1
nom sert encore de recommandation (pour ceux qui
croient
aux « relations »). Cette vertu laïque et démodée, confectionnée par
2
ccepté. » Sur quoi le commissaire du gouvernement
croit
pouvoir remarquer « que l’on n’est pas ici pour parler de théologie e
3
our le moment le plus frappant, mais tout porte à
croire
que l’Amérique, demain, l’imitera, et même la France, si les question
4
e les chrétiens, fatigués de la lutte, viennent à
croire
qu’il est une autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’adver
5
douleur tient réveillé. On a essayé de nous faire
croire
que cet « ordre » social qui nous blessait, c’était un aspect nécessa
6
’« ordre chrétien » du monde. Nous ne l’avons pas
cru
longtemps, — le temps de nous souvenir de la guerre. Aujourd’hui, des
7
à l’intérieur de la religion. Les églises qui se
crurent
en droit d’édicter un « ordre chrétien », se fondaient toutes, et se
8
ancs. Ah ! qu’un sans-Dieu vienne me dire : je ne
crois
pas à vos paroles, chrétiens menteurs ! — et je lui répondrai : Ta ré
9
une « idée » qui sert l’injustice établie. Tu ne
crois
pas à ces paroles et tu fais bien, même si tu en souffres ; mais j’ai
10
car je suis encore plus sceptique que toi… Tu ne
crois
pas, dis-tu à ces docteurs, mais pourquoi les crois-tu soudain, quand
11
ois pas, dis-tu à ces docteurs, mais pourquoi les
crois
-tu soudain, quand ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand, par la mal
12
e défendre. L’Esprit n’est plus avec ceux qui ont
cru
pouvoir l’utiliser. L’esprit n’est jamais avec ceux qui le défendent6
13
me République, de l’Amérique et des Soviets. Nous
croyons
ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu sa vie, à la r
14
part les moralistes bourgeois — mais personne ne
croit
plus à la morale bourgeoise — d’autre part les immoralistes, mais ils
15
rien — j’entends personne ne prouvant plus qu’il
croit
à l’essentiel de ce qu’il dit —, la critique littéraire de cette litt
16
r les œuvres et leur influence sur les hommes, je
crois
bien qu’il faudrait le chercher aujourd’hui dans une science que je n
17
ouvelé, je ne dis pas de l’homme nouveau — je n’y
crois
pas — je dis : de l’homme rendu à la conscience de sa liberté. Toute
18
vée des hommes d’aujourd’hui avec les buts qu’ils
croient
viser, d’une part, et d’autre part avec les buts qui leur sont réelle
19
ment inquiets de se tenir au courant de ce qu’ils
croient
être la chose littéraire ; 2° parce qu’ils incitent les écrivains de
20
qui écrivent merde cent fois la ligne pour faire
croire
qu’ils sont forts. Je n’ai pas besoin que vous me désespériez. Je le
21
qu’ils ont l’air d’être, ou mieux pour ce qu’ils
croient
devoir se donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fi
22
la presse, par les partis et par le cinéma. Mais
croyez
-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiaste de Clocheme
23
ste de Clochemerle, grand roman de la pissotière,
croyez
-vous que cet homme tout de même ne disait pas lui aussi « aidez-moi !
24
et en objets d’autant moins résistants qu’ils ont
cru
concevoir, dans ce qui les attaque, une fatale loi justifiée en raiso
25
s. Il veut se garder pur, et reste virtuel. Il se
croit
maître de tous les objets, mais néglige d’en choisir aucun. Il chante
26
ortelle19 ; et c’est au nom de cette erreur qu’on
croit
pouvoir séparer l’âme du corps — quitte à ne plus savoir comment les
27
ivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils
croyaient
être : des novateurs, des créateurs, des révolutionnaires enfin. Le f
28
espèce de bavardage lyrique dont Breton sera, je
crois
, le tout premier à reconnaître qu’il sue le plus insupportable ennui.
29
es ont inventé cela. On peut toutefois ne pas les
croire
, et le spectacle d’un pareil tragique ne perdra rien de sa grandeur l
30
lité, voisine de la grandeur, de cet ouvrage ? Je
crois
que maint lecteur y découvrira peu à peu quelque raison très personne
31
L’un des critiques qui aient parlé le mieux, je
crois
, avec le plus de sympathie et de pénétration du deuxième livre de Rog
32
iales, d’ailleurs bien plus complexes qu’on ne le
croit
couramment. Au fond, son vrai sujet, c’est l’étude concrète de la com
33
dont la carrière s’épuise en une saison, si j’en
crois
l’amitié, les visages, et les couleurs si pures qu’il laisse dans le
34
homme que sous l’aspect de la nation ? Tel est je
crois
le problème central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelqu
35
nom de poésie » tout ce que l’on veut. Mais si je
crois
aussi, avec Arnaud Dandieu (chap. sur la métaphore dans son Proust) q
36
d’ironie. Le plus grave, sans doute, c’est qu’ils
croyaient
bien faire. Et personne à ma connaissance n’a mis en question leur sé
37
à l’accorder. Ce qui est nouveau, c’est qu’elles
croient
le savoir. C’est que la caricature officielle, scolaire, académique,
38
versel. Professeurs, députés ou commissaires, ils
croient
tous tant qu’ils sont que l’esprit est une espèce de luxe vénérable e
39
28, ou bien tenue à tort pour « théorique ». J’ai
cru
bon d’aller la saisir dans ses aboutissements les plus voyants, ou po
40
sitaire, qui l’a sans le vouloir autorisée. Je ne
crois
guère aux plans machiavéliques que certains écrivains de droite font
41
mais logiques et simples. (C’est ainsi que l’on a
cru
pouvoir « appliquer » la méthode cartésienne de la division parcellai
42
par la science dès le début du xxe siècle, on a
cru
sauver l’apparence en s’occupant sous le même nom — psychologie : sci
43
aux barbares, à ces clercs un peu méprisables qui
croient
que la pensée doit entrer en action, c’est-à-dire embrasser les « cho
44
re des injustices au nom de la justice qu’ils ont
cru
concevoir ! M. Renan sourit avec mélancolie. Le clerc spiritualiste,
45
éateur en même temps qu’une critique radicale. Je
crois
apercevoir d’ici une possibilité de repêchage du projet de nos commis
46
cette réalité, — notre culture par exemple. C’est
croire
à cette fin, et prouver qu’on y croit. C’est prophétiser pour agir. S
47
ple. C’est croire à cette fin, et prouver qu’on y
croit
. C’est prophétiser pour agir. Seuls les prophètes — et non les techni
48
un au moins paraît préoccuper M. Duhamel, si j’en
crois
l’article cité : « Comme tous les Français, je répugne à dépenser bea
49
ces prétendants déçus consiste alors à nous faire
croire
que les faits obéissent à des lois sur lesquelles l’esprit ne peut ri
50
nt automatiquement en sa faveur. Et le peuple qui
croit
les clercs, croit aussi qu’ils ne peuvent rien faire, et bientôt les
51
en sa faveur. Et le peuple qui croit les clercs,
croit
aussi qu’ils ne peuvent rien faire, et bientôt les méprise cordialeme
52
n’assumait aucune espèce de responsabilité. S’il
croyait
sérieusement que cet homme est juste, il le relâcherait. Mais qu’est-
53
ien leur attitude de fait devant le monde : s’ils
croyaient
sérieusement à la justice, ils feraient tout pour l’imposer. Ils se c
54
. Ils se compromettraient pour elle. Mais ils n’y
croient
qu’en théorie. Si bien que leur « spiritualisme » revient à tolérer s
55
ut-il avoir des yeux pour voir. Encore faut-il en
croire
ses yeux…) Il n’est d’art que physionomique. Il n’est d’esprit que da
56
te dans l’allure de la phrase chez Ramuz. On a pu
croire
qu’il n’avait pas le sens du rythme : c’est qu’il veut le rythme form
57
s de temps à l’intérieur d’une même phrase. Je ne
crois
pas qu’il soit possible de les ramener à une loi, ni même à un usage
58
parle Ramuz des faux poètes, des nominalistes. On
croit
voir transparaître dans ce passage des Six Cahiers le « négatif », ad
59
seule dans son œuvre, une perspective qui est, je
crois
, celle de la plénitude de cette œuvre. Par-delà tous les pays, il y
60
nd avec celle de la personne. Dans un essai où je
crois
distinguer l’aveu de soi le plus direct qu’ait jamais consenti Ramuz
61
me pas en tant que “primitifs” comme on semble le
croire
: il ne faut pas être seulement un primitif, il faut être aussi un pr
62
, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de
croire
aux sornettes des popes. En somme, ce qu’ils admirent dans la Russie
63
te, configuration d’une Idée par des hommes qui y
croient
, et qui, à cause de cette foi, voudraient en remplir le prolétariat.5
64
omme un jugement porté sur cette situation. Je ne
crois
pas aux voix mystérieuses mais je crois à l’appel des faits. Considér
65
on. Je ne crois pas aux voix mystérieuses mais je
crois
à l’appel des faits. Considérons les temps et les lieux où nous vivon
66
ndeur digne de tous les sacrifices. Et comment ne
croirait
-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus mythique, quand on y sa
67
nouveau l’Église en tant que société de ceux qui
croient
, et qui revient à la doctrine du bien commun. Elle agit dans le mouve
68
au sens goethéen de ce terme. Ce n’est pas là, je
crois
, sa pente naturelle ; plutôt l’effet d’une permanente correction que
69
es sont, à bien peu près, rebutantes. On pourrait
croire
, même, que, pour modérer les appétits, étoffes, objets, etc., se fass
70
Staline-Métaneire. Pourquoi Gide continue-t-il à
croire
qu’en d’autres circonstances, l’expérience marxiste eût réussi ? Sa c
71
pelle la bête, le dictateur. Gide voudrait ne pas
croire
au péché. Mais moi, je ne crois pas aux dieux. Pour nous, la révoluti
72
voudrait ne pas croire au péché. Mais moi, je ne
crois
pas aux dieux. Pour nous, la révolution ne créera pas un homme nouvea
73
Goya, adhérez au PC ! Voilà qui est simple. Mais
croit
-on que la culture vivante soit beaucoup moins menacée en France ? Est
74
oite, — ou inversement ? Ils ont bien l’air de le
croire
, ces messieurs. Pourtant : on lit de moins en moins, en France, où ri
75
ont un peu moins simplets que ces partisans ne le
croient
. Et que ce n’est pas d’abord contre le fascisme à l’étranger, mais d’
76
s distraire pendant l’opération, et de nous faire
croire
que ce n’est pas lui qui agit… Pourtant ses personnages ne sont pas p
77
Cette thèse, après tout vraisemblable — on a bien
cru
à l’« honneur national » ! — est évidemment symbolique. L’on est cens
78
Français cultivé une idée plus marxiste qu’on ne
croyait
: ce serait le gogo intégral. Ce serait par exemple le lecteur qui n’
79
majuscule ne suffit pas à le définir. Page 20, on
croirait
bien que c’est « la raison ». Mais l’ensemble du manifeste donne pens
80
as dans la liberté. » (Phrase qui aurait pu faire
croire
que l’URSS est pacifiste). Mais on a laissé figurer le nom de Gide pa
81
peu chantant, voilé, énigmatique par endroits. On
croit
assister du jardin à quelque scène intime, entrevue dans une chambre,
82
i courante : il a la veine. Mais notre jacobin ne
croit
à la Raison et à la Science mère du Progrès, que dans la mesure où ce
83
la signifie qu’elle est plus importante que je ne
croyais
? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas ? Je vais m’y met
84
je vois que je mentirais si j’écrivais que je n’y
crois
pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me
85
l’instant où l’on découvre que tous les autres en
croient
autant, que ces autres cessent d’être une menace, une masse abstraite
86
se déshumanise rapidement parce qu’il cesse de se
croire
des droits « irrationnels » et immédiats contre l’État. Le sens de la
87
ui les limitaient normalement. L’homme cessant de
croire
à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la
88
oi — à ses superstitions incomparables — se met à
croire
de la même manière aux lois et aux pouvoirs qu’il aurait dû combattre
89
plus souvent dans un langage conventionnel qu’il
croit
de mise, s’adressant à un écrivain. Ou bien il se répand en confidenc
90
nière de s’exprimer qui en dit plus long qu’on ne
croirait
. « J’ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi », note Pa
91
ait, pensions-nous, tout leur logis — nous avions
cru
comprendre que les autres pièces étaient vides ou ne servaient que de
92
concevoir qu’on puisse même s’étonner. Et ne pas
croire
, surtout, qu’il s’agit là de « préjugés », comme disent les jeunes pe
93
15 mai Comme l’année dernière, à la même date je
crois
, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité cyclique. Les dieux l
94
ntre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne
croient
qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! I
95
le sens, l’esprit, le caractère, la longueur. Je
crois
bien que cela me suffirait. » Et quelques pages plus loin : « Écrire
96
qui est. Au surplus, M. Benda se trompe quand il
croit
juger de Sirius. Il est encore en pleine affaire Dreyfus. Il se vante
97
un redoutable questionneur que C. F. Ramuz. Vous
croyez
tout d’abord qu’il interroge simplement par curiosité, ou par une sor
98
se : exister en fonction des voisins, on pourrait
croire
que c’est à peu près l’idéal que Keyserling juge à notre mesure, celu
99
raison d’être, et le prestige qui s’y attache. On
croit
souvent, surtout chez nous, qu’un petit pays a, comme tel, l’obligati
100
ne peut plus prétendre à jouer un rôle analogue,
croit
-on que son droit à rester neutre soit suffisamment garanti du seul fa
101
lle n’est nullement, comme certains voudraient le
croire
, une espèce de juste milieu entre les excès déplorables de l’individu
102
réellement, c’est-à-dire de près, corps à corps.
Croit
-on que Ramuz eût écrit ce Chant de notre Rhône, si « roman », sans le
103
n que tout nous pousse à continuer, et qui, je le
crois
, n’a pas encore réalisé ses possibilités extrêmes. Nous avons le goût
104
nt plus qu’ailleurs pour un luxe. (Nulle part, je
crois
, les écrivains n’ont moins d’action sur la vie politique.) Il est cla
105
ation n’a pas de raison d’être en soi, si l’on ne
croit
pas à cette fédération et à la tâche qui lui incombe au milieu de voi
106
se dont témoignent ces mêmes milieux. Ce serait à
croire
parfois que pour être un bon Suisse, il faut et il suffit que l’on so
107
a fédération, donc à l’armée qui la défend. Je ne
crois
pas d’ailleurs que les armes matérielles soient pour nous une défense
108
acilité avec laquelle on se marie encore « sans y
croire
». Le rêve de la passion possible agit comme une distraction permanen
109
és des moralistes : mais personne ne peut plus le
croire
, à l’âge du film et du roman — nous sommes tous plus ou moins intoxiq
110
elève des statistiques publicitaires. L’homme qui
croit
désirer « son » type de femme se trouve intimement déterminé par des
111
et nous ne sommes pas des Don Quichotte… » Je le
crois
bien ! C’est même à cause de cela que vous ne ferez rien de sérieux.
112
, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’on
croyait
contraire aux préjugés réactionnaires, qu’on se figurait, bien à tort
113
86. Sauf peut-être aux États-Unis, s’il faut en
croire
certains échos de presse sur la vie privée des stars et des magnats d
114
le cours est calculable. (Au xiie siècle). J’ai
cru
cerner le secret de son mythe. La découverte ne serait pas négligeabl
115
t, soit du point de vue des romantiques — si l’on
croit
à Iseut —, soit du point de vue du clerc parfait — si l’on croit à so
116
, soit du point de vue du clerc parfait — si l’on
croit
à son œuvre —, soit du point de vue spirituel pur, pour ceux qui croi
117
soit du point de vue spirituel pur, pour ceux qui
croient
. Il n’est possible alors d’affirmer le mariage qu’au-delà des deux pr
118
t objectivement un choix de cet ordre, on donne à
croire
que tout se ramène à une sagesse, à un savoir ; et non pas à une déci
119
problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne
croyait
pas — alors que le seul vrai problème est de savoir comment Lui obéir
120
ystique, mais qui s’ignore, naturellement, et qui
croit
être un vrai amour pour l’autre. L’analyse des légendes courtoises no
121
pouvait pas l’imaginer. Il était donc condamné à
croire
Éros, c’est-à-dire à se confier dans son désir le plus puissant, à lu
122
ouvait le conduire qu’à la mort. Mais l’homme qui
croit
à la révélation de l’Agapè voit soudain le cercle s’ouvrir : il est d
123
révéler sa vérité. Et c’est pourquoi l’homme qui
croit
au mariage ne peut plus croire sérieusement au « coup de foudre », et
124
ourquoi l’homme qui croit au mariage ne peut plus
croire
sérieusement au « coup de foudre », et encore moins à la « fatalité »
125
lyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime
croire
à la fatalité, qui est l’alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi
126
encore le mythe, naturellement, qui nous le fait
croire
, avec son obsession de l’amour contrarié. Il serait plus vrai de dire
127
ue le dilemme passion-fidélité peut nous le faire
croire
. De fait, on ne connaît jamais que les problèmes dont on pressent au
128
’est une scandaleuse tricherie aux yeux de qui ne
croit
pas à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et infiniment plus
129
plus et autre chose qu’une « solution », pour qui
croit
que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamais l’aimé. Certes,
130
ché, c’est la sublimation d’Éros. » 98. Comme le
croira
cependant Novalis renouvelant la mystique courtoise et les vieilles t
131
fficace aux yeux de qui préfère le mythe, et veut
croire
aux révélations de la passion. 101. B. Croce, Etica e Politica. 10
132
Et l’on pensait qu’ils seraient les premiers à y
croire
, et à le prouver. Or, il ne paraît pas qu’à cette critique ait répond
133
ances d’études et de mises au point. 3. Car on ne
croit
pas suffisamment à ce qu’on affirme, à savoir la mort des partis. 4.
134
sé — la négation parfaite de nos doctrines. 6. On
croit
si peu à la mort des partis qu’on n’imagine pas d’autre action possib
135
14. Pour se risquer personnellement, il suffit de
croire
personnellement à ce qu’on affirme. 15. L’attrait du parti n’est qu’e
136
e vous parlez de l’histoire comme quelqu’un qui y
croit
encore, et qui escompte que le lecteur y croit. Or moi je n’y crois p
137
y croit encore, et qui escompte que le lecteur y
croit
. Or moi je n’y crois pas du tout. Je ne crois pas aux « faits objecti
138
ui escompte que le lecteur y croit. Or moi je n’y
crois
pas du tout. Je ne crois pas aux « faits objectifs » dont l’historien
139
r y croit. Or moi je n’y crois pas du tout. Je ne
crois
pas aux « faits objectifs » dont l’historien prétend communément « pa
140
l’historien prétend communément « partir »109. Je
crois
qu’il y a un matériel hétéroclite de textes, de dates, de noms de per
141
ent plus se faire d’illusions — que du public qui
croit
aux manuels. Je ne dis pas cela contre vous. Je le dis pour situer vo
142
ns le passé, et là où elle sévit dans le présent.
Croyez
bien qu’en tant qu’interprète et théologien de l’histoire, je n’ai pa
143
ce passionnée et à cette beauté intérieure, si je
croyais
cette conception dépassée, je n’aurais pas écrit mon livre. L’amour c
144
nson », comme on disait au temps des troubadours.
Croyez
-moi, je ne cherche pas à esquiver des objections précises111 par un r
145
mène à me demander pourquoi vous y tenez tant. Je
crois
voir la réponse dans votre conclusion. Et force m’est alors de reconn
146
la suite) c’est qu’elle trahit son état. Quand on
croit
le fossé comblé entre elle et le monde, c’est qu’on se trompe à la fo
147
éduction du fait à une signification. L’Américain
croit
aux faits, dur comme fer. Il les réduit d’ailleurs en chiffres et se
148
suffiraient pour que chacun gagne. Enfin, ils ne
croient
pas au Mal… Le krach de 1928, Hitler, la guerre, et quelques privatio
149
mais pas vous. Car ma phrase signifie, à vous en
croire
, que deux millions de personnes déplacées, la torture et « notre désa