1 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
1 s grand-chose. Comment fédérer des nations qui se croient encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Les Suisses ont réussi : voyo
2 sses ont réussi : voyons la Suisse. Tout le monde croit l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a fallu plus de cinq-cents ans
2 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
3 tous les cas. Mais nous ne voyons aucun motif de croire qu’on leur laissera tout le temps d’aller lentement, et le loisir d’ê
4 cet été, vous serez oubliés cet automne. Si vous croyez qu’il vaut mieux ne rien faire, ou qu’on ne peut rien faire de sérieu
5 é. Mais si quelques-uns d’entre vous, comme je le crois , sont fédéralistes, qu’ils le disent, qu’ils proclament leur but, et