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mplexe — sont plutôt optimistes. Il ne paraît pas
croire
à un péril oriental très pressant, ni surtout que nous ayons à cherch
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uit la religion du « Prince de la vie »… Qu’on ne
croie
pas, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment critique de M. de
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ose. Est-ce une histoire qui finit bien, comme le
croyaient
les écrivains anglais du xixe — en conséquence de quoi les romans de
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les Écritures ; peut-être aussi des saints qui se
croient
plus mauvais que tous ; surtout et jusque dans les choses, un mystère
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des milieux directement intéressés, on ignore, je
crois
bien, à peu près tout de cette condition des écrivains. L’on s’en fai
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u cinéma. C’est agréable, pour un écrivain, qu’on
croie
tout cela… Je doute que ce soit bien utile. Un membre de l’Académie G
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oger sur les raisons profondes du mal ? Je ne les
crois
pas seulement matérielles. Je crois au contraire qu’elles affectent l
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l ? Je ne les crois pas seulement matérielles. Je
crois
au contraire qu’elles affectent les sources vives de notre civilisati
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es disposent des meilleures armes ? Je persiste à
croire
, malgré tout, que c’est elles qui résoudront le mieux le problème de
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la société en pâtit, plus gravement qu’elle ne le
croit
, sans doute. Une situation si compromise ne se rétablira point par qu
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t d’amuser ou de se montrer original. Et qu’on ne
croie
pas que l’art en souffrirait : l’exemple des grands, d’un Dante ou d’
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ssite d’une telle synthèse, dont il est permis de
croire
qu’elle exprime la vocation européenne des Suisses français dans l’or
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ublicitaire mi-sportif, et l’on a souvent peine à
croire
que l’enjeu de cette compétition soit tout à fait pris au sérieux par
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meubles blancs, et ce grapefruit. Ils la vengent,
croit
-elle, d’une Amérique « où tout est laid », mais d’où ils viennent. ⁂
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— en plein cinquième arrondissement — quand je me
croyais
encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et prov
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s grand-chose. Comment fédérer des nations qui se
croient
encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Les Suisses ont réussi : voyo
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sses ont réussi : voyons la Suisse. Tout le monde
croit
l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a fallu plus de cinq-cents ans
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tous les cas. Mais nous ne voyons aucun motif de
croire
qu’on leur laissera tout le temps d’aller lentement, et le loisir d’ê
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cet été, vous serez oubliés cet automne. Si vous
croyez
qu’il vaut mieux ne rien faire, ou qu’on ne peut rien faire de sérieu
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é. Mais si quelques-uns d’entre vous, comme je le
crois
, sont fédéralistes, qu’ils le disent, qu’ils proclament leur but, et
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se regarder comme la maîtresse de l’Univers, et à
croire
le reste du genre humain créé pour son utilité. Des hommes, admirés c
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ectique » du partenaire : ce n’est pas à ceux qui
croient
cela que les Russes demanderont à parler ! Les contempteurs de l’Occi
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ssie soviétique, ses clients et ses partisans. Je
crois
avoir été le premier à proposer, ici, la reprise du dialogue culturel
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’un acte bien défini, qui m’eût valu un peu plus,
croyez
-moi, que les quinze jours de forteresse auxquels le Général m’avait c
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nière de ses lois ceux qui commettent la faute de
croire
à ses fondements moraux et politiques. Des jeunes gens comme René Bug
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ant à votre sous-titre « Tout ou rien », je ne le
crois
pas justifié par mon texte, et vous avez raison de refuser de me suiv
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r dans ses termes les plus authentiques. Veuillez
croire
, Monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments dévoués. aa. « Obj
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n’y aura plus de civilisation du tout. Et vous ne
croyez
pas qu’il y aurait des indices pour une autre culture, une autre civi
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le maoïsme aucun germe de civilisation nouvelle.
Croyez
-vous plus au succès des révolutions que des évolutions ? Je ne crois
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succès des révolutions que des évolutions ? Je ne
crois
pas du tout au succès des révolutions. Il n’y en a jamais eu une seul
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chute des civilisations ? Personnellement, je ne
crois
pas que les civilisations soient comme les plantes, qui poussent, don
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ature, a développé dans cette civilisation. Je ne
crois
pas que l’homme devient esclave des machines ; il est esclave de cert
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veux dire plus divin. Et ne me demandez pas si je
crois
que cela réussira : car nous ne sommes pas là pour essayer de prévoir
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essemble à un « l’éclatement de l’Éros », si j’en
crois
mes yeux et les statistiques. Le fait qu’un livre comme Love Story ai
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nant. Si vous deviez définir le rôle du sport… Je
crois
que le sport doit être pour l’individu une sorte de morale ; celle de
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honneur de mon pays ! » Quand on en arrive là, je
crois
qu’il n’est plus question de sport mais de délire nationaliste. Et la