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ui, a renoncé à cette surenchère épuisante. Il ne
croit
pas à la vertu de la masse, mais bien à celle du retrait. Il prend un
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les villes sous terre. (Réflexe de honte, si j’en
crois
l’expression.) L’un d’entre eux imagine de creuser un grand puits sou
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eule qui réussisse et qui progresse. Vous semblez
croire
que nous sommes libres désormais de penser n’importe quoi, et que cel
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. Personne n’osant le contester autour de moi, je
crois
prudent de l’accepter. J’admets aussi que l’évocation des fées ne ser
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s. Ce n’est pas une question d’argent comme on le
croit
— les grosses dépenses ont été faites par l’Amérique, pendant les rec
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paraissait pas dominer l’assemblée. — C’est qu’on
croyait
alors, me dit le savant. Nous n’avons devant nous que des faits mesur
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ligence conduit-elle au suicide, alors qu’elle ne
croit
pas à la survie, tandis que la foi des anciens temps redoutait une fi
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me à se dire « un anarchiste catholique ». (Je le
crois
seul de son parti.) Il avait l’air un peu nerveux. Voici notre conver
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l suffit de voir l’état présent de l’Europe. J’ai
cru
longtemps que la guerre était le pire désordre imaginable à notre épo
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ment la Bombe ! Suprême élément d’ordre ! » Et ne
croyez
pas que je plaisantais. Car la Bombe seule peut nous débarrasser des
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urs idéaux, c’est-à-dire par destin ou par choix.
Croyez
-vous sérieusement que les Français cesseront de parler français, de c
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allaient être tentés sur l’Océan, notre savant a
cru
de son devoir d’avertir aussitôt Washington. D’après ses calculs, dis
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les tout premiers chrétiens, s’il est vrai qu’ils
croyaient
le Jugement imminent, mouraient avec une grande facilité sous la main
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humaine qui s’y livre à ses vices. La Renaissance
croyait
plutôt à un nouveau Déluge. Léonard le figure dans une série de dessi
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de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on
croit
parfois distinguer, très bas, très doux, comme une voix du rêve, dans
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ers la paix ou la mort. Disposition favorable, je
crois
, à des réflexions réalistes. Parmi tous les projets de contrôle de la