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jacassent dans leur patois rapide et monotone. Je
crois
que je me suis endormi un moment. Nous approchons du dernier village.
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s’agissait, dans ces articles, de ce que les gens
croient
être actuel, ou sont censés croire actuel, dans la littérature ou les
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que les gens croient être actuel, ou sont censés
croire
actuel, dans la littérature ou les idées. C’est cela qui paye, et qui
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Voilà l’espèce d’hommes français que je voudrais
croire
la plus authentique, et la plus digne d’incarner le concept de França
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meurt pas de faim dans nos pays », dit-on, et je
crois
bien que je l’ai dit quelquefois. Mais il y a aussi des exceptions, d
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son fils pourrait venir aussi voir la machine. Je
crois
bien que sans cette machine, je n’arriverais jamais à leur prouver qu
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bien tranchées, que ces journaux leur servent. Je
crois
qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la discussion annoncée apr
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mon opinion, ou si elle peut vous être utile… je
crois
que vous êtes encore trop compliqué pour ce public. Il me semble qu’o
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r Monsieur. Mais c’est plus difficile que vous ne
croyez
. Il faut que je vous dise que c’est la première fois que je parle ici
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te on verra si on peut aller plus loin. — Mais ne
croyez
-vous pas qu’on pourrait gagner leur confiance en leur parlant plus fa
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nt six ans la même chose, ils vous remercient, on
croit
qu’ils ont compris, et puis un beau jour on s’aperçoit que… rien, rie
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e 1933 Derrière la même pile d’assiettes où je
crois
avoir déjà dit que j’avais trouvé deux ouvrages traitant de mon île,
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avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu’ils
croient
voir leur astuce. Astuces, petites secousses, grandes secousses, indi
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pinion de mon voisin après la conférence, j’ai pu
croire
que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est celle d’un clerc
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ne peut pas le faire. Et de plus, il est seul à
croire
qu’il doit le faire. J’imagine qu’il doit apparaître, aux yeux des ha
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éconnu. Peut-être alors y en a-t-il plus qu’on ne
croit
… Je viens de regarder pendant un bon moment les consommateurs attablé
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du chômeur, soit que, bourgeois, ils refusent de
croire
à la nécessité organique et permanente de sa condition dans l’ordre c
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out, pour désigner un type un peu gâteux. Mais je
crois
plutôt que vous vous payez ma tête. » Ce qui renforce cette impressio
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rpassant finalement mes ennuis matériels. De là à
croire
que je ne suis qu’un amateur, ou que je pose au prolétaire, il n’y a
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de grandeurs inatteintes ? Serait-ce donc que je
crois
réellement à la Providence ? Beaucoup de philosophes contemporains di
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puissance ! La force est calme. Et il me plaît de
croire
qu’elle s’ignore. Je distingue clairement ceci : il y a une immense l
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leurs défis ou leurs succès — prouvent qu’ils n’y
croient
pas totalement. Ils demandent « confirmation » — au sens étymologique
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spéciales des gens d’ici, j’ai hésité longtemps à
croire
que la raison en était réellement aussi simple. Je connais tout de mê
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rop de journaux, ne lit que cela, et finit par se
croire
« le Peuple » tel que l’imaginent les bourgeois et leurs journalistes
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es, soupes, fruits de mer, seiches et poisson, je
crois
que c’est à peu près tout), mais pourquoi vivraient-ils autrement ? B
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ancs, que leurs fils iront perdre à la ville : je
crois
cependant que la proportion des fous est moindre ici que sur le conti
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et aux politiciens. Il faut vivre à Paris pour y
croire
. Réveillez ce peuple, il sera peut-être capable de grandes choses — c
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car il est plus « heureux » que vous. Il faudrait
croire
fanatiquement à une vérité absolue, qui vaille mieux que la paix et l
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État faible, dont le centre est lointain, qui ne
croit
à rien, et qui par suite ne peut rien exiger de sérieux… — Mais il y
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. Toutes choses que l’on aime surtout parce qu’on
croit
qu’il faut les aimer, ou parce qu’on n’a pas d’autres goûts que ceux
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entendre louer à l’église ou dans les livres. On
croit
que pauvreté est vice, et c’est même justement parce qu’on le croit q
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est vice, et c’est même justement parce qu’on le
croit
qu’on répète le proverbe qui dit le contraire. Je pense que la vraie
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. (Ne disons rien des hypocrites et des naïfs qui
croient
que louer « l’esprit de pauvreté » dispense de supprimer les facteurs
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l’esprit de pauvreté n’est-il donné qu’à ceux qui
croient
à autre chose qu’à leur vie, à autre chose qu’à leur succès, ou à leu
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Le but concret de la révolution économique que je
crois
moralement nécessaire, et d’ailleurs techniquement possible, c’est d’
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s d’observations nouvelles sur la Province, et je
crois
d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient sensiblement
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s, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne
croyons
plus aux curés ! » — « Comptez Monsieur, lui dis-je, qu’un écrivain a
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sive, deux choses qui compliquent fort la vie, je
crois
; ou bien l’on écrit des choses intelligentes, et c’est encore l’aveu
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des dictateurs, des milliardaires ou des saints.
Croyez
-moi, ce que nous vous donnons, c’est justement ce qui nous manque, et
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iment là-bas aussi bien que j’avais pu le laisser
croire
; si ce n’était pas encore un de ces régimes de dictature ; si les pa
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e langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
croyaient
comme les autres que c’était plutôt ridicule. Mais il paraît que ça v
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d’avance, que nous avons vécu depuis janvier, je
crois
que j’avais omis de le noter jusqu’ici.) 2 avril 1934 Voici l’î
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du seul contact des choses, par les mains ? On le
croirait
à voir l’amaigrissement de la pensée des clercs aux mains débiles qui
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J’ai retrouvé dans Montaigne ce passage dont je
croyais
bien me souvenir qu’il allait à peu près dans le sens de ce que j’ai
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ais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
croyez
que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience
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s’en doutent pas, ils l’ont naturellement, et ne
croiraient
même pas qu’ils l’exigent… Mais pour peu qu’on s’en soit aperçu, il n
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pied ni patte, et n’écrivais plus à personne. Je
crois
à la valeur d’appel de l’absence, ou plutôt du retrait. (Il ne faut p
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érant vient me chercher. Notre affaire réglée, il
croit
devoir s’excuser de m’avoir fait passer à côté tout à l’heure. « Vous
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s devenu tout doucement amoureux de ma vie, et je
crois
bien que c’est un penchant qu’elle agrée. Non point qu’elle me paye e
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du destin, comme qui dirait au coin d’un bois. Je
crois
que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors il s’agit
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ilement. Ce n’est pas que je fuie les risques. Je
crois
avoir fait bon ménage avec celui qui m’attendait ici. Mais le risque
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la manière des amateurs de vie intense, trahit je
crois
d’assez banales complaisances. Et le destin répond à ces défis, fusse
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disons « le roman » bourgeois pour simplifier, on
croirait
que les hommes ne peuvent plus arriver à se connaître, tels qu’ils so
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urs a le sentiment de s’en aller librement. Il se
croit
libre, et concrètement, il l’est. Bien que la statistique permette de
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qui doit l’être. D’où suit que l’État nouveau se
croit
tout permis.) 30 octobre 1934 Trop penser nuit. — Trop d’idées
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ique — il avait l’air furieux, cet air qu’on a je
crois
très facilement vers 18 ans, — furieux contre le monde, contre soi-mê
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ais de l’anti-intellectualisme : elle indique, je
crois
, la part de vérité qu’il peut y avoir dans cette réaction déplorable.
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écouverts, un foulard noir sur les épaules, et je
crois
bien sa blouse noire aussi. Elle me dit qu’elle a été assez mal. On d
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plus toucher à la viande, pensez ! Il ne faut pas
croire
que la viande soit un si bon remède comme on le dit. Je lui ai fait d
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de dire en constatant le mal : « Voyez-vous ! je
croyais
la tenir cette assiette ! » De telle manière qu’on entend bien que c’
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st ainsi dans tout, et qu’on aurait grand tort de
croire
que rien au monde dépend de nous. Ceci vaut pour les femmes, qui sont
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s des maisons est en ruines, — tout le centre. On
croirait
une ville bombardée. 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la
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L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai
cru
comprendre qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean-du-Gard, expliqu
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encore une fois le drame de la culture. Qu’on ne
croie
pas que j’exagère. Je ne tire de ce fait, à vrai dire minuscule, qu’u
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qu’ils ont l’air d’être, ou mieux pour ce qu’ils
croient
devoir se donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fi
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la presse, par les partis et par le cinéma. Mais
croyez
-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiaste de Clocheme
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ste de Clochemerle, grand roman de la pissotière,
croyez
-vous que cet homme tout de même ne disait pas lui aussi « aidez-moi !
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et résume le débat : En somme, dit-il, si nous ne
croyons
pas en Dieu, nous autres, ce serait que nous sommes trop orgueilleux
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rxisme ? — Ils essaient ; peut-être plus qu’on ne
croirait
. J’en connais plusieurs qui lisent des brochures de vulgarisation de
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honte, c’est qu’il ne craint pas Dieu, mais qu’il
croit
au jugement des incroyants, tout en s’imaginant qu’il n’est pas un de
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ir le croyant véritable : celui qui sait qu’il ne
croit
pas aux dieux du monde, et qui le prouve. Comment le prouve-t-il ? To
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r de retrouver les choses qui vous résistent. (Je
crois
que Ramuz en a parlé, et de son amour pour les feux qui prennent mal,
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gnent presque rien. (Lui, par exemple, si je l’en
crois
, n’a guère vendu depuis un mois que pour 50 francs de légumes. Or, la
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ge du destinataire ». Eh bien, qu’est-ce que vous
croyez
? Réponse dans les quatre jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais voilà
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ec ses enfants pour des questions d’argent, on ne
croit
plus ni à Dieu ni à diable et à peine à la politique, l’hiver est « p
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i courante : il a la veine. Mais notre jacobin ne
croit
à la Raison et à la Science, mère du Progrès, que dans la mesure où c
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on. — C’est de Casanova que Ligne écrit : « Il ne
croit
à rien excepté ce qui est le moins croyable, étant superstitieux sur
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est un hors-classe, un être à part, auquel on ne
croit
pas. (D’où sans doute l’angoisse qui pousse tant d’écrivains à gagner
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la signifie qu’elle est plus importante que je ne
croyais
? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas ? Je vais m’y met
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je vois que je mentirais si j’écrivais que je n’y
crois
pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me
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l’instant où l’on découvre que tous les autres en
croient
autant, que ces autres cessent d’être une menace, une masse abstraite
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se déshumanise rapidement parce qu’il cesse de se
croire
des droits « irrationnels » et immédiats contre l’État. Le sens de la
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ui les limitaient normalement. L’homme cessant de
croire
à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la
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oi — à ses superstitions incomparables — se met à
croire
de la même manière aux lois et aux pouvoirs qu’il aurait dû combattre
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lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne vous
croira
pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi n’aime-t-on pas ce qui
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tique et excitant que mon titre pourrait le faire
croire
. L’intéressant, à mon point de vue, c’est de montrer une fois que c’e
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plus souvent dans un langage conventionnel qu’il
croit
de mise, s’adressant à un écrivain. Ou bien il se répand en confidenc
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clame la vieillesse. Notre opinion publique, à en
croire
les journaux, est actuellement dominée par le souci des élections aca
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l’expression d’un seul et même événement.) Si je
crois
à la Résurrection et au don actuel du Christ dans la foi, certifié et
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ar les signes visibles du pain et du vin, je dois
croire
identiquement que c’est là le centre vivant de toute réalité réelle s
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ant de toute réalité réelle sur la terre. Je dois
croire
qu’à cet événement central doivent se rapporter toutes nos pensées, t
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nière de s’exprimer qui en dit plus long qu’on ne
croirait
. « J’ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi », note Pa
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aine d’une société qu’ils sont encore les seuls à
croire
« chrétienne » — il faut bien dire que le parti communiste est une si
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e principe de la guérison que j’attends. Je n’ose
croire
qu’il me soit bien utile de seulement le savoir… Si j’étais sûr que l
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sûr que cette permanence de nos maux. Non que je
croie
à un « Progrès » réel possible. Mais je crois à une décadence certain
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je croie à un « Progrès » réel possible. Mais je
crois
à une décadence certaine dès que nous relâchons notre effort vers un
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ait, pensions-nous, tout leur logis — nous avions
cru
comprendre que les autres pièces étaient vides ou ne servaient que de
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concevoir qu’on puisse même s’étonner. Et ne pas
croire
, surtout, qu’il s’agit là de « préjugés », comme disent les jeunes pe
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1935 Comme l’année dernière, à la même date je
crois
, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité cyclique. Les dieux l
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ntre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne
croient
qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! I
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ux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se
croiraient
déshonorés de chanter juste, comme aussi de marcher au pas. La dignit
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capitalisme et de l’ordre bourgeois (quand ils y
croyaient
encore). Le Progrès, les Valeurs spirituelles, cela couvrait toute l’
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lace. Je le sais et c’est plus grave qu’ils ne le
croient
. L’ennui dans le monde actuel, c’est un de ces derniers signes, une d