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niens) la marshallisation de nos cultures. À l’en
croire
, l’invasion de l’américanisme représenterait pour nous un aussi grand
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méricaine, à tel point que tout institut que l’on
croit
à tort ou raison « soutenu par les Américains » en tire d’une part un
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frais courants ; l’Américain se demande si l’on y
croit
vraiment… (J’écris on à dessein : car ce ne sont pas les mêmes qui, e
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e reléguer la culture à sa place d’objet de luxe (
croit
-on), pour se pencher sur les problèmes bien plus « urgents » que pose
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sans avoir déclaré vertement qu’il avait cessé de
croire
à ce qu’il dirigeait. D’où vient le malaise ? Chacun sait qu’il
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ins États à leurs industries déficientes. Si l’on
croyait
à la culture comme on croit au pouvoir électoral des bouilleurs de cr
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éficientes. Si l’on croyait à la culture comme on
croit
au pouvoir électoral des bouilleurs de cru, par exemple, on lui donne
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e on croit au pouvoir électoral des bouilleurs de
cru
, par exemple, on lui donnerait cent fois ou mille fois plus. Mais le
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is ou mille fois plus. Mais le fait est qu’on n’y
croit
guère dans ces milieux, et tel étant l’état de l’opinion moyenne, 9 m
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ommunauté de défense, vont être les premiers à la
croire
inutile. Qu’avons-nous à y perdre, nous les fédéralistes ? Que pouvon
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rdant force et opportunité, ils vont cesser de se
croire
fédéralistes. Comme ils ne l’ont jamais été, il s’agira pour nous non
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ue le monde entier, les communistes y compris, ne
croyait
pas que l’Amérique ni l’Europe songeaient à la « guerre préventive ».
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se regarder comme la maîtresse de l’univers, et à
croire
le reste du genre humain créé pour son utilité. Des hommes, admirés c
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fait tout pour qu’ils restent ainsi. Il faut donc
croire
que les Européens sont menés, en réalité, par des forces irrationnell
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nt cyniquement à l’Unesco ; une Angleterre qui se
croit
encore une île ; une Autriche occupée, et pillée par les Russes ; des
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à où personne n’est disposé à les recevoir et à y
croire
. Ils n’ont jamais sauvé les « races incrédules », car celles-ci les t
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es députés et même certains hommes politiques ont
cru
qu’elle dépendrait des conférences de Berlin et de Genève. Bien peu v
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par complaisance à une double illusion : ils ont
cru
que le travail éducatif en profondeur, lent par nature, représenterai
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e, représenterait une perte de temps ; et ils ont
cru
que la propagande pour l’idée européenne était faite. Examinons les r
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s pouvons le voir aujourd’hui : elle consistait à
croire
qu’il est plus facile de faire l’Europe par pièces et morceaux que de
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équences de son rejet. Or les militants européens
croyaient
avoir expliqué tout cela à l’opinion et aux parlementaires. Illusion
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ient remettre en question les certitudes que l’on
croyait
acquises, d’autre part est le gage d’un progrès vers le vrai. Ainsi d
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ous regarder ce qui se passe chez vous si l’on en
croit
les communistes occidentaux et votre propagande culturelle, vous n’av
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des matériaux stratégiques. Cependant, nous ne
croyons
pas que le processus (d’échanges) désormais en cours, même s’il doit
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pique les yeux, la ville semble irréelle et l’on
croit
voir une fois de plus, à travers les murs des palais ayant perdu leur
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encha des polémiques qui durent encore. Qu’on ne
croie
pas, d’ailleurs, que les slavophiles, adversaires de l’Occident, ne s
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acuité. On voyait les différences, mais on ne les
croyait
pas irréductibles. On admettait les contrastes, mais en accentuant pl
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recours, mais on l’imite partout. Et ceux qui se
croyaient
sûrs de recueillir ses dépouilles, au nom de l’Avenir et d’une Histoi
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leurs vues sur « le phénomène festival ». Jamais,
croyons
-nous, un tel sondage n’avait été opéré à l’échelle internationale. Il
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otalitaire » comme le dit un correspondant, et de
croire
à la vertu d’interdictions de label, même bien fondées. Mais que ce j
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a question, et ne se propose pas comme jury ! (Je
crois
bien qu’un ou deux de nos correspondants l’ont entendu de cette maniè
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nos recettes35.) La fortune publique et privée ne
croyait
pas bien fort à l’union de l’Europe, et moins encore à l’efficacité d
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ses. Et c’est bien dans cette vue qu’il convient,
croyons
-nous, d’apprécier ce qu’il a fait, ce qu’il est aujourd’hui, et ce qu
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de cette doctrine montrent d’ailleurs qu’ils n’y
croient
pas absolument, puisqu’ils inculquent par la force le marxisme-lénini
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ité nos matérialistes pratiques, en Occident, qui
croient
à la force des choses, dès lors qu’ils s’imaginent pouvoir combattre
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cessera d’être « impensable » — comme beaucoup le
croient
encore — dès l’instant qu’on verra qu’elle est impérative. 40. Cf.
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s des rapports, qui ont tenu des promesses qu’ils
croyaient
imprudentes, mais vous voyez que ce n’était pas le cas. De plusieurs
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a culture ne peut qu’abaisser son niveau. Je n’en
crois
rien, et je ne partage nullement le pessimisme à la mode… d’hier, che
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t connus jusqu’à présent. Il semblerait, à les en
croire
, que le public qui lit représente une petite masse invariable, ou mêm
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éenne (septembre 1959)bg L’auteur se défend de
croire
à l’histoire éducative ou utile, celle d’un Bossuet ou d’un Fénelon,
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elle soit, c’est-à-dire à la fois une manière d’y
croire
et une manière de la vouloir, notre vocation et notre conquête. » b
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pessimistes sur les destins de notre Europe ? Je
crois
bien que Hegel est la seule exception, qui persistait à voir dans l’E
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ts et de ses produits. Chaque groupement national
croit
avoir ses problèmes uniques, parce qu’il ignore ceux des autres, et p
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’est le problème unique que je me pose ici, et je
crois
qu’il n’est pas impossible d’y répondre. La méthode comparative, dont
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’une autoritaire et l’autre libérale. N’allez pas
croire
, pourtant, que l’humanité devait fatalement passer de l’une de ces at
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Éducation. Oserai-je vous confesser ici que je ne
crois
plus guère aux méthodes pédagogiques, qu’elles soient autoritaires ou
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civique dans tel ou tel pays. Pourtant, je ne les
crois
pas très facilement interchangeables. Elles nous signalent des différ
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Retinger, de nationalité polonaise. « C’était, je
crois
, la première fois depuis plus d’un siècle qu’un gouvernement reconnai
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ne peut rien faire dans un pays démocratique. Je
croyais
que du seul fait que je luttais honnêtement pour de bons principes, t
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erdent beaucoup de leur saveur à être résumés, je
crois
bon de ne pas les omettre dans cette esquisse biographique : ils donn
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ais furent les premiers et presque les seuls à le
croire
. Retinger rédigea aussitôt un mémoire pour Eden, suggérant qu’un acco
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e de ces institutions, et de bien d’autres. Je ne
crois
pas que Jean Monnet et Retinger ont jamais travaillé ensemble : leurs
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tinger qui circulait d’un groupe à l’autre : « Je
crois
que j’ai trouvé le secret de sa méthode. Il s’assied seul à une petit
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sonnelles. Beaucoup ne pouvaient simplement pas y
croire
, et le soupçonnaient de desseins tortueux, quand il ne faisait que su
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e nos manières propres de penser, de sentir et de
croire
, de légiférer, de rêver et d’agir. Or ces réalités qu’on peut appeler
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ls d’Europe, sommes tous contre la technique : je
crois
que ce stade est dépassé. Il y a eu dans la première partie du siècle
57
’universel, ou est-ce qu’il y a des cultures ? Je
crois
que nous pouvons tous dire oui et non là-dessus, il s’agit de disting
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les cultures se libèrent et se différencient. Je
crois
que la formule qu’il faudrait proposer ici, c’est la formule du fédér
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ens : l’union dans la diversité. Et là-dessus, je
crois
que tout le monde sera d’accord. Ou bien trouvez-vous que j’ai excess
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ationalistes. Si vous êtes d’accord là-dessus, je
crois
que nous avons dit ce qu’il fallait dire sur ce premier point de l’or
61
ure, question qui touche un des points vitaux, je
crois
, des préoccupations de ce colloque. La question était la suivante : e
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du pour la culture qui est, en fin de compte — je
crois
que c’est la définition la plus simple qu’on puisse en donner — ce qu
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ns générales, ce que nous avons à retenir ici, je
crois
, c’est que, entre la technique et la culture, les liens ne sont pas s
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le vivra en retour. La culture et l’éducation, je
crois
que nous sommes tous d’accord là-dessus, il n’y a pas de meilleur inv
65
our sortir du cercle vicieux où les sceptiques se
croyaient
enfermés, des militants de l’Europe librement fédérée — c’est-à-dire
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séparation et les distances entre le savoir et le
croire
, entre ces deux aspects de la personne totale, jadis but et module de
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tes les facultés et instituts spécialisés. Je n’y
crois
guère. La presque totalité des expériences tentées dans cette intenti
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re enseignement. ⁂ Qu’est-ce que le civisme ? Je
crois
qu’on peut le définir par un seul mot — qui est le mot-clé de la doct
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ar le chauvinisme culturel — les Français de 1914
croyaient
défendre la Civilisation contre les Allemands qui croyaient défendre
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défendre la Civilisation contre les Allemands qui
croyaient
défendre leur Kultur — elle se dissipe comme brume au soleil à la lum
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femmes d’aujourd’hui qui ont passé par l’école et
croient
savoir l’histoire s’imaginent qu’il y a toujours eu des États, que le
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écessités qui expliquent que le Marché commun ait
cru
devoir convoquer en 1961 le très important colloque de Bruxelles sur
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part des hommes d’aujourd’hui de le voir, ou d’en
croire
leurs yeux quand ils le voient, c’est le dogme inculqué dans les espr
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. L’homme d’aujourd’hui, formé par les manuels94,
croit
, sans la moindre discussion, une série de propositions axiomatiques d
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le contact avec les masses », dites-vous. Vous ne
croyez
pas en Dieu, que vous n’avez jamais vu. Avez-vous vu les masses, auxq
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mais vu. Avez-vous vu les masses, auxquelles vous
croyez
? Moi, je les ai vues dans une Allemagne possédée par le verbe et le
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du tout inépuisables comme tous les hommes l’ont
cru
naïvement jusqu’à nous : le charbon, le pétrole et les métaux non fer
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tour du prestigieux Winston Churchill. Nous avons
cru
que, dans un premier stade, il serait possible de fonder « une sorte
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stons contre la coutume des éditeurs français qui
croient
bon d’améliorer les titres originaux : le livre de H. Kahn s’intitule
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es de ces problèmes qui pourraient être tentés de
croire
que les raisons de faire des régions sont bien assez connues, et même
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ns nul doute ses auteurs) il faut commencer par y
croire
. Car si on le récuse, on ne fera rien pour échapper à ce qu’il annonc
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re l’illusion fataliste et fatale qui nous ferait
croire
, désormais, qu’il revient à l’ordinateur d’orienter notre politique.
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j’entends ici dénoncer : elle voudrait nous faire
croire
que la société, la civilisation, leur crise et le système de leur cri
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t. En manipulant son « modèle », le futurologiste
croit
-il vraiment qu’il manipule un avenir réel ? (D’autant qu’il a pris so
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pective n’aurait plus de raison d’être si l’on ne
croyait
plus à la liberté de l’homme. Elle existe et n’a d’intérêt qu’à seule
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procédés, ces formes ? D’une manière globale, je
crois
que nous sommes en droit de dire que l’Europe, depuis deux ou trois s