1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 voient-ils, dont je n’ai pas conscience et que je croyais bien quitté ? Il se retourne et le voilà tout étonné… Désormais, nul
2 1948, Suite neuchâteloise. II
2 disais-je, mais je n’en suis pas là. (Ainsi l’on croit savoir où l’on se tient, quel âge on a, et vers quoi l’on chemine. Ma
3 1948, Suite neuchâteloise. III
3 rain des franchises du Peuple. » Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de pages où perce l’étonnement. « Le Prince
4 1948, Suite neuchâteloise. IV
4 hrase de mon oncle.   En revanche, comment ne pas croire à l’influence des professions héréditaires, du rôle social tenu penda
5 ves » qui n’étaient pas celle de l’obligation. Je crois que toute autre considération sur ce sujet semblait aux yeux de mon p
5 1948, Suite neuchâteloise. V
6 is dans l’Europe, que devient ce fil rouge que je croyais tenir ? Où vont se perdre les sentiers de la mémoire, ces voies ouver
7 is été vues par personne : c’est l’esprit qui les croit comme il croit au passé, à la tradition, à l’avenir. Plus tard, dans
8 personne : c’est l’esprit qui les croit comme il croit au passé, à la tradition, à l’avenir. Plus tard, dans les archives et
9 rs il n’est que de la haine. Comment un Suisse le croirait -il ? Si je me sens presque partout chez moi dans l’Europe franco-germ
6 1948, Suite neuchâteloise. VIII
10 souvent voilée du lac, on y verrait un éclairage cru , des ombres longues et givrées, des couchants d’incendie sur les mené
11 es de français, elles sont moins graves, et je ne crois pas que nous en commettions beaucoup plus que les Parisiens : simplem