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es que représentent les chapitres de ce livre, je
crois
bien que j’ai toujours tenu compte de la diversité des interlocuteurs
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tend, et qui était réservée pour lui seul. Je ne
crois
pas à l’homme en général, der Mensch comme dit l’allemand, l’homo lat
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nsch comme dit l’allemand, l’homo latin, auquel a
cru
l’Europe classique, et qui était invariable, éternel, de telle manièr
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lque dictature collectiviste, car là seulement il
croira
retrouver « l’engagement » que sa doctrine prônait, mais rendait par
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tant d’hommes qu’aujourd’hui pour affirmer qu’ils
croient
leur Dieu vivant. (Cf. les statistiques du christianisme, de l’islam
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ent concernant l’être », précise Jaspers. Comment
croire
que Nietzsche seul l’ait appris, que Sartre en ait été spécialement i
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le christianisme. 2. Car Dieu, même si quelqu’un
croit
qu’il n’est pas, reste en tout cas une réalité pour l’écrasante major
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par des hommes ou par des groupes d’hommes qui ne
croient
plus au christianisme. L’attitude, c’est celle de la très grande majo
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très grande majorité de nos contemporains qui ne
croient
pas en une transcendance. C’est l’athéisme réalisé, organisé, quotidi
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er ce siècle qui veut se limiter à lui-même et ne
croit
plus au « siècle des siècles »i. Quelle est la forme que doit revêtir
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. Dans son ensemble, l’humanité du xxe siècle ne
croit
plus qu’au seul siècle présent, à l’ici-bas limité à lui-même. Elle s
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chrétiennes. Mais en même temps, du fait qu’il ne
croit
pas en Dieu et à Sa transcendance, l’existentialisme déforme et vide
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eur demandera de donner au moins la preuve qu’ils
croient
en lui. C’est ici que les choses se gâtent, vraiment. Car il se trouv
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rs, vu leur métier. Ils contribuent aussi à faire
croire
à beaucoup que Dieu n’est pas l’Unique Réalité, mais seulement un com
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rde et faible. Absurde parce que tout ce qu’elles
croient
est tenu pour illusion ou mauvaise foi par les systèmes qui triomphen
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pas leur seule raison d’être, comme si elles n’y
croyaient
pas vraiment, comme si elles espéraient encore se faire accepter pour
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manent vraiment sérieux, plus sérieux qu’il ne le
croyait
lui-même, quoiqu’aussi plus modeste. Ceci doit dominer nos réflexions
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’aucun Dieu ne le sauve, qui nous met au défi d’y
croire
et qui attend avec une certaine anxiété inavouée une réponse enfin sé
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fi. Comment manifester devant ce siècle, que nous
croyons
au siècle des siècles ? J’en suis arrivé à penser que le témoignage d
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ons au contraire à énoncer simplement ce que nous
croyons
, avec sobriété, et sans accepter de discussion sur l’existence ou la
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du sujet de notre foi. Dison : — C’est ainsi, je
crois
cela parce que c’est ainsi, et voilà tout. D’ailleurs, la preuve que
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insi, et voilà tout. D’ailleurs, la preuve que je
crois
à l’existence de Dieu, c’est justement que je n’éprouve pas le besoin
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la certitude. Et si l’on nous demande ce que nous
croyons
, récitons simplement le Credo. Et ensuite, passons à la forme indirec
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me du doute, — ou du miracle. Aussi donc, si nous
croyons
au transcendant, nous douterons de ces nécessités que le siècle vénèr
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le. Ne l’oublions pas : le chrétien est celui qui
croit
au transcendant, donc aussi celui qui doute des faux absolus de ce si
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ort de l’homme. À peine avaient-ils dit : nous ne
croyons
qu’à ce monde-ci, voilà qu’ils se voient confrontés avec la fin de ce
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ipes non chrétiens (comme le nationalisme) qu’ils
croyaient
pouvoir tolérer ; qu’il a été abattu finalement, dans ses formes décl
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du xixe ou du xxe siècle, par exemple, pouvait
croire
aux doctrines officielles de sa confession et en même temps admirer W
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ine Liturgy (« Let us attend ! »). Ainsi du verbe
croire
dans nos conversations, et du verbe I believe au début du Credo. Et d
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urgique. Deux raisons principales m’incitent à le
croire
. Ces Églises, du fait même de la pauvreté de leur culte, se voient pl
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cette idolâtrie qui renaît dès qu’Israël cesse de
croire
à ce que ses yeux ne peuvent voir, et qui pourtant fait toute sa gran
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dans l’esprit ; mais entre les philosophes… Nous
croyons
que Dieu voit tout ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos s
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âtres. Voilà pourquoi le peuple juif, qui n’a pas
cru
à sa victoire, et qui repousse la nouvelle mesure, c’est-à-dire la No
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en son contraire. Bien sûr, ceux qui ont cessé de
croire
à la mission de leur peuple et qui travaillent en vase clos, en exerç
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ents romantiques. C’est que l’écrivain romantique
croit
voir dans les dogmes autant d’entraves à l’essor créateur, tandis que
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éer » en relation avec l’activité humaine est, je
crois
, plutôt récent. Cette manière de parler de l’acte humain en le compar
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es nécessités. Toute notre éducation nous porte à
croire
cela, et s’il faut justifier cette croyance habituelle, nos professeu
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ns ; ils sont pris au sérieux par les peuples qui
croient
que le sens de la vie, la crainte de la mort, l’angoisse devant le po
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n appelle utile ce dont on a besoin ; et qu’il ne
croit
devoir le respecter qu’en vertu d’une espèce de préjugé. D’où l’on po
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e œuvre d’art s’assigne un but bien différent. Je
crois
que le but (conscient ou non) de tout artiste véritable, c’est de com
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ds du premier venu qui se sent inspiré ou ému, et
croit
pouvoir remplacer la rhétorique par la sincérité. Je ne sais plus si
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Valéry qui a écrit : « Le bourgeois est celui qui
croit
qu’il y a au monde quelque chose de plus important qu’une convention.
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te du romantisme et de ses sous-produits, ils ont
cru
devoir se mettre, comme ils disent, « à l’école de la Nature », et ne
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rtent pour peu ou pour rien. Le temps n’est plus,
croit
-on, des mariages de raison, de convention ou de convenance. Nous somm
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e caractère, de buts de vie, etc., que la romance
croyait
pouvoir surmonter en les négligeant d’enthousiasme. Un second facteur
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l’ivresse suprême — un mensonge grotesque auquel
croient
, étonnamment, même les jeunes les plus sceptiques. Nous devrions égal
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ns le réel : on vous invite maintenant à n’en pas
croire
vos yeux, qui voient Staline, mais à croire une prophétie. Cependant
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n pas croire vos yeux, qui voient Staline, mais à
croire
une prophétie. Cependant vous demeurez sceptique : Staline, après vin
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it donc, précisément, renoncer à la vérité, et ne
croire
plus qu’à la tactique d’un dictateur, lequel changera la vérité tous
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faut donc transformer toutes choses, tel est, je
crois
, l’acte initial, mais aussi la passion constante du communiste consci
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Mais encore, à l’instar du chrétien, le marxiste
croit
que la société présente n’a pas le droit de déterminer le tout de l’h
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rs de l’esprit pur : l’erreur qui porte l’homme à
croire
que la cause de tous ses malheurs est dans les choses, et non dans lu
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l’argent ne fait pas le bonheur. Pratiquement, il
croit
dur comme fer que l’habit fait le moine et que l’argent fait le bonhe
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— dont on a fait des résumés — qu’il a raison de
croire
cela. Bien plus, Marx vient lui démontrer que ceux qui prétendent le
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he contre les choses et les rend responsables. Il
croit
que c’est elles qu’il faut changer. Il bat la table, comme Xerxès fai
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s fidèle, partant plus douloureuse de ce fait, je
crois
qu’ils éviteraient d’attaquer le marxisme dans les mêmes termes que l
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u m’incites donc à le devenir davantage, quand tu
croyais
réfuter ma religion. Ton athéisme devient prédication ! Drôle d’avent
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ve devant les injustices présentes, du fait qu’il
croit
que l’intérêt de l’homme est seul en jeu — et de l’homme tel qu’il le
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nir du Parti, proférer des aveux mensongers qu’il
croyait
tactiquement utiles. Imaginez maintenant qu’un vrai chrétien juge bon
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e personnelle, et renie justement cette foi qu’il
croyait
mieux servir dans le communisme ; ou bien il tâche de n’agir qu’en ch
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ociété sans classes, doit supprimer ! Le marxiste
croit
que le bien sort du mal ; le chrétien sait que le bien naît du parfai
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de problèmes se poseront autrement… » Je veux les
croire
. Ils courent au plus pressé. Mais le marxiste aussi me tenait ce rais
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me, qui s’en trouvera justifié pour autant. Je ne
crois
pas à une politique chrétienne, déduite une fois pour toutes de la th
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ite une fois pour toutes de la théologie. Mais je
crois
que le christianisme, aussitôt qu’il se manifeste en vérité, entre en
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isé : je n’en donnerai qu’un seul exemple, que je
crois
actuel entre tous. Tout le monde sait, ou pressent au moins, ce que s
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Églises, est une promesse à laquelle nous devons
croire
de toute la force de notre foi. Aussi ne veux-je tirer de mon exemple
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-je tirer de mon exemple qu’une conclusion que je
crois
valable pour tout chrétien, à quelque Église qu’il appartienne. Nous
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re cause est secondaire. » Et Henri de Man : « Je
crois
qu’il n’y a jamais eu de tentative révolutionnaire qui n’ait été d’or
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ient remettre en question les certitudes que l’on
croyait
acquises, d’autre part est le gage d’un progrès vers le vrai. Ainsi d
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tte doctrine, dès lors que nous prononçons : « Je
crois
la sainte Église universelle. » Et nous nous bornerons ici à en souli
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f, elles savent qu’il règne et crée pour ceux qui
croient
la possibilité de faire ce qu’il demande. Dans l’état d’impuissance a
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sera suffisante. Aussi bien, certaines raisons de
croire
que l’Église peut agir, raisons que nous allons énumérer, sont-elles
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e de la prudente considération des forces dont il
croyait
pouvoir disposer, mais de ce que Dieu voulait qu’il fît. C’est toujou
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mer de nos élites à l’égard de l’idée de progrès.
Croire
« encore » au progrès disqualifiait son homme, et l’idée s’empressa d
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ant ce qu’ils dénonçaient en vain. C’est elle qui
croit
aux catastrophes prochaines qu’ils prophétisaient dans le désert, ell
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hoses n’existaient pas. Les grands industriels se
croyaient
« philanthropes » ; les enfants naissaient dans les choux, et le lang
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roche du réel. Cependant les déterminismes qu’ils
croyaient
avoir « découverts », quand c’était bien plutôt leur influence qui al
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s et les fous se multiplient, les avions tombent,
croyez
-moi, c’est la Bombe. Elle va détruire les neuf dixièmes du genre huma
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e automatique, comme des millions de personnes le
croient
encore sur la foi de quelques films et de la science-fiction. C’est e
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nces de l’homme contemporain. Il n’est plus, pour
croire
à ces fous, que quelques intellectuels naguère à la mode dans les cap
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eaucoup plus profonde que nos contemporains ne le
croient
) où le christianisme a suscité, catalysé et qualifié d’une manière dé