1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 mon Nicolas. Nicolas (avec difficulté).  —  Je crois que Dieu veut que je quitte maintenant… cette maison — et nos enfants
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
2 On en raconte, vous savez… 1er valet. —  Et tu crois ça ? 2e valet. —  C’est pas que j’y croie directement… Mais ça pou
3 t tu crois ça ? 2e valet. —  C’est pas que j’y croie directement… Mais ça pourrait bien être vrai quand même… 1er valet
4  ? Nicolas. —  Dieu le sait, et les humbles le croient . Notre Seigneur n’a-t-il pas dit : « Celui qui mange ma chair en sera
5 agnes. —  Malheur, malheur, malheur au peuple qui croit un mage et ne croit plus un saint ! Le chœur. Malheur ! Malheur !
6 alheur, malheur au peuple qui croit un mage et ne croit plus un saint ! Le chœur. Malheur ! Malheur ! Malheur ! (Le jour
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
7 rend fous, tous ceux des villes ! S’ils gagnent, croyez -moi, ce sera la fin de notre libre Confédération. Un ouvrier. —  L