1
e qui n’a plus d’autre attente. Qu’on n’aille pas
croire
cependant que le barthisme est un « retour » à quelque orthodoxie, ou
2
elques petits livres à tirage limité. N’allez pas
croire
qu’il s’agisse d’auteurs comiques : il s’agit d’abord de poètes. Je c
3
énement, et qu’il en est encore tout remué. On le
croira
sans peine : il n’a pas l’air d’avoir pu inventer ce qu’il raconte. C
4
lement, personnellement, activement. N’allons pas
croire
qu’il s’agisse là d’une nouvelle forme de pragmatisme américain. Dire
5
oïevski et Tolstoï sont plus protestants qu’on ne
croit
. Le reste est évident. — Quel reste ? — Les Anglais, les Allemands, l
6
e authentiquement « réformé ». Un grand roman, je
crois
. C’est Sara Alelia, de Mme Hildur Dixelius. On vient de le traduire d
7
ose. Est-ce une histoire qui finit bien, comme le
croyaient
les écrivains anglais du xixe siècle — en conséquence de quoi les ro
8
s de préjugés naturalistes. On a voulu nous faire
croire
que la vie quotidienne était le contraire de la poésie, et qu’être ré
9
es appauvrit tout, faute de vouloir imaginer. Ils
croient
voir l’existence réelle alors qu’ils décrivent simplement l’impuissan
10
sions amères. Amères pour la critique surtout, je
crois
. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un livre qui a le temps
11
saac en sacrifice ! Abraham ne se révolte pas. Il
croit
en Dieu, non point en sa raison humaine. Il selle son âne et s’en va
12
tait Luther, contre le clerc « désintéressé » que
croyait
pouvoir être Érasme. Elle nous permet de connaître l’une des origines
13
ité, présence d’une tradition. À vrai dire, on ne
croit
guère à ce pouvoir mortel d’un anneau dérobé dans une tombe (L’Anneau
14
se figure qu’une légende doit être crue, comme on
croit
les journaux, par exemple, et s’en indigne, et refuse de marcher !) L
15
ychologie la plus secrète des héros. L’on prie de
croire
, d’ailleurs, que ces héros sont bien assez complexes pour notre goût
16
t de l’imagerie sentimentale et romanesque, qu’on
croyait
épuisées depuis les Victoriens, retrouvent ici leur grâce et leur pre
17
comme si j’étais une bête curieuse, dit-elle. On
croirait
que tu as rencontré un ours ! » C’est Anna Svärd, la femme que Dieu l
18
où le statut du mariage se modifie profondément,
croyez
-vous que ce fameux triangle, qui suppose en définitive le mariage, pu
19
térature ? Denis de Rougemont réfléchit : Non, je
crois
que nous sommes à une époque de transition, que ce mythe risque de di
20
venture qui leur apparaît comme la seule évasion.
Croyez
-vous que cela puisse embellir, faciliter la vie commune ? Certes, non
21
ielles compliquent encore le problème du mariage.
Croyez
-vous que les problèmes de la vie sentimentale et sexuelle puissent tr
22
mbrasser l’ensemble des cultures connues, Toynbee
croit
pouvoir établir empiriquement, par l’examen comparatif des vingt et u
23
ement devenue universelle. Bien d’autres avaient
cru
cela d’elles-mêmes, avant la nôtre. Elles se trompaient, mais cette e
24
tion, sa couleur ou sa race. L’Égypte ancienne ne
croyait
rien de tel. Le mot homme y était synonyme d’habitant de la vallée et
25
simple remarque : si tant de civilisations qu’on
croyait
endormies sont tirées de l’oubli au xxe siècle, si tant d’écoles ant
26
nouvelle fois pour le Vieux Continent, dont il ne
croit
pas le destin achevé, en publiant chez Albin Michel une Lettre ouver
27
est vous l’auteur de L’Amour et l’Occident ? Je
croyais
que vous aviez une grande barbe blanche. » C’était la première réacti
28
nom d’une morale puritaine, comme certains l’ont
cru
, mais au nom d’une morale d’artiste. Tout homme est amené à être créa
29
voir avec la publicité. Ça peut être secret. Je
crois
beaucoup à une notion secrète de la gloire. La gloire n’est pas donné
30
ut, mon incroyance, ma croyance, ma difficulté de
croire
, mon impossibilité de ne pas croire. Tout cela avec la plus grande pr
31
difficulté de croire, mon impossibilité de ne pas
croire
. Tout cela avec la plus grande précision dans le détail, car il n’y a
32
en évitant tout ce qui peut avoir l’air de faire
croire
aux gens que pour moi croire en Dieu est bien, ne pas y croire est ma
33
avoir l’air de faire croire aux gens que pour moi
croire
en Dieu est bien, ne pas y croire est mal, et vice versa. Pour être c
34
ns que pour moi croire en Dieu est bien, ne pas y
croire
est mal, et vice versa. Pour être complètement sincère, j’éprouve aut
35
sincère, j’éprouve autant de difficultés à ne pas
croire
en Dieu qu’à y croire, et ce n’est pas peu dire. Cela veut peut-être
36
ant de difficultés à ne pas croire en Dieu qu’à y
croire
, et ce n’est pas peu dire. Cela veut peut-être dire que le problème e
37
lle le développement de l’homme. D’autre part, je
crois
qu’il y a une grande naïveté à discuter sur l’existence ou la non-exi
38
ire : comment une cellule de notre corps pourrait
croire
à l’existence de ce corps ? Elle n’a aucun moyen d’en prendre connais
39
rois degrés, la presse, les livres, qui nous font
croire
, depuis plusieurs générations de bons élèves et de maîtres eux-mêmes
40
ni par des frontières naturelles. Et nous l’avons
cru
! Or tout est faux dans cet enseignement. Il n’y a pas de cultures