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. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait
cru
voir autre chose, pouvoir choisir ses résistances, et provoquer des a
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ous conditions. Le clerc bourgeois, chez nous, se
croit
encore tranquille. On ne le laissera plus tranquille bien longtemps.
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de citations souvent stupéfiantes d’auteurs qu’on
croyait
bien connaître ou d’inconnus profonds et pittoresques ; soit par cert
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s compter sa passion pour la peinture qui, à l’en
croire
, était exclusivement européenne… Reste le paradoxe de la modernité et
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s (évidemment pour cette raison) : « Celui qui ne
croit
pas en Dieu ne peut pas faire de physique ». À toutes les écoles qui
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teur de tendances en partie inconscientes, que je
crois
dangereux pour l’Europe, destructeur du civisme dont nous parlait ce
7
nsacrée à l’Europe et dont il ne faut surtout pas
croire
, nous assure-t-on, qu’elle ait eu pour objet de « mettre sur orbite »
8
ur parler d’Europe, on en a parlé ». Mais c’est à
croire
que s’il n’y avait pas de querelle entre Rocard et Mitterrand, entre
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drait la victime d’une Europe fédérée, si l’on en
croit
Michel Debré. La réponse est gênante. Pour lui. La France des jacobin
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cause européenne, qui semblait endormie ou qu’on
croyait
perdue, s’est réveillée par l’intervention imprévue des régionalistes
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es doigts d’une main : 5 ou 6 sur 36 orateurs, je
crois
bien. Certes, leurs thèses principales ont été reprises un peu partou
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ord elle parvient à le vivre. Autrement, on ne la
croira
pas. Car ainsi que le disait le bon Dr Schweizer, « l’exemple n’est p
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résentants de l’ensemble des collèges parisiens «
croient
déjà pouvoir se contenter du simple mot universitas pour les désigner
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l’idéal asymptotique de tout ce que notre époque
croit
avoir inventé sous le nom d’UER (unités d’enseignements et de recherc
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ng qu’un préfet ou un général de division. On les
croyait
voués à la recherche du Vrai. m. « L’Université par l’Europe et vice
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L’Europe de l’enthousiasme ! Il était temps, je
crois
, que Mme de Staël vienne nous rappeler ce que cela pourrait bien être
17
ues dizaines d’années au xvie siècle où l’on put
croire
un moment que le passage à la Réforme des grandes familles de la nobl
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par une lamentation sur la misère du temps, qu’on
croirait
écrite aujourd’hui : Ô Province dorée ! Ô chrétienté, gloire de l’un
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urope qui fut et qui est encore, plus qu’on ne le
croit
, celle des grands penseurs de l’Est. Il y a là, de la part de l’opini
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ie d’un seul et non le gigantisme national. Lévy
croit
devoir préciser (note 12 p. 249) que « le texte vise, plus spécifique
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des totalitarismes de l’Est. Raymond Aron peut-il
croire
que Vichy ait adopté un seul instant nos thèses ? Croit-il vraiment q
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que Vichy ait adopté un seul instant nos thèses ?
Croit
-il vraiment que L’Ordre nouveau ait été « traditionaliste » ? C’éta
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sordre établi » que dénoncera plus tard Esprit .
Croit
-il au contraire que L’ON ait été « parafasciste », comme l’eût été
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ns liront Lévy, tant pis, mais ce qui est grave :
croiront
les « plumes autorisées » de L’Express, parce qu’ils n’ont pas connu,
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bon million de lecteurs et de téléspectateurs qui
croiront
(s’ils ne m’ont jamais lu) ce qu’écrit Lévy confirmé par Aron, et not
26
’avaient lu que le seul B.-H. Lévy — et l’avaient
cru
, sur la foi de L’Express. Post-scriptum I Les citations de « pe
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Aron comme « parafascistes ». Pour autant, je ne
crois
pas un instant que Raymond Aron ait jamais été « fasciste à la frança
28
Moralement, cela me paraît d’une grande force. Je
crois
très important votre diptyque des discours Hitler-Niemöller. Encore p
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fie guerre en français ». 61. J.-F. Revel semble
croire
, en effet, que la doctrine de la personne a été inventée par Mounier
30
st notre affaire . « Jeunes giscardiens » : on se
croirait
à droite. « Les Verts » : voilà qui évoque plutôt la gauche (sans rai
31
x qu’on puisse dire est « bon peuple », celui qui
croit
un peu n’importe quoi. Les nations, pour Bossuet, sont « fières », «
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té de l’État de Louis XIV à nos jours, si l’on en
croit
les très curieuses définitions de « l’État classique » données par Pi
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Souveraineté (Paris, 1955). « C’est une erreur de
croire
que l’Histoire n’a vu d’autre changement concernant la Souveraineté q
34
e violation de la souveraineté néerlandaise ». On
croirait
entendre Marchais… ou Chirac ; ou Debré… aujourd’hui78. Le terme de «
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les que l’on pourrait tirer de nos débats, que je
crois
que j’ai entrepris quelque chose que je ne pourrai pas mener à bien.
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j’aurais à dire sur l’ensemble de ce colloque. Je
crois
que c’est le seul moyen de m’en tirer, au moins en ne m’ennuyant pas
37
ée extrêmement instructive, pour tout le monde je
crois
, un exercice tout à fait utile. Troisième thème, un retour à la cultu
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prépare déjà un forum pour l’année prochaine ? Je
croyais
qu’il parlait de notre colloque. J’étais absolument à côté de la réal
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e. J’étais absolument à côté de la réalité. Et je
crois
que je n’étais pas le seul. Sans cela, je n’oserais pas le dire. Cela
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de mettre en valeur un intermède qui a occupé, je
crois
, tout l’après-midi du jeudi : Mme Oudaltsova nous a fait une communic
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ons — en remplaçant l’Église par le Parti — et je
crois
que cette distinction entre deux types d’Europe va très loin, d’autan
42
e pour les réponses venues de l’autre côté, et je
crois
que cela est tout à fait important. Il y a eu des moments où l’on sen
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tre colloque à préparer pour une autre année ! Je
crois
bien que, lors de ce débat, de l’exposé de Nivat et des réponses que
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à transmettre et c’est assez émouvant à vivre, je
crois
. Je crois que ce moment-là a entièrement justifié notre colloque. Il
45
tre et c’est assez émouvant à vivre, je crois. Je
crois
que ce moment-là a entièrement justifié notre colloque. Il y a eu une
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rôlement reçu ou mal reçu dans le tiers-monde. Je
crois
que, là, vous avez touché, cher ami, quelque chose de tout à fait imp
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malaria, si bien qu’on a dû interdire le DDT. Je
crois
que cet exemple symbolise un des aspects de ce qu’a déchaîné sur le m
48
é de le montrer dans un livre de jeunesse, que je
crois
que Hans Mayer connaît, il en a parlé l’an dernier… Finalement, il y
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ui a régné sur ce colloque depuis trois jours. Je
crois
bien n’avoir jamais autant ri au cours d’un exercice de ce genre. Nou
50
, c’était au congrès de La Haye. J’y étais et j’y
croyais
. » Le congrès avait réuni, sous la présidence d’honneur de Churchill,
51
e réussir. Mais nous demandons à nos amis de nous
croire
: le succès n’est pas exclu. Comment ne pas admirer la convergence d
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vernements ne voulaient pas l’Europe unie. Ils ne
croyaient
au mieux qu’à une coalition contre Staline, dont ils s’imaginaient d’
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e d’un scandale qui n’est pas, comme on semble le
croire
, un fait de nature, mais un cafouillage politique — donc fait de main
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é, une réponse immédiate du directeur (sans doute
croyait
-il que j’étais un jeune professeur d’université). Je me suis révélé a
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été, et non pas l’inverse, comme on a l’air de le
croire
dans les sociétés totalitaires, où l’on pense que la société est le b
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i ? Parce que l’homme a oublié les finalités : il
croit
que la finalité c’est la puissance. Or, la finalité c’est évidemment
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et de dominer le tiers-monde. Ils s’entendent, je
crois
, dans le fond très bien, beaucoup mieux qu’on ne le croit, et c’est l
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ans le fond très bien, beaucoup mieux qu’on ne le
croit
, et c’est l’Europe qui risque d’être victime de leur politique. L’Eur
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ur assurer la paix et empêcher la guerre. Mais ne
croyez
-vous pas qu’il est utopique de penser que les pays de l’Est peuvent s
60
r « pessimisme actif » ? Cela veut dire que je ne
crois
pas que les utopies vont se réaliser comme ça, sans nous. Si on veut
61
es il y a déjà quinze ans. On ne voulait pas nous
croire
, et aujourd’hui c’est une réalité qui s’impose dans le monde entier.
62
ans mon dernier livre, à l’avant-dernière page je
crois
, en une seule phrase : il y a deux grandes finalités qui se partagent
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ouvoir qu’on veut prendre sur soi-même. Voilà, je
crois
que je n’ai rien à ajouter là-dessus. J’ai formulé les grands buts qu