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onc verra d’autres réalités qu’un touriste qui se
croit
objectif ou l’habitant sédentaire du pays. La ligne d’horizon dépend
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j’ai tout semé comme d’habitude, et on verra ! —
Croyez
-vous donc qu’ils vous laisseront tranquilles, les fascistes, si c’est
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ra là, il sera temps d’y penser. » C’est qu’il ne
croit
pas à la guerre. Un second : « Comment penser à autre chose qu’à cett
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ne point se laisser surprendre. » C’est qu’il ne
croit
plus à la paix. Tous les deux ont de bonnes raisons. Car il est vrai
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ui ne s’en montrent que plus « durs ». Cet excité
croit
-il vraiment à ses idées ? — Je pense bien, me dit-on. Il n’hésiterait
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er. Après tout, nous ne sommes pas les premiers à
croire
que notre époque est l’époque même de la crise. S’il est juste et sal
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on du Progrès ? Je songe à la colombe de Kant qui
croyait
voler mieux dans le vide… L’homme n’est pas fait pour vivre sans mena
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s, c’est ce qui rend sa perte insupportable à qui
croyait
le posséder. Nos haines… Pourquoi la haine, par exemple, de tel régim
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mois ? Serait-ce à cause de la menace ? Je ne le
crois
pas. S’il n’y avait pas un bien, dans ce régime, un bien que nous avo
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u’une troupe désordonnée, incapable — du moins le
croyait
-on — d’affronter les armées régulières. 19 juin 1939 « Notre Fü
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e, et l’entretien de son attente ardente ? Si j’y
croyais
vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout lieu !
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terribles qu’on imaginait, qu’on redoutait, qu’on
croyait
préparer, et qui nous trouvent sans peur et sans préparation dès l’in
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ne, dans les débuts d’une mobilisation. Les dames
croient
volontiers que c’est parades et bottes, fanfares, rythmes virils, fla
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ressentent ; presque aucun n’oserait l’avouer. On
croit
que la poésie n’existe qu’héroïque ou sentimentale, et l’on ne sait p
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-ils pas pu ? Parce que tous ils s’imaginent — ou
croient
devoir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un peuple dépenden
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en tout cela : voilà le miracle hollandais. Je ne
crois
pas que la lumière fauve et le grenat des façades de briques renversé
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an alls wüssen). Comme pour s’excuser, comme s’il
croyait
au fond qu’on devrait tout savoir, et que pourtant… C’est la passion
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st la passion de la Renaissance, si l’on veut. Je
crois
plutôt que c’est encore l’angoisse avide d’une unité de sens spiritue
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sortie pour voir, avait l’air en fête. Raisons de
croire
que le coup nazi, raté cette nuit, sera suivi à bref délai de manifes
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tion de l’Europe dont nous avions rêvé, sans oser
croire
que quelques mois plus tard il serait une réalité. L’opinion s’était
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dernier coupon de cette carte de bonheur que tous
croient
mériter ? Mais le Clipper et les paquebots ne partent plus que d’un s
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arler que de bonheur et de libre sagesse… Comment
croire
à la catastrophe lorsqu’on descend dans ces contrées les plus humanis
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sommes ici depuis midi, la nuit approche et je ne
crois
plus guère au départ. S’il y avait une goutte d’eau à boire. Mais le
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témoin vivant mêlé aux colloques des fantômes… Je
crois
bien que cette image m’est venue à cause d’une conversation entendue
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s armes fournies par certains ministères. Si j’en
crois
ces deux ex-adversaires, leurs astucieux préparatifs de guerre civile
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: « Rien de nouveau, rien d’important… » Mais je
crois
avoir entendu dans le ronron nasillard qui sortait de la petite chamb
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Il faudrait être fou, je le comprends enfin, pour
croire
qu’on puisse jamais se mettre en règle avant tant d’insondables exige
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jambée par les arches de fer d’un pont à n’en pas
croire
ses yeux, qui porte l’autostrade pendant des kilomètres au-dessus des
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ent totalitaire, fasciste, nazi ou soviétique. Je
crois
bien qu’elle oublie que les vagues n’ont jamais rien fait avancer, qu
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à rivaliser d’intolérance brutale avec ceux qu’il
croit
condamner… N’est-ce pas cela, le vrai danger totalitaire, dans un pay
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se que je projette à l’usage des Américains. J’ai
cru
bon de l’avertir qu’il n’y serait question ni d’edelweiss, ni de cor
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ue. Il fait fond sur un reste de bon sens qu’il a
cru
déceler dans mes manières polies. 27 janvier 1941 Soirée, hier,
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sque d’instaurer. Mais c’est aussi parce qu’on ne
croit
plus au mal, en Amérique. « C’est trop affreux pour être vrai », dit-
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leur régimes « d’avenir »… Celui qui ne veut pas
croire
au diable travaille fatalement pour lui. 5 février 1941 Le Mau
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ture individuelle un prix nouveau. — Très peu, je
crois
, sont prêts à le payer. 6. Voir l’introduction de La Part du diab
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timent qu’occupent les bureaux de mon journal, on
croit
au diable et on le connaît, monsieur ! Une fois par mois, il se décha
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mène avec un beau courage. — Non, monsieur, je ne
crois
pas, je regrette… Nous parlerons encore du diable. C’est ainsi. Entre
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prudent d’y renoncer, un tiers des membres étant,
croit
-il, amis de l’Axe. Ils sont prêts à soutenir un coup d’État fasciste
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pour cela, ou à l’inverse, mais pire encore, ils
croiront
que le jazz, la libre concurrence, et la radio, sont des choses assez
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ugié arrivant à New York me dit : — Puisqu’ils ne
croient
qu’à l’argent, dans ce pays, je suis bien décidé à le leur faire paye
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un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants
croient
que la nature dont ils jouissent est le climat normal de l’homme. Ils
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e semaine. C’est Consuelo qui l’a trouvée et l’on
croirait
qu’elle l’a même inventée : c’est immense, sur un promontoire emplumé
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ine. Exemple inquiétant des singes. — Si l’on en
croit
le professeur Koehler qui enseigne à l’Université de Yale et dont les
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u’elles doivent être jolies, jeunes et riches. Je
croyais
à un bluff, mais non : je viens d’en voir une de mes yeux. Une amie,
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nt : signe évident d’un esprit « féodal » si j’en
crois
les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête est une illustr
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obre 1943 La fille aînée de Mary, qui a 9 ans,
croit
à Pégase et l’aime de tout son cœur. On lui a planté sur une prairie
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oulez-vous que je vous joue du piano ? Pour faire
croire
que je n’ai pas peur… » — Eh bien ? m’ont demandé mes amis dans la vo
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r si peu. Elle subsiste intacte et nous juge. Eux
croient
, s’ils changent d’avis par « intérêt vital », que tout a changé dans
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rope, le voisin n’est que l’ennemi virtuel.) J’ai
cru
poli de m’arrêter pour une heure dans la ville natale de Robert, à qu
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e de fiche, j’ai pris celle d’un autre abonné. Je
crois
que c’est tout ce que j’ai pour vous. Décembre 1945 Leur anglai
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ront-ils plus adroits dans ce même jeu ? On ne le
croirait
pas, à les voir. Curieux trio : un loup déguisé en mouton et deux mou
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eubles blancs, et ce grape-fruit. Ils la vengent,
croit
-elle, d’une Amérique « où tout est laid », mais d’où ils viennent.
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— en plein cinquième arrondissement — quand je me
croyais
encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et prov
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euples disent que les chefs s’y opposent. Faut-il
croire
qu’ils sont prêts à se faire tuer, c’est-à-dire dans ce cas précis dé