les gens cesseront de
croire
que la passion est l’épreuve privilégiée qui seule donne un sens à la
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ns. L’homme d’aujourd’hui, formé par les manuels,
croit
, sans la moindre discussion, une série de propositions axiomatiques d
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quelque sorte, un prix de théologie, on aura, je
crois
, défini les différents pôles autour desquels se meut la pensée et l’a
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iscipline de ce parti. C’est réaliser ce que l’on
croit
le plus intimement, que ce soit d’un point de vue religieux, politiqu
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eu la montée de la guerre. On voulait nous faire
croire
qu’il y avait de grandes causes à défendre et nous ne voyions pas du
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Paris, à Berlin, et ailleurs quelque chose que je
crois
extrêmement dangereux, et qui ne ressemble pas du tout à notre réacti
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nt manifester au niveau de la communauté ce qu’on
croyait
le plus intimement, c’est-à-dire l’être même de la personne — qui est
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culture, la notion de culture a évolué ? Oui, je
crois
que nous sommes arrivés tout de même à combattre avec pas mal de succ
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are scintillante du petit port, par instants j’ai
cru
voir le bateau, comme un trait. Passons le village, laissons à gauche
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ités contraires mais également valables, voilà je
crois
ce qui définit l’apport original et spécifique de la pensée occidenta
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à la question sur confédération ou fédération. Je
crois
que toute l’histoire prouve que les confédérations sont des formules
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étendrai pas sur cette question complexe, mais je
crois
que la plupart des craintes que l’on a, en parlant de régions, vienne
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t solidement, comme le veulent ses promoteurs, on
croit
souvent qu’elle doit nécessairement coïncider avec une région politiq
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témoin, et qui auraient tous été, s’il faut l’en
croire
, de hauts exemples de bravoure ou de cette grandeur d’âme qui fait la
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ienne, et des grandes dames de toute l’Europe qui
croient
aux mâles vertus des officiers bien nés ? Louant leurs frères, leurs
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chose vue. Et du coup cela devient effroyable. On
croirait
lire une description d’Hiroshima au ralenti. Cent-mille victimes, là
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nt à la pensée d’être rongés par ces vers, qu’ils
croient
voir sortir de leur corps, et qui proviennent des myriades de mouches
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ant se limite, par une tactique que je ne saurais
croire
toute inconsciente, à « attirer l’attention » sur un sujet précis, à
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ruction ». Les ministres cyniques ou prudents qui
croyaient
diriger le « concert des nations » et contrôler le système si vis pac