1
ent confus d’exil et de plaisir dont souvent j’ai
cru
distinguer la contagion dans le regard de mes voisins. Ainsi d’autres
2
avec un sentiment religieux de la beauté. Mais je
crois
que l’Occident est devenu fou. Il ne comprend plus rien. » Des bugles
3
leurs illusions, — ces formes passagères que nous
croyons
seules réelles, ces reflets qui nous illuminent le visage terrestre d
4
ut ce qu’il y a sous le soleil, et même ailleurs.
Croyez
-moi, vous pourriez écrire une Vie simultanée de Gérard : elle tiendra
5
tôt des règles de jeu, et personne n’a l’idée d’y
croire
. Le pire mensonge est dans la vie réputée pratique, parce qu’il n’y e
6
gris. Une corde de violon saute dans sa boîte. Je
crois
que dans ma tête aussi, des choses obscures se détendent par à-coups.
7
dresse pour tous les possibles, qu’on appelle, je
crois
bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux v
8
dant, mes regards errant sur une bibliothèque, je
crois
y trouver mon salut : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, v
9
reil est par là même extraordinaire. Celui qui ne
croit
pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; mais celui-là
10
hoire. vi Doutes sur la nature du sujet Je
crois
qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écri
11
ir. Espoir sans doute chimérique, mais qu’on peut
croire
bien près d’être comblé dans ce pays où les courtiers ne donnent pas
12
de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me
croit
triste. Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme
13
eais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je
crois
, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pou
14
e suis pacifiste. Comment ne pas l’être ! Mais je
crois
que les pacifistes qui veulent assurer la paix par la mutilation des
15
in errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux
croit
-on) est frappé d’insolation ; sa folie d’un coup l’envahit. C’est une
16
èvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont
cru
pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie.
17
une fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je
croyais
voir un éclair blanc sous la futaie.) J’avançais à travers une nature
18
, faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je
croyais
m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire bienheureuse.
19
udra s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls
crus
germaniques. J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculp
20
— Paracelse et Swedenborg s’accorderaient, je le
crois
, pour répondre. L’homme est un point de vue central et médiateur entr
21
son magazine, et me voit comme au cinéma. Moi, je
crois
entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier Faust. Presque
22
a oublié la clef de l’armoire aux confitures. (Je
crois
qu’il y a dans cette armoire un cordial tout indiqué en l’occurrence.
23
et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
croyais
qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éve
24
rien faire : c’est que depuis quelques jours, je
crois
, oui je crois bien que je sens la vie tout le temps… 15 juillet 19
25
c’est que depuis quelques jours, je crois, oui je
crois
bien que je sens la vie tout le temps… 15 juillet 1929 Le père
26
aura une douzaine encore jusqu’à Stuttgart, où je
crois
bien qu’on doit arriver vers 8 heures, J’ai d’abord essayé de me conf
27
élivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui
croient
devoir, ou se devoir. De ces gens grossièrement distingués qui ne vou
28
us profonds mystères de notre condition, et je ne
crois
pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement des passions am
29
doctrine en vérité moins généreuse que ne veut le
croire
M. Gide, — si pareil entre les griffes de son égoïsme à la souris qu
30
commençait un roman. Son absence nous fera-t-elle
croire
qu’il apporte quelque préciosité à le parfaire ? — il est bientôt min