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voient-ils, dont je n’ai pas conscience et que je
croyais
bien quitté ? Il se retourne et le voilà tout étonné… Désormais, nul
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disais-je, mais je n’en suis pas là. (Ainsi l’on
croit
savoir où l’on se tient, quel âge on a, et vers quoi l’on chemine. Ma
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rain des franchises du Peuple. » Voici ce qu’il a
cru
démêler, en une vingtaine de pages où perce l’étonnement. « Le Prince
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hrase de mon oncle. En revanche, comment ne pas
croire
à l’influence des professions héréditaires, du rôle social tenu penda
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ves » qui n’étaient pas celle de l’obligation. Je
crois
que toute autre considération sur ce sujet semblait aux yeux de mon p
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is dans l’Europe, que devient ce fil rouge que je
croyais
tenir ? Où vont se perdre les sentiers de la mémoire, ces voies ouver
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is été vues par personne : c’est l’esprit qui les
croit
comme il croit au passé, à la tradition, à l’avenir. Plus tard, dans
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personne : c’est l’esprit qui les croit comme il
croit
au passé, à la tradition, à l’avenir. Plus tard, dans les archives et
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rs il n’est que de la haine. Comment un Suisse le
croirait
-il ? Si je me sens presque partout chez moi dans l’Europe franco-germ
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souvent voilée du lac, on y verrait un éclairage
cru
, des ombres longues et givrées, des couchants d’incendie sur les mené
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es de français, elles sont moins graves, et je ne
crois
pas que nous en commettions beaucoup plus que les Parisiens : simplem