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mon Nicolas. Nicolas (avec difficulté). — Je
crois
que Dieu veut que je quitte maintenant… cette maison — et nos enfants
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On en raconte, vous savez… 1er valet. — Et tu
crois
ça ? 2e valet. — C’est pas que j’y croie directement… Mais ça pou
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t tu crois ça ? 2e valet. — C’est pas que j’y
croie
directement… Mais ça pourrait bien être vrai quand même… 1er valet
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? Nicolas. — Dieu le sait, et les humbles le
croient
. Notre Seigneur n’a-t-il pas dit : « Celui qui mange ma chair en sera
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agnes. — Malheur, malheur, malheur au peuple qui
croit
un mage et ne croit plus un saint ! Le chœur. Malheur ! Malheur !
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alheur, malheur au peuple qui croit un mage et ne
croit
plus un saint ! Le chœur. Malheur ! Malheur ! Malheur ! (Le jour
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rend fous, tous ceux des villes ! S’ils gagnent,
croyez
-moi, ce sera la fin de notre libre Confédération. Un ouvrier. — L