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aux gestes qui ne sont ni tout à fait ce que l’on
croyait
, ni exactement le contraire. Et il se flatte d’atteindre ainsi, mais
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ment pour la puissance de sa race, mais celui qui
croit
humblement jusqu’à la mort. Le Christ n’est pas mort en héros, mais e
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rnative. De fait, ces « possédants » n’ont jamais
cru
au régime de Weimar. Il n’y a sans doute pas en Europe de classe plus
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on peut leur parler sans relever le menton… J’ai
cru
pouvoir déduire des propos de ce petit patron, et de quelques autres,
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le régime est beaucoup plus à gauche qu’on ne le
croit
en France, et un peu moins qu’on ne le croit chez les bourgeois allem
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e le croit en France, et un peu moins qu’on ne le
croit
chez les bourgeois allemands. Mais sans doute une réponse exacte ne s
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ssages : Il fut un temps en Allemagne où l’on se
croyait
tout permis, et nous pensons avec un doux ricanement à cette époque w
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me complètement démoli, un temps. On ne peut plus
croire
à rien. » Maintenant il est disciple de Nicolaï Hartmann : la volonté
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champion des vertus germaniques s’écrie : « Je ne
crois
qu’à un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin d
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ire ! Lui. — Eh bien, et maintenant ? Moi. — Je
crois
maintenant que c’est plus grave. Une chose me frappe : ce mot Kampf,
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Mais il n’y avait aussi que des Français pour le
croire
. Et cela ne gênait pas beaucoup votre Comité des forges. Parlons séri
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s encore disciple de Rousseau plus que vous ne le
croyez
! Dans la réalité humaine, l’exaltation des différences aboutit à la
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me avant, sauf qu’on ne tue plus dans la rue. (Je
crois
que c’est cela que les bonnes gens baptisent « l’ordre ».) Ils n’ont
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tre. Alors il n’y a plus de prétextes. Ou bien tu
crois
, ou bien tu te révoltes. — Et je vois que les seuls qui résistent son
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gnon, le dramaturge suisse allemand L. : — Vous y
croyez
, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas une formule grand
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cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
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itlérien ! C’est que les hommes de notre temps ne
croient
pas au jugement de l’esprit mais seulement au frisson des tripes. N’a
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vaillac, parce que sa mission le protège. Il faut
croire
un homme qui dit cela. Qu’il soit un instrument de la Providence comm
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nie machinée par la Providence : — « Ah ! vous ne
croyez
plus au mystère ? Eh bien, je pose ce fait dans votre histoire, expli
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’ordre » à tout prix, au prix même de l’humain… À
croire
que ceux-ci créent celle-là… Mais ce serait trop beau dans le genre é
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x que M. Sarraut. Je ne dis pas cela, comme on le
croirait
, par souci d’impartialité. Un général qui étudie le terrain de sa bat
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ale-socialiste. Je dis ceci pour les Français qui
croient
connaître « leur » Révolution, ou qui regrettent qu’elle ait été trah
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raties, que la grande majorité du peuple allemand
croit
cela, et vit dans cette croyance. Et ensuite, mais ensuite seulement,
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regardons l’Allemagne ou l’URSS du dehors ; nous
croyons
que tous ceux qui y vivent sont affectés d’un signe de haine ou d’app
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l’oublier. Aux débuts de l’automobile, qui aurait
cru
qu’en une vingtaine d’années les hommes seraient capables de conduire
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socialiste. Et il se peut que les chefs nazis le
croient
vraiment17. (De même qu’ils croient qu’en enfermant Niemöller ils aba
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hefs nazis le croient vraiment17. (De même qu’ils
croient
qu’en enfermant Niemöller ils abattront la résistance des chrétiens :
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raidie dans un orgueil qu’on lui apprend, qu’elle
croit
viril (comme ces grandes bottes tout de même embarrassantes quand on
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tiquer la « religion » des autres ? Il vaut mieux
croire
d’une foi plus vraie, et le prouver. Les faux dieux font de faux mira
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l’un ni l’autre, mais il serait un peu stupide de
croire
encore qu’on puisse choisir, qu’il soit intéressant de choisir entre
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t comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions
croire
à quelque chose, nous voulions vivre pour quelque chose. Nous avons é
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s à celui qui nous apportait cette possibilité de
croire
. Le christianisme, probablement par la faute de ses ministres, ne sat
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isfaisait plus depuis bien longtemps au besoin de
croire
de la majorité du peuple. Nous voulons croire à la mission du peuple
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de croire de la majorité du peuple. Nous voulons
croire
à la mission du peuple allemand. Nous voulons croire à l’immortalité
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ire à la mission du peuple allemand. Nous voulons
croire
à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuil
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aque génération) et peut-être réussirons-nous à y
croire
. » Ruine des croyances communes, carence du christianisme, appel irra
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nouvelles raisons de vivre, volonté angoissée de
croire
à la première qui se présente — fût-elle aussi invraisemblable que «
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unisme. » C’est ainsi que beaucoup de braves gens
croient
trouver un terrain d’entente avec les dictatures qu’ils condamnent en
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i, réellement, il faut une sainte simplicité pour
croire
encore qu’on puisse détacher telle ou telle mesure prise par le régim
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taché sous peine de perdre toute espèce de sens !
Croit
-on que l’ordre social qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à
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une foi qui ne soit pas cette volonté anxieuse de
croire
à la Nation… Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement
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rades du Parti seront désillusionnés, qui avaient
cru
mener un combat purement politique. Ils auront à se décider ! Certain