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qui dormait dans sa chambre à l’étage supérieur,
crut
voir deux terres se disputer à son sujet, la terre d’Asie et la terre
2
er. Lui, poussa un tendre mugissement ; on aurait
cru
entendre résonner le chant harmonieux de la flûte mygdonienne. Il s’a
3
l à propos le naturel des Européens ». Cet auteur
croit
moins à la fable divine qu’à la possible valeur ethnographique du myt
4
ont il se colore à tel point que l’on a longtemps
cru
facile de l’expliquer par l’histoire et par les mœurs. Sitôt méditerr
5
n » de l’Europe sur le monde arabe… Mais Voltaire
croit
pouvoir réfuter la légende en affectant de l’interpréter littéralemen
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fait de ces contes aux enfans, et les enfans n’en
croient
rien.13 Mais les enfants parfois sont mauvais juges et la gaminerie
7
es et territoires médiocres et finir, après avoir
cru
la trouver en Crète, puis en Italie, par la restreindre à la péninsul
8
ur excuse est qu’ils vivaient en un temps où l’on
croyait
encore qu’Adam parlait bas-breton, au moins depuis son expulsion du p
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en faveur de l’origine sémitique : On a cessé de
croire
à la parenté d’Erèbe et d’Europe, par quoi entendre une parenté direc
10
ils qui les accompagnent, comment le pape peut-il
croire
que les oraisons et l’enseignement des ministres actuels et futurs de
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ontemporains : la monarchie universelle, qu’il ne
croit
pas réalisable. Je ne crois pas qu’un homme sensé puisse estimer pos
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niverselle, qu’il ne croit pas réalisable. Je ne
crois
pas qu’un homme sensé puisse estimer possible, dans cette fin des siè
13
pelés généralement les monarques du monde ; je ne
crois
pas toutefois que, depuis que les différentes régions ont été peuplée
14
ndance absolue quoad temporalia. Cependant, il ne
croit
pas la paix possible sans une réforme de l’Église. Fort de l’autorité
15
stament que cela s’est produit quelquefois. Aussi
croyons
-nous devoir nous examiner attentivement, afin que, si une faute a été
16
chrétiens en dehors de l’Europe. Nous ne pouvons
croire
que tu sois assez ignorant de ce qui nous concerne pour ne pas voir q
17
l eut beau joindre à ses prières l’annonce, qu’il
croyait
décisive, du don de sa personne sacrée, en promettant de se mettre lu
18
ent que le vainqueur. Il n’est pas raisonnable de
croire
que pendant les cent-cinquante années où les Samnites et les Toscans
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critures de l’hébreu et du grec en arabe.) Postel
croit
à la Monarchie universelle, mais non pas à la manière de Dante. Ayant
20
ompassion que de haine… (Seuls des esprits bornés
croient
) que tous sont tenus de vivre comme luy, et ne prise que ses coutusme
21
je ne négligerai rien pour les inventer, & je
crois
les avoir trouvé. … Tout le Projet se réduit donc à un simple argumen
22
La situation de l’Europe est assez triste à l’en
croire
: On ne parle que des machines de Guerre et les plus destructives so
23
t le siège de celle d’Orient. Au reste, qu’on ne
croie
pas que l’uniformité économique soit un facteur d’union, bien au cont
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ançais étaient mobiles comme du vif argent : à en
croire
un observateur contemporain, ils aimaient tant la nouveauté qu’ils fa
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et aussi dans son unité. Plus d’un, d’ailleurs, a
cru
trouver chez les « barbares » l’idéal qu’il avait dans son cœur en fu
26
nt est en droit de nous en imposer. En vérité, je
crois
toujours de plus en plus qu’il y a un certain génie qui n’a point enc
27
Sur l’interdépendance de nos nations : Un prince
croit
qu’il sera plus grand par la ruine d’un état voisin. Au contraire. Le
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île, où il vous trouva à moitié nus ? A. — Je le
crois
fermement ; de bonnes maisons, de bons vêtements, de la bonne chère,
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ux que leur objet. Car Rousseau s’est bel et bien
cru
l’inventeur du fédéralisme « matière toute neuve, écrit-il, et où les
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Wieland, dernier des philosophes « éclairés », il
croira
jusqu’au dernier jour — celui de la Révolution — et même au-delà, que
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er imminent ou à des insultes inévitables, qui se
crussent
intéressées à se mêler dans une querelle ou à prendre des précautions
32
ns, nous trouverons… les motifs les plus forts de
croire
que la nature n’a mis aucun terme à nos espérances. Si nous jetons un
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se regarder comme la Maîtresse de l’univers, et à
croire
le reste du genre humain créé pour son utilité. Des hommes, admirés c
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espierre fut le premier à dire le mot, si l’on en
croit
le dictionnaire étymologique de Warburg — furent dénoncés par les jac
35
tés en un seul État continental ? Gentz ne peut y
croire
. Mais il ne croit pas davantage à la solution que Fichte vient de pro
36
continental ? Gentz ne peut y croire. Mais il ne
croit
pas davantage à la solution que Fichte vient de proposer l’année même
37
« limite le mal » : Les hommes de la Révolution
croyaient
unir tous les peuples de la terre en une grande fédération cosmopolit
38
de généreux paradoxes. Contrairement à Kant, il
croit
la guerre inévitable, mais il est loin de la diviniser comme J. de Ma
39
ice et si chacun, arrivé dans le pays d’autrui se
croyait
toujours chez lui. Plus tard seulement, avec l’introduction du droit
40
iques » et tortueuses, c’est l’union finale qu’il
croyait
atteindre. Cinq ans après la publication de son manifeste de l’Autarc
41
s inventions, des arts et des religions ? Faut-il
croire
que le genre humain a émigré de l’est vers le nord, pour s’y reprodui
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ce de la souveraineté de l’Europe ». Mais comment
croire
à la réalisation de cette grandiose rêverie théocratique ? On doute q
43
erie théocratique ? On doute que son auteur y ait
cru
. Il écrit en effet, le 9 août 1819 (lettre au comte de Marcellus) : «
44
e l’Europe est sans religion ». Bien plus, à l’en
croire
: Le plus grand ennemi de l’Europe, qu’il importe d’étouffer par tou
45
rces très distinctes : l’une inspire le besoin de
croire
, l’autre celui d’examiner. L’une de ces facultés ne doit pas être sat
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supposait l’existence, à ce qu’il paraît. Car on
croyait
pouvoir concilier de cette manière la nécessité de la présence d’un s
47
on complète de tous les peuples européens et veux
croire
qu’ils adopteront à nouveau une politique commune à l’égard de l’Orie
48
est toujours appesanti dans la mesure même où ils
croyaient
pouvoir se passer de l’unité spirituelle. Il est certain en tout cas
49
actuel de l’Humanité les phrases suivantes, qu’on
croirait
d’aujourd’hui, et qui étaient vraies déjà en tant que diagnostic, bie
50
premières victimes, enthousiastes et bernées. Ils
croient
tous que nation égale liberté. Ils s’inspirent tous du messianisme de
51
le plus total aux idéaux politiques de 1848 : Je
crois
que la civilisation catholique contient le bien sans mélange de mal,
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la paix qu’il faut vouloir et que tous les hommes
croient
aimer, mais les réalités qu’il faut redouter et que les meneurs du je
53
ez la marche de la civilisation et du monde. Vous
croyez
, vous autres, que la civilisation et le monde avancent, alors que la
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que court l’Europe de la part de la Russie, et je
crois
que pour aujourd’hui et pour longtemps je puis tranquilliser l’Assemb
55
l’Europe n’ait rien à redouter de la Russie ; je
crois
tout le contraire ; mais pour que la Russie accepte une guerre généra
56
de l’effort civilisateur209 : Il serait vain de
croire
que l’Europe, en ces siècles de sauvagerie, ait été différente des te
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ennemis héréditaires, un aspect uniforme faisant
croire
à une descendance commune… Plus on remonte le cours du temps, plus on
58
’union de l’Italie dans une Europe unie ; ils ont
cru
tous les deux que la « nationalité » était l’un des termes essentiels
59
ue qui marquera la fin de l’ère des Nations, il a
cru
tout ce qu’homme de son temps a pu croire sur la liberté, sur l’amour
60
ions, il a cru tout ce qu’homme de son temps a pu
croire
sur la liberté, sur l’amour et sur l’harmonie, supposées chères au cœ
61
an, Budapest et Varsovie se soulevaient, l’on put
croire
pendant quelques mois à l’avènement de la Jeune Europe, tout au moins
62
t, après l’agitateur mystique, après le poète qui
croit
pouvoir conjurer l’Histoire par le Verbe, voici le penseur actif qui
63
mais Marx en est complice, Proudhon victime : il
croyait
à la liberté, et son adversaire ne croyait qu’à la force des choses,
64
e : il croyait à la liberté, et son adversaire ne
croyait
qu’à la force des choses, qui est en effet totale aussitôt que l’homm
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philosophie grecque et du droit romain. Si je ne
croyais
pas à l’Église, s’écrie quelque part saint Augustin, il voulait dire
66
t Augustin, il voulait dire à la tradition, je ne
croirais
pas à l’Évangile. Je dis comme saint Augustin : Aurais-je confiance e
67
int Augustin : Aurais-je confiance en moi-même et
croirais
-je à la Révolution, si je n’en retrouvais dans le passé les origines
68
e Rome aussi théocratique que Byzance, si l’on en
croit
la prétention d’Ivan le Terrible à détenir non seulement le pouvoir p
69
nd de ses bienfaits. Et cependant, Tchaadaïev ne
croit
pas que la Russie soit d’Europe — bien qu’elle soit destinée à sauver
70
es quand il écrit233 : Il n’y a pas de raison de
croire
que les Russes soient nécessairement soumis à la même loi de progress
71
ait aux dépens de nos intérêts actuels. Nous n’en
croirons
que plus fortement à la véritable mission de la Russie, à sa puissanc
72
futur elle ne sait encore à peu près rien. Et je
crois
bien qu’elle n’en veut encore rien savoir. C’est compréhensible : ils
73
cessé de se développer et de s’affirmer. Ranke ne
croit
nullement que le conflit de la papauté et de l’Empire, puis du Cathol
74
it être mise en question. Si Renan plus que Ranke
croit
au progrès, non sans se faire à son sujet quelques illusions rational
75
ires : À l’époque de la Révolution française, on
croyait
que les institutions de petites villes indépendantes, telles que Spar
76
s de l’histoire… Peut-on dire cependant, comme le
croient
certains partis, que les limites d’une nation sont écrites sur la car
77
, même s’il s’agit de celui qu’en nous-mêmes nous
croyons
être le nôtre.251 « Nous autres tards-venus de l’humanité »… Cette
78
nt des plus durs, aujourd’hui confirmé : Vous ne
croirez
jamais quel cas on fait de ces roulements de tambour au fur et à mesu
79
r. Quant aux hommes politiques européens, loin de
croire
au Monde, à ses menaces, à ses besoins et aux mesures requises pour y
80
iste et conceptiste en même temps. Ce qui me fait
croire
que le conceptisme et le gongorisme sont les formes les plus naturell
81
s sommes frappés par les signes négatifs, et nous
croyons
pouvoir en déduire une loi : … N’existe-t-il pas une loi obscure qui
82
ar la prendre pour un fait accompli. Non qu’ils y
croient
sérieusement ou qu’ils en aient l’évidence, mais parce qu’ils se sont
83
t le pouls de l’Europe. Celle-ci recommencerait à
croire
en elle-même et automatiquement à exiger beaucoup d’elle, à se discip
84
is ne nous berçons pas d’illusions ; n’allons pas
croire
que cette idée va triompher naturellement, sachons qu’elle va trouver
85
Jérusalem d’abord, la plus ancienne. On pourrait
croire
que les siècles précédents avaient tout dit sur l’héritage biblique.
86
lutôt de la source hébraïque. Ainsi, les jacobins
croyaient
trouver dans Rome les prototypes de l’esprit révolutionnaire. Mais, n
87
Nature », les Grecs ne se sont pas contentés d’y
croire
: ils ont cherché à la comprendre, et plus ils s’y appliquaient, mieu
88
nt comme Beauté, et à notre activité comme Droit.
Croire
à l’existence de la Vérité, de la Beauté et du Droit, même quand leur
89
mythes fascinent l’Européen moderne, selon qu’il
croit
y reconnaître sa passion de l’aventure technique ou de la navigation
90
ur ; en le peignant, on feint presque toujours de
croire
tantôt que la déchéance est une vocation innée du malheureux, tantôt
91
de simplicité… Les Romains et les Hébreux se sont
crus
les uns et les autres soustraits à la commune misère humaine, les pre
92
ut-être le génie épique quand ils sauront ne rien
croire
à l’abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis
93
« l’unité médiévale » (ve au xie siècle). Il ne
croit
pas que l’humanisme et la technique nous sauveront seuls. Mais il ne
94
ui encore l’auraient désiré, mais n’osaient pas y
croire
. La guerre mondiale — que les historiens futurs considéreront peut-êt
95
uropéens, insistons sur la liberté parce que nous
croyons
en la qualité. La qualité est aussi inséparable de l’individualisme q
96
alité, la variété, le coin de terre, la vigne, le
cru
, la saison, autant de concepts qui poussent comme des champignons de
97
s Occidentaux, parce qu’humains, avons tendance à
croire
que tout ce que nous avons fait dans le monde, pendant ces derniers s
98
tonnons dans l’obscurité et devons nous garder de
croire
que nous pourrons tracer l’itinéraire à suivre. Tout de même ce serai
99
il faille répondre oui à toutes ces questions… Je
crois
à la mission de la culture européenne, et j’ai foi dans son aptitude
100
les limites du champ culturel proprement dit. J’y
crois
, parce que seule la culture européenne a su allier la plus grande for
101
oynbee, mais il y trouve des raisons nouvelles de
croire
en l’avenir européen ; L’Hellade, elle aussi, devint pays hellénisti
102
ité… Il y a quelques dizaines d’années encore, on
croyait
la civilisation européenne monopole exclusif de l’Europe. Tout au plu
103
n’eût compromis la solidité et ce que nous avions
cru
être l’intangibilité de notre puissance. Il suffisait à nos yeux que
104
uoi se renouveler et l’industrie s’étiole si elle
croit
tout devoir à l’atelier, rien à la pensée pure. Quand le monde emprun
105
ultiplicité de nos nations actuelles, comme on le
croit
trop facilement ? Non, la diversité européenne est plus organique et
106
e en regardant derrière eux. Quant à lui, Ortega
croit
que la nécessité de l’union politique est inscrite dans nos réalités
107
nne (le terme apparaît ici pour la première fois,
croyons
-nous) ne doit cependant pas entraîner l’uniformisation de nos peuples
108
e richesses à qui veut écrire de la poésie. Je le
crois
pour ma part. Et j’en vois la raison dans la variété des éléments qui
109
uropæ) n’est pas seulement symbolique. Si l’on en
croit
O. Forst de Battaglia et son Traité de généalogie, Lausanne, 1945, on
110
onomique. C’est la question la plus pressante. Je
crois
que l’on peut y obtenir des succès. Mais je suis sûr aussi qu’au poin