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’il les répète ? À distance et en gros, l’on peut
croire
que tous les Français, par exemple, traduisent les mêmes réalités ou
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L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai
cru
comprendre qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean du Gard, expliqu
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s que nous ne savons plus prévoir. » L’auteur ne
croyait
pas si bien dire : en recevant les épreuves de son livre, il y trouva
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erie : Épicerie et spécialiste. L’auteur paraît
croire
à un rapprochement absurde. Il fait erreur. Nous sommes dans le Midi,
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décerne un certificat d’incapacité politique. Ne
croyons
pas surtout qu’il en soit aussi fier qu’il le paraît, et aussi satisf
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paraît, et aussi satisfait qu’il le proclame. Ne
croyons
pas qu’il considère sans envie notre périlleuse liberté, dont sa pres
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ants » n’ont jamais gouverné. Et ils n’ont jamais
cru
au régime de Weimar. Il n’y a sans doute pas, en Europe, de classe pl
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me complètement démoli, un temps. On ne peut plus
croire
à rien. » Maintenant il est disciple de Nicolaï Hartmann : la volonté
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n compagnon, le dramaturge allemand L. : — Vous y
croyez
, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas une formule grand
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t cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
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t comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions
croire
à quelque chose, nous voulions vivre pour quelque chose. Nous avons é
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s à celui qui nous apportait cette possibilité de
croire
. Le christianisme, probablement par la faute de ses ministres, ne sat
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isfaisait plus depuis bien longtemps au besoin de
croire
de la majorité du peuple. Nous voulons croire à la mission du peuple
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de croire de la majorité du peuple. Nous voulons
croire
à la mission du peuple allemand. Nous voulons croire à l’immortalité
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ire à la mission du peuple allemand. Nous voulons
croire
à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuil
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aque génération) et peut-être réussirons-nous à y
croire
. Ruine des croyances communes, carence du christianisme, appel irrat
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nouvelles raisons de vivre, volonté angoissée de
croire
à la première qui se présente — fût-elle aussi invraisemblable que «
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unisme. » C’est ainsi que beaucoup de braves gens
croient
trouver un terrain d’entente avec les dictatures qu’ils condamnent en
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i, réellement, il faut une sainte simplicité pour
croire
encore qu’on puisse détacher telle ou telle mesure prise par le régim
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taché sous peine de perdre toute espèce de sens !
Croit
-on que l’ordre social qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à
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une foi qui ne soit pas cette volonté anxieuse de
croire
à la Nation… Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement