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nse, un sourire gentiment courageux — vous alliez
croire
à de l’insouciance — vers une party… « J’espère que tu t’amuses, que
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ent, ils n’ont pas l’air d’en faire un cas, de se
croire
obligés de prendre position ou d’essayer de m’influencer par quelques
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obligatoirement l’acte de naturalisation. Je les
crois
sans exemple dans l’Histoire, et sans équivalent dans nul autre pays.
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à quelques articles sur l’Amérique. C’est que je
crois
aux signes plus qu’aux faits ; aux courants d’opinion ou de sensibili
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e vaudou, et quand ils se mettent à crier, on les
croirait
au bord du délire collectif. Mais la danse prend fin, tout s’apaise.
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tristes, mais avec un sourire de rêve heureux. Je
crois
qu’ils sont bien moins conscients que nous. À quoi rêvent-ils ? À la
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e que l’on nomme leur optimisme. ⁂ L’Américain ne
croit
pas aux limites. Une limite, c’est toujours la fin d’un rêve. Non seu
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nnées, j’ai répété à mes amis américains : « Vous
croyez
n’aimer que le grand, mais à vrai dire, ce que vous aimez, c’est le p
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de nos jours, s’il s’intitule savant, peut faire
croire
à l’Américain tout ce que le corps entier des philosophes, des pasteu
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tyle de vie, de leur way of life, parce qu’ainsi,
croient
-ils, tout le monde (et eux compris bien entendu), se sentira plus en
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bien ! pendant que j’y suis, un bon conseil : ne
croyez
pas que le grand public déteste autant que vous la nouveauté. Il a ai
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ew York même, on ne les voit qu’en passant. Et je
crois
que je viens de vous donner un catalogue assez complet de ce qui peut
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un article qu’on m’avait commandé. Je me relis et
crois
rêver. Cela débute par une anecdote tirée de la page cinq du manuscri
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t. Avant tout, il « cherche à comprendre ». Et je
crois
qu’à son idée, donner un sens c’est généraliser. De même, comprendre
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t Paul admirait à Athènes, mais j’ai tout lieu de
croire
qu’il existe à New York. Serait-ce cette Église du Centre Absolu dont
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ommunion reçue à genoux devant l’autel, vous vous
croirez
chez les Romains, mais vous serez chez les anglicans si l’officiant e
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pas vous ce soir, c’était donc une erreur. Ils ne
croient
guère à la valeur unique d’un être — et il est vrai qu’il faut beauco
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n. Si grave que soit un tel jugement, j’incline à
croire
que la facilité avec laquelle l’Américain divorce, révèle que ses mar
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y a comme partout l’adultère. En Europe, où l’on
croit
au mariage-sacrement, à la continuité de la famille, à l’héritage, on
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jeunesse qu’elle manque de vraie sensualité. Ils
croient
sentir entre les sexes une sourde hostilité, qu’ils attribuent nature
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et des lettres, savoir deviner l’année d’un grand
cru
, s’exprimer avec élégance, observer et marquer les distances, flatter
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très difficile à traduire dans notre coutume.) Je
crois
qu’à cet égard les jugements moraux de l’Américain sont exactement in
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ut-être trop vite. Vous n’êtes pas ponctuel. Vous
croyez
aux passe-droits et aux coupe-file. Vous prenez trop de temps pour dé
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éduction du fait à une signification. L’Américain
croit
aux faits, dur comme fer. Il les réduit d’ailleurs en chiffres et se
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suffiraient pour que chacun gagne. Enfin, ils ne
croient
pas au Mal… Le krach de 1929, Hitler, la guerre, et quelques privatio
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ole du rêve et de la volonté du Nouveau Monde. On
croyait
close l’ère des pionniers, l’ère des défricheurs de savanes qui firen