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r pour Hitler », car l’ambition réelle du Führer,
croyait
-il, était d’appliquer le programme communiste. (Je donne cette opinio
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ole du rêve et de la volonté du Nouveau Monde. On
croyait
close l’ère des pionniers, l’ère des défricheurs de savanes qui firen
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est maintenant destiné aux jeunes Américains. Je
crois
qu’on en a peu parlé en Suisse ? En effet. Qu’y enseigniez-vous ? J’a
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de la bombe atomique ? Non, et nul ne le sait, je
crois
, en Amérique. Mais une polémique ardente, sur l’opportunité de le liv
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d’esprit critique. Quant à leurs loufoqueries, ne
croyons
pas qu’ils les prennent au sérieux : c’est un genre d’humour qui leur
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e un cas tout à fait singulier. Je suis prêt à le
croire
. Mais enfin, cela ne va pas de soi. Question 3. – « Le départ vers P
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ez trop souffert la longue horreur des camps pour
croire
au sursaut de l’humain qui pourrait seul sauver l’Europe. Les autres
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rdrons ces deux ans si l’Europe dès maintenant se
croit
perdue, si elle cède au vertige, à l’illusion d’urne impuissance qui
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proposer qu’on choisisse un Grand Homme. Vous n’y
croyez
sans doute pas plus que moi. Et vous dites : « Ou bien un enfant… » N
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o me rappelle que je m’y trouvais aussi… Veuillez
croire
, Monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments bien cordiaux. l.
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nnants de créations du premier ordre. Et cela, je
crois
, pour les deux raisons suivantes : premièrement, la passion créatrice
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r nos relations futures avec le Marché commun, on
croirait
que l’union de l’Europe se réduit à des problèmes de tarifs douaniers
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que l’Amérique découvre subitement, et déjà elle
croit
que c’est fait… À 3 heures, la grande salle est pleine ; et l’on me c
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des imitateurs. Le but des Soviétiques, à les en
croire
, est de rattraper l’Amérique, qui est une invention de l’Europe. Croy
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er l’Amérique, qui est une invention de l’Europe.
Croyons
à nos valeurs et prouvons-le, c’est ce que le monde attend de nous, p
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n a tiré une œuvre forte, c’est Ramuz. Mais il ne
croyait
pas à l’Helvetia et à l’homo helveticus. Il ne croyait qu’au pays de
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it pas à l’Helvetia et à l’homo helveticus. Il ne
croyait
qu’au pays de Vaud, réduit aux vignes, et pimenté d’exotisme valaisan
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ne une impression de sécheresse, d’épuisement. Ne
croyez
-vous pas que l’Europe est épuisée ? Absolument pas. D’ailleurs, si el
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tifs ou par les interdits de la religion… Moi, je
crois
que le christianisme a repris sa marche en avant. … de la morale et d
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lui a permis de prendre un envol extraordinaire.
Croyez
-vous que l’étude systématique du xie et du xiie siècle nous donnera
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enis de Rougemont. « Les modernes — écrivait-il —
croient
qu’il existe une sorte de nature normale, à laquelle la culture et la
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séparation et les distances entre le savoir et le
croire
, entre ces deux aspects de la personne totale, jadis but et module de
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tes les facultés et instituts spécialisés. Je n’y
crois
pas. La presque totalité des expériences tentées dans cette intention
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urant nos années parisiennes, nous n’ayons pu, ou
cru
pouvoir, nous rencontrer. « Ce sont de ces conneries ! Et que l’on ex
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’il y avait là-dessus des bibliothèques ; il n’en
crut
rien, visiblement, et avec raison : son Augustin à lui était sans nul
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bien mal vu des professeurs dans ma jeunesse, ils
croyaient
dur comme fer à « l’unité », l’unité à tout prix, fût-ce au prix de l
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r-devers moi la précision des sentiments. Si vous
croyez
qu’un sentiment, c’est vague, lisez Jacques Chenevière, vous y découv
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onationalisme cantonal, notamment) et ce qui fait
croire
que l’Université existe encore (routines, vanités, ignorance surtout,
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ent a fait demi-tour dans l’esprit du public : on
croit
bonnement qu’un auteur engagé est celui qui s’en est remis une fois p
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œuvre ne constitue une partie de la réalité qu’il
croit
décrire quand il l’écrit… ⁂ On ne peut donc parler que de différents
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es options philosophiques et religieuses que l’on
croit
justes. ac. « Vers l’Europe des régions », Gazette de Lausanne (sup
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jections qu’il avait faites à la seconde, dont je
croyais
d’abord qu’elle pouvait se suffire. Longtemps, Jean P. (comme il sign
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pas « le petit fait faux » qui seul intéressera,
croit
-elle. ad. « Jean Paulhan », Gazette de Lausanne (supplément littérai
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nce quotidienne de 700 millions de Chinois qui se
croyaient
confucianistes, bouddhistes, ou sans croyance aucune… Mais ce n’est p
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euse, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on
croit
le sentir en Occident ; l’apport slave au xixe ; l’art africain et l
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ir l’Europe ! Voilà qui explique suffisamment, je
crois
, pourquoi l’on n’a pas avancé d’un centimètre en direction de notre u
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toujours eu pour fin réelle la puissance ; et je
crois
bien que toutes les civilisations que nous connaissons ont choisi la
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ou liberté comme finalités de l’union. Mais je ne
crois
pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois pas à cette « imp
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ois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne
crois
pas à cette « imposante confédération » qu’évoquait le général de Gau
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eurs prétentions à la souveraineté absolue. Je ne
crois
pas à cette amicale des misanthropes. Je crois à la nécessité de défa
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ne crois pas à cette amicale des misanthropes. Je
crois
à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt, de les dépass
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elques demi-mensonges, l’important est de n’y pas
croire
, sinon ce serait la preuve qu’on a perdu le contact avec le mystère b
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othard. La Suisse n’est nullement née comme on le
croit
trop souvent (et pas seulement à l’étranger) de l’union de vingt-cinq
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l collectif, mais bien une complémentarité. Je ne
crois
pas que des élèves doués puissent avoir à souffrir de travailler avec
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maître se substitue celle d’un camarade. Vous ne
croyez
pas à la « socialisation par le groupe » ?… Je crains la loi de la ju
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merveilleusement dans ma tête, parce que je m’en
croyais
l’inventeur… » 10. « … une classe unique, les aînés aidant les plus
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ngé, qu’on se rassure, et même à 180°, comme on a
cru
pouvoir me le reprocher dans la presse de cette ville. Et c’est cela,
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, décidément, et beaucoup plus encore qu’on ne le
croirait
: car l’expression « exploitée de façon quasi militaire » non seuleme