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anse, un sourire gentiment courageux — vous allez
croire
à de l’insouciance — vers une party… « J’espère que tu t’amuses, que
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ent, ils n’ont pas l’air d’en faire un cas, de se
croire
obligés de prendre position ou d’essayer de m’influencer par quelques
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obligatoirement l’acte de naturalisation. Je les
crois
sans exemple dans l’histoire, et sans équivalent dans nul autre pays.
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à quelques articles sur l’Amérique. C’est que je
crois
aux signes plus qu’aux faits ; aux courants de sensibilité plus qu’au
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vaudou, et, quand ils se mettent à crier, on les
croirait
au bord du délire collectif. Mais la danse prend fin, tout s’apaise.
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tristes, mais avec un sourire de rêve heureux. Je
crois
qu’ils sont bien moins conscients que nous. À quoi rêvent-ils ? À la
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richesse et à la liberté qu’elle leur donnerait,
croient
-ils. À une aisance qui va venir. C’est là tout le secret de ce que l’
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ce que l’on nomme leur optimisme. L’Américain ne
croit
pas aux limites. Une limite, c’est toujours la fin d’un rêve. Non seu
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bien ! pendant que j’y suis, un bon conseil : ne
croyez
pas que le grand public déteste autant que vous la nouveauté. Il a ai
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ront-ils plus adroits dans ce même jeu ? On ne le
croirait
pas à les voir. Curieux trio : un loup déguisé en mouton et deux mout
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tyle de vie, de leur way of life, parce qu’ainsi,
croient
-ils, tout le monde (et eux compris, bien entendu) se sentira plus en
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issent du blé et de l’argent pour l’acheter, mais
croyez
-vous que ce soit par pure philanthropie ? Soyez sûr qu’ils y trouvent
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pas. On va plus loin encore, s’il est possible. À
croire
la propagande des staliniens, c’est nous qui sauverions l’Amérique de