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festations pacifistes de ces derniers mois ? À en
croire
certains journaux occidentaux, il s’agit simplement d’une réussite de
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désarmons-nous et offrons nos poitrines nues. Je
crois
qu’il y aurait là un moyen de dissuasion formidable. Cependant, si un
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constances votre vocation s’est-elle décidée ? Je
crois
qu’il faut remonter, pour distinguer l’appel que signifie toute vocat
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ise qui a fait la France, sans jamais obtenir, je
crois
, le libre consentement des parties annexées. Ça a été fait par la con
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u dialogue nécessaire. Les moyens du dialogue, je
crois
que je les ai indiqués, c’est cette culture une et diverse qui permet
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la pourrait être le sujet d’un autre colloque. Je
crois
que la condition de tout dialogue entre les différentes nations que j
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illac, parce que ma mission me protège. » Il faut
croire
un homme qui dit cela… D’où lui vient le pouvoir surhumain qu’il déve
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j’entends et subis en 1936, j’écris ceci : Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
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férée chez vos semblables ? La capacité d’amitié.
Croyez
-vous au hasard ? Oui, quand il fait bien les choses. Croyez-vous, com
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s au hasard ? Oui, quand il fait bien les choses.
Croyez
-vous, comme Rousseau, que l’homme naît bon et que la société le rend
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. Parce que cela me convenait sans doute, j’avais
cru
comprendre qu’il s’agirait du problème global de la Suisse et de l’un
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ngt-deux. L’illusion politique consiste surtout à
croire
qu’à partir de ces mesures économiques, et par élargissements succes
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dans le seul domaine économique. Jean Monnet l’a
cru
possible. Ce fut à la fois le ressort de son action créatrice, et son
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l’on n’est pas libre de ses actes ? N’allons pas
croire
pourtant qu’entre le besoin de puissance à tout prix et le besoin de
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bilité civique. Voilà qui est simple et clair, je
crois
bien. Les vraies difficultés commencent lorsqu’il s’agit d’appliquer
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es de guerre qui pèsent sur l’Europe, surtout, je
crois
, pendant les dix années qui viennent. Je pense qu’ensuite il y aura u
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. Nous n’avons pas, j’insiste, à le renverser. Je
crois
qu’il serait tout à fait illusoire de donner comme but à la jeunesse
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at qui nous a occupés ces deux derniers jours. Je
crois
que nous avons bien fait de ne pas nous attarder à toutes les définit
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lité spécifique. Nous avons été tout de suite, je
crois
, assez profondément d’accord pour reconnaître la nécessité des région
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l dans leur domaine. Je voudrais insister, car je
crois
que cela est important pour tout notre propos, sur l’absence de contr
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r la pointe du clocher, rejoindre l’universel. Je
crois
que cela, c’est la philosophie qui doit être à la base de tout ce que
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e très sympathiques, mais enfin, je ne peux pas y
croire
une seconde, parce que moi, j’ai les deux pieds sur terre ! », je rép
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it M. Juillet et beaucoup d’autres parmi vous. Je
crois
que nous sommes tous d’accord là-dessus. Je crois aussi qu’il faudrai
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crois que nous sommes tous d’accord là-dessus. Je
crois
aussi qu’il faudrait élargir les applications de ce principe, et je v
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douces. Tous objets de dimensions planétaires. Je
crois
de même qu’une conférence écologique mondiale permanente, qui tirerai
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connais assez pour pouvoir vous rappeler, sans je
crois
lui faire tort, que tout d’abord, il est italien et qu’il aime s’amus
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un peu d’ironie dans le ton. D’une manière que je
crois
être purement provocante de sa part, il répète cette phrase : « Vivre
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’ai cité dans mon livre. Il ajoute : « Mais je ne
crois
pas qu’il y ait là une solution définitive aux problèmes de l’humanit
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m’est ici reproché d’avoir défendu ou attaqué. Je
crois
que Strassoldo a tort d’invoquer la théorie de Konrad Lorenz sur le t
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isqu’elle se dissocie de toute responsabilité. Je
crois
que l’homme n’est libre (dans une communauté) qu’à la mesure où il es
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rs il n’est que de la haine. Comment un Suisse le
croirait
-il ? Si je me sens presque partout chez moi dans l’Europe franco-germ
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S. Eliot… Pendant ces années d’adolescence, je ne
croyais
qu’à la poésie, puis j’ai découvert la théologie avec Karl Barth, dan
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ve sur « l’Esprit européen ». En plein accord, je
crois
, avec les autres conférenciers, tels que Karl Jaspers, Julien Benda,
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, 21 ont été suivies de réalisations, chiffre, je
crois
, jamais atteint par aucun congrès… disons librement constitué. Le Cen
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est — il vaut la peine de souligner ce cas que je
crois
unique ; l’Association des instituts d’études européennes, de niveau
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ommes peut-être beaucoup plus proches qu’on ne le
croit
. Orwell ne pouvait connaître en 1948 que la possibilité, non la réali
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l a choisis. Il y a là, beaucoup plus qu’on ne le
croit
, une entreprise permanente de « prise du pouvoir sur les esprits », s
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te brochure, pendant une fraction de seconde j’ai
cru
qu’il s’agissait de la répartition des centrales nucléaires, et la si
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le que nous avons fourni un effort unanime et, je
crois
, réussi, pour entretenir le dialogue entre ce que les polémiques poli
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’annonce d’un fascisme français. Voilà donc, à en
croire
Hellman, comment notre mouvement était « perçu » dans les années 1932
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tien, sans doute, à ses yeux. Moi, vous savez… Je
crois
que vous croyez ?… Remarquez l’amphibologie du verbe… Mais qu’est-ce
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e, à ses yeux. Moi, vous savez… Je crois que vous
croyez
?… Remarquez l’amphibologie du verbe… Mais qu’est-ce que cela peut bi
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ages à cette jeune revue de mes amis de Grandson.
Croyez
à ma vive amitié Ch. A. Cingria Je le revois, quelques jours plus ta
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e siècle : « L’illusion, nous dit-il, consiste à
croire
que l’on a quitté le domaine incertain de la décision éthique pour en
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ance qui se dissimule de la sorte pour nous faire
croire
qu’elle nous est extérieure, pour n’avoir pas à s’avouer nôtre… Tout
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ent trompé sur ce que nous appelions l’État. On a
cru
que nous voulions le supprimer, et nous voulions seulement préciser e
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y a eu mauvaise interprétation du terme. On a pu
croire
que vous étiez contre l’individualisme, au sens d’une limitation des
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et 23 ans. Si on m’avait demandé alors ce que je
croyais
, j’aurais dit que je croyais à n’importe quoi sauf au protestantisme
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andé alors ce que je croyais, j’aurais dit que je
croyais
à n’importe quoi sauf au protestantisme traditionnel que j’entendais
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utre chose et vous éviterez les désastres ! Je ne
crois
pas que notre avenir soit fatal. L’avenir est fait de main d’homme de
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ésente. Je ne suis pas pessimiste parce que je ne
crois
pas à ces fatalités. Je ne suis pas optimiste non plus parce que je n
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Je ne suis pas optimiste non plus parce que je ne
crois
pas avec Rousseau que l’homme est bon. Il est bête et méchant, c’est
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t arrangé si soudainement. Cela me ferait presque
croire
à la providence. Mais dites-moi, mon cher Rougemont, quand on saura q
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que je suis obsédé, mais je ne puis m’empêcher de
croire
que vos troubadours étaient homosexuels. » Je lui dis qu’en effet, pl
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garçons. Revenons à votre préoccupation majeure :
croyez
-vous à la victoire des écologistes sur les promoteurs du nucléaire ?
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? Je ne le pense pas. L’utopie majeure consiste à
croire
qu’on peut continuer comme ça. Je me tiens pour un réaliste quand je