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vis plus ou moins fortement des sentiments que je
crois
avoir éprouvés à tel moment de mon passé. Parfois — rarement —, je pa
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désirs anciens ne me restitue qu’un dégoût. J’ai
cru
que je pourrais me regarder sans rien toucher en moi. En réalité, je
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teurs La fonction de l’homme est aussi bien de
croire
que de constater. F. Raub. La sincérité obstinée d’un Rivière n’a
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de cet âge. Mais il le faut dépasser.) Si j’en
crois
l’intensité d’un sentiment intime, ce moi idéal que j’appelle en chaq
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ù je vais me suicider, d’autant plus que vous n’y
croirez
pas — et pourtant… Il faut aussi que je vous dise qu’il fait très fro
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tobus passaient par groupes. Plusieurs fois, j’ai
cru
vous reconnaître dans la foule qui se précipitait, mais je n’avais pa
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rentrer seul. Je ne sais comment j’y parvins. Je
crois
que j’ai marché plusieurs heures avant de retrouver ma rue. Il doit ê
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des imbéciles, nous ne sommes pas de ces gens qui
croient
que 2 et 2 font 22, et qui confondent Jérôme et Jean Tharaud ! » Il y
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as dans un rayon échappé des Enfers — auxquels je
crois
encore, et pas seulement pour le pittoresque. — Attrape ! Il n’exis
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te un peu ridicule. C’est ainsi que l’on arrive à
croire
, pour un autre, que c’est arrivé, ajoutant foi, dans tous les sens qu
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ulle part sur cette terre où l’orgueil des hommes
croit
pouvoir nous le désigner, veut nous l’imposer pour quelles fins assez
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er impertinent de votre part. (Le reconduisant :)
Croyez
, Monsieur, à mon estime la plus vive. Mais décidément nous sommes déb
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ends votre plaisir… III Il y a des gens qui
croient
avoir tout dit quand ils ont montré à l’origine de telle doctrine mys
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… Mais non, il y aurait trop à dire, et puis l’on
croirait
encore que je suis avec ceux qui traitent Aragon, Breton et leurs ami
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t blanchi. Il me regardait avec une terreur ou je
crus
distinguer je ne sais quelle déchirante nostalgie. Pour lui, sans dou
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es-mêmes auparavant, et pas toujours défavorable,
croyez
-le bien… Le goût de la propriété étant à mon sens l’un des plus vulga
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d’inquiétude. Et cela n’est pas sans me charmer,
croyez
-moi. Car, enfin, si je suis ici à vous écouter, c’est que je cherche
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ience ! qui s’attache à vos faits et gestes. L’on
croirait
ouïr parfois le récit de quelqu’une de ces farces d’étudiants qui ne
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s, quelque paysan du Danube survenant : — Je vous
croyais
écrivain ? — Hélas ! soupirez-vous. Mais j’ai tué la littérature en m
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u devant un public supposé dévot, et qui n’ose en
croire
sa pudeur, et qui doute enfin de l’impossibilité des miracles ! Quell
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tendez d’elle. Pour dire le fond de ma pensée, je
crois
ce mépris et cette attente également exagérés. Vous savez bien que no
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pas de pardon. Car ils ont vu, et s’ils n’ont pas
cru
, c’est qu’ils sont foncièrement mauvais.) 6. Peu de choses dans le mo
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us profonds mystères de notre condition, et je ne
crois
pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement des passions am
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doctrine en vérité moins généreuse que ne veut le
croire
M. Gide, — si pareil entre les griffes de son égoïsme à la souris qu’
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commençait un roman. Son absence nous fera-t-elle
croire
qu’il apporte un soin tout particulier à le parfaire ? — il est bient
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ement rédigées dans les marges. M. Reymond, je le
crois
, ne m’en voudra pas trop de leur vivacité : il connaît bien les Neuch
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fisance de la pensée ancienne ? Les historiens le
croient
volontiers. Mais on ne saurait dire qu’ils témoignent par là de beauc
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ire entre barthisme, thomisme et réaction. Barth,
croyons
-nous, n’a jamais proposé ni prôné de dogmes « si possible immuables »