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bien tranchées, que ces journaux leur servent. Je
crois
qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la discussion annoncée apr
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mon opinion, ou si elle peut vous être utile… je
crois
que vous êtes encore trop compliqué pour ce public. Il me semble qu’o
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r monsieur. Mais c’est plus difficile que vous ne
croyez
. Il faut que je vous dise que c’est la première fois que je parle ici
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te on verra si on peut aller plus loin. — Mais ne
croyez
-vous pas qu’on pourrait gagner leur confiance en leur parlant plus fa
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nt six ans la même chose, ils vous remercient, on
croit
qu’ils ont compris, et puis un beau jour on s’aperçoit que… rien, rie
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mbre 1933 Derrière la même pile d’assiettes où je
crois
avoir déjà dit que j’avais trouvé deux ouvrages traitant de mon île,
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avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu’ils
croient
voir leur astuce. Astuces, petites secousses, grandes secousses, indi
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pinion de mon voisin après la conférence, j’ai pu
croire
que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est celle d’un clerc
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spéciales des gens d’ici, j’ai hésité longtemps à
croire
que la raison en était réellement aussi simple. Je connais tout de mê
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rop de journaux, ne lit que cela, et finit par se
croire
« le Peuple », tel que l’imaginent les bourgeois et leurs journaliste
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, soupes, fruits de mer, seiches, et poissons, je
crois
que c’est à peu près tout) ; mais pourquoi vivraient-ils autrement ?
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ancs, que leurs fils iront perdre à la ville : je
crois
cependant que la proportion des fous est moindre ici que sur le conti
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et aux politiciens. Il faut vivre à Paris pour y
croire
. Réveillez ce peuple, il sera peut-être capable de grandes choses — c
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car il est plus « heureux » que vous. Il faudrait
croire
fanatiquement à une vérité absolue, qui vaille mieux que la paix et l
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État faible, dont le centre est lointain, qui ne
croit
à rien, et qui par suite ne peut rien exiger de sérieux. Mais il y a
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s d’observations nouvelles sur la province, et je
crois
d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient sensiblement
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s, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne
croyons
plus aux curés ! — Comptez, monsieur, — lui dis-je, — qu’un écrivain
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sive, deux choses qui compliquent fort la vie, je
crois
; ou bien l’on écrit des choses intelligentes, et c’est encore l’aveu
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des dictateurs, des milliardaires ou des saints.
Croyez
-moi, ce que nous vous donnons, c’est justement ce qui nous manque, et
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ment là-bas, aussi bien que j’avais pu le laisser
croire
; si ce n’était pas encore un de ces régimes de dictature ; si les pa
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e langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
croyaient
comme les autres que c’était plutôt ridicule. Telle est la pauvre cha