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i devraient m’être parfaitement impénétrables. Je
crois
même voir que M. Breton serait un très curieux poète s’il ne s’efforç
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de ces jeunes gens prétentieux et sincères qui se
croient
une vocation, végètent dans des œuvres d’évangélisation, fondent des
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illeur style pour un romancier ? C’est plutôt, je
crois
, une certaine harmonie générale dans le récit et le ton, surtout dans
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français cette œuvre « d’importance européenne »,
croyez
-vous qu’il aille s’abandonner à l’émotion communicative de qui découv
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Vinet se déclarait « un chrétien sans épithète ».
Croit
-il éluder ainsi le protestantisme de Vinet ? Ne voit-il pas que rien
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Synge, Joyce même… Trois noms qui permettent, je
crois
, de parler d’un grand siècle littéraire irlandais ; ce que d’ailleurs
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ons, ou les transformer totalement. — Alors, vous
croyez
à l’action sociale des écrivains ? Peut-être. En tout cas je vois bie
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amon Fernandez, Messages (juillet 1926)w Je ne
crois
pas exagéré de dire qu’en publiant ce recueil d’essais, M. Fernandez
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on le sent ; pourtant l’on sourit : il faut bien
croire
qu’il y a là un talent, charmant, glacé, spirituellement « poétique »
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aison de l’idéal asiatique avec le nôtre. Mais je
crois
que toute intelligence européenne libre peut souscrire aux critiques
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pages d’un lyrisme inouï. Que Louis Aragon ne se
croie
pas tenu de justifier ses visions par le moyen d’une métaphysique aus
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ops a-t-il trop négligé le rôle extérieur, que je
crois
décisif, des conditions de la vie moderne.) Après avoir défini quelqu
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ont le profond ricanement se prolonge en nous. Je
crois
entendre Jacob qui se retourne, méprisant : « Mais oui, je ne nie rie
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gées d’un élixir dont il voudrait bien nous faire
croire
que le diable est l’auteur. Beaucoup d’oiseaux volètent, se balancent
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d’expérience ». Mais une telle « expérience », je
crois
, ne peut être sensible qu’à des êtres pour qui elle est en somme inut
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oman et des mémoires. Mais si son début permet de
croire
que le Perroquet Vert ne restera pas une réussite isolée dans l’œuvre
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esté, mais dont ils participent plus qu’ils ne le
croient
. Certes il était urgent de faire la critique de « cette réalité de pr
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cement comique, si émouvant : « À cette époque je
croyais
fortement en l’existence d’une espèce de secrète et à peu près univer
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s miracles de liberté dont nous avons besoin pour
croire
que le monde actuel n’est pas un cas désespéré. Mais voici déjà dans
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lui demande l’impossible. Et quand bien même elle
croirait
n’en avoir plus besoin. Cet extrémisme de la pensée intemporelle, en
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é, mieux, le goût des esprits singuliers, si vous
croyez
que c’est par l’extrême pointe du singulier que l’esprit pénètre dans
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alicieuse et sensuelle dont nos yeux helvètes les
croyaient
par trop dépourvues… Cette charmante « japanisation » est rehaussée d
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les a poussés à un paroxysme verbal qui induit à
croire
qu’il les sentait moins profondément que ses devanciers. Son sadisme
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un peu hâtive à une « jeunesse » déjà démodée… Je
crois
que la jeunesse d’aujourd’hui s’éloigne plutôt de la grandiloquence «
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dresse pour tous les possibles, qu’on appelle, je
crois
bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux v
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dant, mes regards errant sur une bibliothèque, je
crois
y trouver mon salut : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, v
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reil est par là même extraordinaire. Celui qui ne
croit
pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; mais celui-là
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choire. 6. Doutes sur la nature du Sujet Je
crois
qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écri
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ir. Espoir sans doute chimérique, mais qu’on peut
croire
bien près d’être comblé dans ce pays où les courtiers ne donnent pas
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e suis pacifiste. Comment ne pas l’être ? Mais je
crois
que les pacifistes qui veulent assurer la paix par la mutilation des
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isolés, des bribes de phrases… Or, si comme je le
crois
et voudrais l’établir plus longuement, le sens des poèmes de la matur
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de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me
croit
triste. Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme il
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eais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je
crois
, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pou
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problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je
crois
l’éloge de choix. Mais de ce problème central, qui déborde le plan es