1 aient chacun aussi grand que le tout, mais sans y croire et sans s’y préparer vraiment. Insistons donc sur deux ou trois banal

2 allaient être tentés sur l’océan, notre savant a cru de son devoir d’avertir aussitôt Washington. D’après ses calculs, dis

3 les tout premiers chrétiens, s’il est vrai qu’ils croyaient le Jugement imminent, mouraient avec une grande facilité sous la main

4 humaine qui s’y livre à ses vices. La Renaissance croyait plutôt à un nouveau Déluge. Léonard le figure dans une série de dessi

5 de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comme une voix du rêve, dans

6 ers la paix ou la mort. Disposition favorable, je crois , à des réflexions réalistes. Je reviens donc à mes atomes. Parmi tous

7 t Paul admirait à Athènes, mais j’ai tout lieu de croire qu’il existe à New York. Serait-ce cette église du Centre Absolu, don

8 ommunion reçue à genoux devant l’autel, vous vous croirez chez les romains, mais vous serez chez les anglicans si l’officiant e

9 ommes pas ce qu’ils ont parfois presque raison de croire que nous sommes : des démissionnaires de l’Histoire. La véritable tro

10 pagande est l’emploi de la magie par ceux qui n’y croient plus contre ceux qui y croient encore. » Comment donc allons-nous rép

11 e par ceux qui n’y croient plus contre ceux qui y croient encore. » Comment donc allons-nous répondre au défi des totalitaires,

12 ement, il est gênant de parler de cela quand on y croit , dans un tel lieu, et sous les projecteurs de cinéma… Je répondrai à

13 es options philosophiques et religieuses que l’on croit justes. k. « Vers l’Europe des régions ? », Réforme, Paris, n° 1237

14 cause européenne, qui semblait endormie, ou qu’on croyait perdue, s’est réveillée par l’intervention imprévue des régionalistes