1
que dont je suis convaincu et voudrais bien faire
croire
que je la décris. ⁂ Mais ainsi l’on peint un portrait. Style-informat
2
les révèlent : car on ne sait finalement ce qu’on
croit
pour de vrai qu’en voyant ce qu’on fait pour de bon. Aussi loin de l’
3
ette espèce de dire sans art dont un chacun s’est
cru
capable, de tout temps, sous prétexte qu’il a vécu, ne m’intéressent.
4
ent confus d’exil et de plaisir dont souvent j’ai
cru
distinguer la contagion dans le regard de mes voisins. Ainsi d’autres
5
. Dresser des étalons en liberté, et les monter à
cru
. Jouer à football avec les hérissons du parc. Capturer des canards sa
6
élivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui
croient
devoir, ou se devoir. De ces gens grossièrement distingués qui ne vou
7
tôt des règles du jeu, et personne n’a l’idée d’y
croire
. Le pire mensonge est dans la vie réputée pratique, parce qu’il n’y e
8
gris. Une corde de violon saute dans sa boîte. Je
crois
que dans ma tête aussi, des choses obscures se détendent par à-coups.
9
dresse pour tous les possibles, qu’on appelle, je
crois
bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux v
10
dant, mes regards errant sur une bibliothèque, je
crois
y trouver mon salut : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, v
11
reil est par là même extraordinaire. Celui qui ne
croit
pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; mais celui-là
12
de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me
croit
triste. Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme il
13
eais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je
crois
, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pou
14
n errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux,
croit
-on) est frappé d’insolation ; sa folie d’un coup l’envahit. C’est une
15
èvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont
cru
pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie.
16
une fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je
croyais
voir un éclair blanc sous la futaie.) J’avançais à travers une nature
17
, faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je
croyais
m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire bienheureuse.
18
udra s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls
crus
germaniques. J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculp
19
— Paracelse et Swedenborg s’accorderaient, je le
crois
, pour répondre. L’homme est un point de vue central et médiateur entr
20
son magazine, et me voit comme au cinéma. Moi, je
crois
entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier Faust. Presque
21
a oublié la clef de l’armoire aux confitures. (Je
crois
qu’il y a dans cette armoire un cordial tout indiqué en l’occurrence.
22
et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je
croyais
qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éve
23
ds dans le bourg, et le père Reinecke refusait de
croire
à mes histoires. Soudain j’ai dit : « Voilà que ça me prend, tout jus
24
rien faire : c’est que depuis quelques jours, je
crois
, oui je crois bien que je sens la vie tout le temps… 15 juillet 19
25
c’est que depuis quelques jours, je crois, oui je
crois
bien que je sens la vie tout le temps… 15 juillet 1929 Le père
26
rouve une assez longue lettre de Jean Paulhan :
Croyez
-vous qu’il soit prudent, ingénieux ou sage de se mettre à dix-huit po
27
nclure ? Cela pourrait être assez intéressant, je
crois
, peut-être assez grave. Oui, mais je vis en plein chantier. Je comme
28
deux autres groupes. Ma position, que l’on eût pu
croire
« à mi-chemin » entre Esprit et L’Ordre nouveau , était en réalité
29
on doctrinale peut se définir simplement. Les uns
croient
, avec Marx, à la réalité d’une dialectique ternaire ; ils placent leu
30
sont les faits » comme on voudrait nous le faire
croire
. Une révolution n’agit pas dans le vide, mais contre quelque chose :
31
n ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Comment
croire
que l’esprit puisse agir sur les faits autrement que par une suite de
32
commence à se savoir. Ils promettent du pain, et
croient
ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité humaine de n
33
Il faut savoir entendre ce mutisme formidable. Je
crois
que seule la foi peut en donner jusqu’au bout le courage. Je parle de
34
nt aux révolutionnaires qui ont souci de l’homme,
croient
à l’Esprit, et que les porte-paroles du stalinisme insultent en 1932
35
nt, ceux qui enfin se voulaient (et sans doute se
croyaient
) seuls disposés « dans le sens de l’Histoire », quand nous tentions d
36
jacassent dans leur patois rapide et monotone. Je
crois
que je me suis endormi un moment. Nous approchons du dernier village.
37
s’agissait, dans ces articles, de ce que les gens
croient
être actuel, ou sont censés croire actuel, dans la littérature ou les
38
que les gens croient être actuel, ou sont censés
croire
actuel, dans la littérature ou les idées. C’est cela qui paye, et qui
39
Voilà l’espèce d’hommes français que je voudrais
croire
la plus authentique, et la plus digne d’incarner le concept de França
40
meurt pas de faim dans nos pays », dit-on, et je
crois
bien que je l’ai dit quelquefois. Mais il y a aussi des exceptions, d
41
son fils pourrait venir aussi voir la machine. Je
crois
bien que sans cette machine, je n’arriverais jamais à leur prouver qu
42
bien tranchées, que ces journaux leur servent. Je
crois
qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la discussion annoncée apr
43
mon opinion, ou si elle peut vous être utile… je
crois
que vous êtes encore trop compliqué pour ce public. Il me semble qu’o
44
r monsieur. Mais c’est plus difficile que vous ne
croyez
. Il faut que je vous dise que c’est la première fois que je parle ici
45
te on verra si on peut aller plus loin. — Mais ne
croyez
-vous pas qu’on pourrait gagner leur confiance en leur parlant plus fa
46
nt six ans la même chose, ils vous remercient, on
croit
qu’ils ont compris, et puis un beau jour on s’aperçoit que… rien, rie
47
e 1933 Derrière la même pile d’assiettes où je
crois
avoir déjà dit que j’avais trouvé deux ouvrages traitant de mon île,
48
avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu’ils
croient
voir leur astuce. Astuces, petites secousses, grandes secousses, indi
49
pinion de mon voisin après la conférence, j’ai pu
croire
que c’était l’opinion d’un nigaud ; mais non, c’est celle d’un clerc
50
l ne peut pas le faire. Et de plus, il est seul à
croire
qu’il doit le faire. J’imagine qu’il doit apparaître, aux yeux des ha
51
éconnu. Peut-être alors y en a-t-il plus qu’on ne
croit
… Je viens de regarder pendant un bon moment les consommateurs attablé
52
du chômeur, soit que, bourgeois, ils refusent de
croire
à la nécessité organique et permanente de sa condition dans l’ordre c
53
out, pour désigner un type un peu gâteux. Mais je
crois
plutôt que vous vous payez ma tête. » Ce qui renforce cette impressio
54
rpassant finalement mes ennuis matériels. De là à
croire
que je ne suis qu’un amateur, ou que je pose au prolétaire, il n’y a
55
de grandeurs inatteintes ? Serait-ce donc que je
crois
réellement à la Providence ? Beaucoup de philosophes contemporains di
56
puissance ! La force est calme. Et il me plaît de
croire
qu’elle s’ignore. Je distingue clairement ceci : il y a une immense l
57
leurs défis ou leurs succès — prouvent qu’ils n’y
croient
pas totalement. Ils demandent « confirmation » — au sens étymologique
58
spéciales des gens d’ici, j’ai hésité longtemps à
croire
que la raison en était réellement aussi simple. Je connais tout de mê
59
rop de journaux, ne lit que cela, et finit par se
croire
« le Peuple » tel que l’imaginent les bourgeois et leurs journalistes
60
es, soupes, fruits de mer, seiches et poisson, je
crois
que c’est à peu près tout), mais pourquoi vivraient-ils autrement ? B
61
ancs, que leurs fils iront perdre à la ville : je
crois
cependant que la proportion des fous est moindre ici que sur le conti
62
et aux politiciens. Il faut vivre à Paris pour y
croire
. Réveillez ce peuple, il sera peut-être capable de grandes choses — c
63
car il est plus « heureux » que vous. Il faudrait
croire
fanatiquement à une vérité absolue, qui vaille mieux que la paix et l
64
État faible, dont le centre est lointain, qui ne
croit
à rien, et qui par suite ne peut rien exiger de sérieux… — Mais il y
65
. Toutes choses que l’on aime surtout parce qu’on
croit
qu’il faut les aimer, ou parce qu’on n’a pas d’autres goûts que ceux
66
entendre louer à l’église ou dans les livres. On
croit
que pauvreté est vice, et c’est même justement parce qu’on le croit q
67
est vice, et c’est même justement parce qu’on le
croit
qu’on répète le proverbe qui dit le contraire. Je pense que la vraie
68
. (Ne disons rien des hypocrites et des naïfs qui
croient
que louer « l’esprit de pauvreté » dispense de supprimer les facteurs
69
l’esprit de pauvreté n’est-il donné qu’à ceux qui
croient
à autre chose qu’à leur vie, à autre chose qu’à leur succès, ou à leu
70
Le but concret de la révolution économique que je
crois
moralement nécessaire, et d’ailleurs techniquement possible, c’est d’
71
s d’observations nouvelles sur la Province, et je
crois
d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient sensiblement
72
s, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne
croyons
plus aux curés ! — Comptez, Monsieur, lui dis-je, qu’un écrivain a bi
73
sive, deux choses qui compliquent fort la vie, je
crois
; ou bien l’on écrit des choses intelligentes, et c’est encore l’aveu
74
des dictateurs, des milliardaires ou des saints.
Croyez
-moi, ce que nous vous donnons, c’est justement ce qui nous manque, et
75
iment là-bas aussi bien que j’avais pu le laisser
croire
; si ce n’était pas encore un de ces régimes de dictature ; si les pa
76
e langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
croyaient
comme les autres que c’était plutôt ridicule. Mais il paraît que ça v
77
d’avance, que nous avons vécu depuis janvier, je
crois
que j’avais omis de le noter jusqu’ici.) 2 avril 1934 Voilà l’î
78
du seul contact des choses, par les mains ? On le
croirait
à voir l’amaigrissement de la pensée des clercs aux mains débiles qui
79
J’ai retrouvé dans Montaigne ce passage dont je
croyais
bien me souvenir qu’il allait à peu près dans le sens de ce que j’ai
80
ais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
croyez
que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience
81
s’en doutent pas, ils l’ont naturellement, et ne
croiraient
même pas qu’ils l’exigent… Mais pour peu qu’on s’en soit aperçu, il n
82
pied ni patte, et n’écrivais plus à personne. Je
crois
à la valeur d’appel de l’absence, ou plutôt du retrait. (Il ne faut p
83
érant vient me chercher. Notre affaire réglée, il
croit
devoir s’excuser de m’avoir fait passer à côté tout à l’heure. « Vous
84
s devenu tout doucement amoureux de ma vie, et je
crois
bien que c’est un penchant qu’elle agrée. Non point qu’elle me paye e
85
du destin, comme qui dirait au coin d’un bois. Je
crois
que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors il s’agit
86
lement. Ce n’est pas que je fuie les risques. Je
crois
avoir fait bon ménage avec celui qui m’attendait ici. Mais le risque
87
la manière des amateurs de vie intense, trahit je
crois
d’assez banales complaisances. Et le destin répond à ces défis, fusse
88
disons « le roman » bourgeois pour simplifier, on
croirait
que les hommes ne peuvent plus arriver à se connaître, tels qu’ils so
89
que — il avait l’air furieux, cet air qu’on a, je
crois
, très facilement vers 18 ans, — furieux contre le monde, contre soi-m
90
ais de l’anti-intellectualisme : elle indique, je
crois
, la part de vérité qu’il peut y avoir dans cette réaction déplorable.
91
écouverts, un foulard noir sur les épaules, et je
crois
bien sa blouse noire aussi. Elle me dit qu’elle a été assez mal. On d
92
plus toucher à la viande, pensez ! Il ne faut pas
croire
que la viande soit un si bon remède comme on le dit. Je lui ai fait d
93
de dire en constatant le mal : « Voyez-vous ! je
croyais
la tenir cette assiette ! » De telle manière qu’on entend bien que c’
94
st ainsi dans tout, et qu’on aurait grand tort de
croire
que rien au monde dépend de nous. Ceci vaut pour les femmes, qui sont
95
rs des maisons est en ruine, — tout le centre. On
croirait
une ville bombardée. 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la
96
L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai
cru
comprendre qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean-du-Gard, expliqu
97
qu’ils ont l’air d’être, ou mieux pour ce qu’ils
croient
devoir se donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fi
98
la presse, par les partis et par le cinéma. Mais
croyez
-vous vraiment que mon bagnolard, mon lecteur enthousiaste de Clocheme
99
ste de Clochemerle, grand roman de la pissotière,
croyez
-vous que cet homme tout de même ne disait pas lui aussi « Aidez-moi !
100
résume le débat : « En somme, dit-il, si nous ne
croyons
pas en Dieu, nous autres, ce serait que nous sommes trop orgueilleux
101
rxisme ? — Ils essaient ; peut-être plus qu’on ne
croirait
. J’en connais plusieurs qui lisent des brochures de vulgarisation de
102
honte, c’est qu’il ne craint pas Dieu, mais qu’il
croit
au jugement des incroyants, tout en s’imaginant qu’il n’est pas un de
103
ir le croyant véritable : celui qui sait qu’il ne
croit
pas aux dieux du monde, et qui le prouve. Comment le prouve-t-il ? To
104
r de retrouver les choses qui vous résistent. (Je
crois
que Ramuz en a parlé, et de son amour pour les feux qui prennent mal,
105
gnent presque rien. (Lui, par exemple, si je l’en
crois
, n’a guère vendu depuis un mois que pour 50 francs de légumes. Or, la
106
ge du destinataire ». Eh bien, qu’est-ce que vous
croyez
? Réponse dans les quatre jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais voilà
107
ec ses enfants pour des questions d’argent, on ne
croit
plus ni à Dieu ni à diable et à peine à la politique, l’hiver est « p
108
i courante : il a la veine. Mais notre jacobin ne
croit
à la Raison et à la Science, mère du Progrès, que dans la mesure où c
109
e Casanova que le prince de Ligne écrit : « Il ne
croit
à rien excepté ce qui est le moins croyable, étant superstitieux sur
110
est un hors-classe, un être à part, auquel on ne
croit
pas. (D’où sans doute l’angoisse qui pousse tant d’écrivains à gagner
111
la signifie qu’elle est plus importante que je ne
croyais
? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas ? Je vais m’y met
112
je vois que je mentirais si j’écrivais que je n’y
crois
pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me
113
l’instant où l’on découvre que tous les autres en
croient
autant, que ces autres cessent d’être une menace, une masse abstraite
114
se déshumanise rapidement parce qu’il cesse de se
croire
des droits « irrationnels » et immédiats contre l’État. Le sens de la
115
ui les limitaient normalement. L’homme cessant de
croire
à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la
116
oi — à ses superstitions incomparables — se met à
croire
de la même manière aux lois et aux pouvoirs qu’il aurait dû combattre
117
lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne vous
croira
pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi n’aime-t-on pas ce qui
118
tique et excitant que mon titre pourrait le faire
croire
. L’intéressant, à mon point de vue, c’est de montrer une fois que c’e
119
plus souvent dans un langage conventionnel qu’il
croit
de mise, s’adressant à un écrivain. Ou bien il se répand en confidenc
120
clame la vieillesse. Notre opinion publique, à en
croire
les journaux, est actuellement dominée par le souci des élections aca
121
l’expression d’un seul et même événement.) Si je
crois
à la Résurrection et au don actuel du Christ dans la foi, certifié et
122
ar les signes visibles du pain et du vin, je dois
croire
identiquement que c’est là le centre vivant de toute réalité réelle s
123
ant de toute réalité réelle sur la terre. Je dois
croire
qu’à cet événement central doivent se rapporter toutes nos pensées, t
124
nière de s’exprimer qui en dit plus long qu’on ne
croirait
. « J’ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi », note Pa
125
aine d’une société qu’ils sont encore les seuls à
croire
« chrétienne » —, il faut bien dire que le parti communiste se moque
126
e principe de la guérison que j’attends. Je n’ose
croire
qu’il me soit bien utile de seulement le savoir… Si j’étais sûr que l
127
sûr que cette permanence de nos maux. Non que je
croie
à un « Progrès » réel possible. Mais je crois à une décadence certain
128
je croie à un « Progrès » réel possible. Mais je
crois
à une décadence certaine dès que nous relâchons notre effort vers un
129
ait, pensions-nous, tout leur logis — nous avions
cru
comprendre que les autres pièces étaient vides ou ne servaient que de
130
concevoir qu’on puisse même s’étonner. Et ne pas
croire
, surtout, qu’il s’agit là de « préjugés », comme disent les jeunes pe
131
1935 Comme l’année dernière, à la même date je
crois
, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité cyclique. Les dieux l
132
: « Épicerie et spécialiste. » — L’auteur paraît
croire
à un rapprochement absurde. Il fait erreur. Nous sommes dans le Midi,
133
ntre le christianisme. « Ils prétendent qu’ils ne
croient
qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! I
134
ux. Et s’ils chantent faux, c’est parce qu’ils se
croiraient
déshonorés de chanter juste, comme aussi de marcher au pas. La dignit
135
capitalisme et de l’ordre bourgeois (quand ils y
croyaient
encore). Le Progrès, les Valeurs spirituelles, cela couvrait toute l’
136
lace. Je le sais et c’est plus grave qu’ils ne le
croient
. L’ennui dans le monde actuel, c’est un de ces derniers signes, une d
137
ien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’ils
croient
dire ; essaie de les comprendre quand ils se plaignent ou quand ils r
138
régime m’apparaissait meilleur que je ne l’avais
cru
, je me ferais un devoir de le dire et publier ; mais qu’en revanche,
139
aux gestes qui ne sont ni tout à fait ce que l’on
croyait
, ni exactement le contraire. Et il se flatte d’atteindre ainsi, mais
140
ment pour la puissance de sa race, mais celui qui
croit
humblement jusqu’à la mort. Le Christ n’est pas mort en héros, mais e
141
rnative. De fait, ces « possédants » n’ont jamais
cru
au régime de Weimar. Il n’y a sans doute pas en Europe de classe plus
142
on peut leur parler sans relever le menton… J’ai
cru
pouvoir déduire des propos de ce petit patron, et de quelques autres,
143
le régime est beaucoup plus à gauche qu’on ne le
croit
en France, et un peu moins qu’on ne le croit chez les bourgeois allem
144
e le croit en France, et un peu moins qu’on ne le
croit
chez les bourgeois allemands. Mais sans doute une réponse exacte ne s
145
ssages : Il fut un temps en Allemagne où l’on se
croyait
tout permis, et nous pensons avec un doux ricanement à cette époque w
146
me complètement démoli, un temps. On ne peut plus
croire
à rien. » Maintenant il est disciple de Nicolaï Hartmann : la volonté
147
champion des vertus germaniques s’écrie : « Je ne
crois
qu’à un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin d
148
ire ! Lui. — Eh bien, et maintenant ? Moi. — Je
crois
maintenant que c’est plus grave. Une chose me frappe : ce mot Kampf,
149
Mais il n’y avait aussi que des Français pour le
croire
. Et cela ne gênait pas beaucoup le Comité des forges. Parlons sérieus
150
s encore disciple de Rousseau plus que vous ne le
croyez
! Dans la réalité humaine, l’exaltation des différences aboutit à la
151
me avant, sauf qu’on ne tue plus dans la rue. (Je
crois
que c’est cela que les bonnes gens baptisent « l’ordre ».) Ils n’ont
152
tre. Alors il n’y a plus de prétextes. Ou bien tu
crois
, ou bien tu te révoltes. — Et je vois que les seuls qui résistent son
153
gnon, le dramaturge suisse allemand L… : — Vous y
croyez
, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas une formule grand
154
t cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
155
itlérien ! C’est que les hommes de notre temps ne
croient
pas au jugement de l’esprit mais seulement au frisson des tripes. N’a
156
vaillac, parce que sa mission le protège. Il faut
croire
un homme qui dit cela. Qu’il soit un instrument de la Providence comm
157
ronie machinée par la Providence : « Ah ! vous ne
croyez
plus au mystère ? Eh bien, je pose ce fait dans votre histoire, expli
158
’ordre » à tout prix, au prix même de l’humain… À
croire
que ceux-ci créent celle-là… Mais ce serait trop beau dans le genre é
159
x que M. Sarraut. Je ne dis pas cela, comme on le
croirait
, par souci d’impartialité. Un général qui étudie le terrain de sa bat
160
ale-socialiste. Je dis ceci pour les Français qui
croient
connaître « leur » Révolution, ou qui regrettent qu’elle ait été trah
161
raties, que la grande majorité du peuple allemand
croit
cela, et vit dans cette croyance. Et ensuite, mais ensuite seulement,
162
regardons l’Allemagne ou l’URSS du dehors ; nous
croyons
que tous ceux qui y vivent sont affectés d’un signe de haine ou d’app
163
l’oublier. Aux débuts de l’automobile, qui aurait
cru
qu’en une vingtaine d’années les hommes seraient capables de conduire
164
rades du Parti seront désillusionnés, qui avaient
cru
mener un combat purement politique. Ils auront à se décider ! Certain
165
socialiste. Et il se peut que les chefs nazis le
croient
vraiment63. (De même qu’ils croient qu’en enfermant Niemöller ils aba
166
hefs nazis le croient vraiment63. (De même qu’ils
croient
qu’en enfermant Niemöller ils abattront la résistance des chrétiens :
167
raidie dans un orgueil qu’on lui apprend, qu’elle
croit
viril (comme ces grandes bottes tout de même embarrassantes quand on
168
tiquer la « religion » des autres ? Il vaut mieux
croire
d’une foi plus vraie, et le prouver. Les faux dieux font de faux mira
169
l’un ni l’autre, mais il serait un peu stupide de
croire
encore qu’on puisse choisir, qu’il soit intéressant de choisir entre
170
t comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions
croire
à quelque chose, nous voulions vivre pour quelque chose. Nous avons é
171
s à celui qui nous apportait cette possibilité de
croire
. Le christianisme, probablement par la faute de ses ministres, ne sat
172
isfaisait plus depuis bien longtemps au besoin de
croire
de la majorité du peuple. Nous voulons croire à la mission du peuple
173
de croire de la majorité du peuple. Nous voulons
croire
à la mission du peuple allemand. Nous voulons croire à l’immortalité
174
ire à la mission du peuple allemand. Nous voulons
croire
à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuil
175
aque génération) et peut-être réussirons-nous à y
croire
. » Ruine des croyances communes, carence du christianisme organisé, a
176
nouvelles raisons de vivre, volonté angoissée de
croire
à la première qui se présente — fût-elle aussi invraisemblable que «
177
unisme. » C’est ainsi que beaucoup de braves gens
croient
trouver un terrain d’entente avec les dictatures qu’ils condamnent en
178
i, réellement, il faut une sainte simplicité pour
croire
encore qu’on puisse détacher telle ou telle mesure prise par le régim
179
taché sous peine de perdre toute espèce de sens !
Croit
-on que l’ordre social qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à
180
une foi qui ne soit pas cette volonté anxieuse de
croire
à la Nation… Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement
181
jugement dont on n’eût pas à rougir tôt après, je
crus
y parvenir par l’artifice d’une espèce d’objectivité anticipée : d’où
182
ts événements y ont beaucoup aidé. Aujourd’hui je
crois
pouvoir dire que le système est assez simple, et qu’il consiste à peu
183
s le mot ? Non pas ce qu’un vain puriste pourrait
croire
, non pas ce qui serait indispensable pour préserver les Allemands de
184
s aux yeux de l’esprit. Elle ne demande pas : que
crois
-tu ? qu’espères-tu ? mais elle demande seulement : quels sont tes mor
185
ticisme résigné des « réalistes », qui ne peuvent
croire
le rationnel réalisable. En somme, ils ont raison dans l’état actuel
186
Je demandais qu’elles retrouvent une foi… On a pu
croire
que j’appelais à la rescousse je ne sais quelle « mystique démocratiq
187
re de les en délivrer. Il se peut — et même je le
crois
— que la seule tâche vraiment urgente soit d’éduquer le genre humain,
188
tres, comme on naît seul, comme on meurt seul. Je
crois
qu’en dehors de cette foi, il n’est pas d’hommes qui puissent se vant
189
t lorsqu’il se livrait à l’Homme fort qu’il avait
cru
voir en Doriot : il ne faisait rien de plus, mais avec moins de zèle
190
ités. C’est en cela qu’il est utopique. Nous n’en
croyons
pas moins qu’il aurait les plus fortes chances de succès si des homme
191
j’ai tout semé comme d’habitude, et on verra ! —
Croyez
-vous donc qu’ils vous laisseront tranquilles, les fascistes, si c’est
192
ra là, il sera temps d’y penser. » C’est qu’il ne
croit
pas à la guerre. Un second : « Comment penser à autre chose qu’à cett
193
ne point se laisser surprendre. » C’est qu’il ne
croit
plus à la paix. Tous les deux ont de bonnes raisons. Car il est vrai
194
ui ne s’en montrent que plus « durs ». Cet excité
croit
-il vraiment à ses idées ? — Je pense bien, me dit-on. Il n’hésiterait
195
er. Après tout, nous ne sommes pas les premiers à
croire
que notre époque est l’époque même de la crise. S’il est juste et sal
196
on du Progrès ? Je songe à la colombe de Kant qui
croyait
voler mieux dans le vide… L’homme n’est pas fait pour vivre sans mena
197
s, c’est ce qui rend sa perte insupportable à qui
croyait
le posséder. Nos haines… Pourquoi la haine, par exemple, de tel régim
198
mois ? Serait-ce à cause de la menace ? Je ne le
crois
pas. S’il n’y avait pas un bien, dans ce régime, un bien que nous avo
199
e, et l’entretien de son attente ardente ? Si j’y
croyais
vraiment, sans cesse, je serais heureux sans cesse et en tout lieu !
200
Eh quoi ! suffisait-il d’y penser ? Non, mais d’y
croire
. « Si tu crois, tu vivras. » 71. Par Gisèle Freund. 72. Suppressi
201
ait-il d’y penser ? Non, mais d’y croire. « Si tu
crois
, tu vivras. » 71. Par Gisèle Freund. 72. Suppression : « Ainsi l’
202
u’une troupe désordonnée, incapable — du moins le
croyait
-on — d’affronter les armées régulières. »
203
terribles qu’on imaginait, qu’on redoutait, qu’on
croyait
préparer, et qui nous trouvent sans peur et sans préparation dès l’in
204
les débuts d’une mobilisation. Les dames d’antan
croyaient
que c’est parades et bottes, fanfares, rythmes virils, flatteuses géo
205
ressentent ; presque aucun n’oserait l’avouer. On
croit
que la poésie n’existe qu’héroïque ou sentimentale, et l’on ne sait p
206
-ils pas pu ? Parce que tous ils s’imaginent — ou
croient
devoir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un peuple dépenden
207
en tout cela : voilà le miracle hollandais. Je ne
crois
pas que la lumière fauve et le grenat des façades de briques renversé
208
emand du temps.) Comme pour s’excuser, comme s’il
croyait
au fond qu’on devrait tout savoir, et que pourtant… C’est la passion
209
st la passion de la Renaissance, si l’on veut. Je
crois
plutôt que c’est encore l’angoisse avide d’une unité de sens spiritue
210
sortie pour voir, avait l’air en fête. Raisons de
croire
que le coup nazi, raté cette nuit, sera suivi à bref délai de manifes
211
diverses manières, dont l’une est atroce. Je veux
croire
qu’il ne l’a pas senti. Mais ce matin, un officier de l’E. M. du Géné
212
la Ligue du Gothard a décidé une démarche que je
crois
sans précédent dans l’histoire des conjurations politiques. Trois de
213
i pendant une partie de la nuit. Il leur a laissé
croire
qu’il marchait, et à six heures ce matin, les a fait boucler. » Le li
214
fauteurs ! » Logiquement, si le gouvernement nous
croyait
, il devait nous faire arrêter sur-le-champ. S’il ne nous croyait pas,
215
ait nous faire arrêter sur-le-champ. S’il ne nous
croyait
pas, notre démarche était ratée, et au surplus couvrait la Ligue de r
216
eur aux mous. Le Conseil fédéral devait donc nous
croire
et ne pas nous croire à la fois. Finalement, il résista, comme on sai
217
il fédéral devait donc nous croire et ne pas nous
croire
à la fois. Finalement, il résista, comme on sait. 83. Fête nationale
218
tion de l’Europe dont nous avions rêvé, sans oser
croire
que quelques mois plus tard il serait une réalité. L’opinion s’était
219
dernier coupon de cette carte de bonheur que tous
croient
mériter ? Mais le Clipper et les paquebots ne partent plus que d’un s
220
arler que de bonheur et de libre sagesse… Comment
croire
à la catastrophe lorsqu’on descend dans ces contrées les plus humanis
221
sommes ici depuis midi, la nuit approche et je ne
crois
plus guère au départ. S’il y avait une goutte d’eau à boire. Mais le
222
témoin vivant mêlé aux colloques des fantômes… Je
crois
bien que cette image m’est venue à cause d’une conversation entendue
223
s armes fournies par certains ministères. Si j’en
crois
ces deux ex-adversaires, leurs astucieux préparatifs de guerre civile
224
it « Rien de nouveau, rien d’important… » Mais je
crois
avoir entendu dans le ronron nasillard qui sortait de la petite chamb
225
Il faudrait être fou, je le comprends enfin, pour
croire
qu’on puisse jamais se mettre en règle avant tant d’insondables exige
226
jambée par les arches de fer d’un pont à n’en pas
croire
ses yeux, qui porte l’autostrade pendant des kilomètres au-dessus des
227
nt totalitaire, fasciste, nazi ou soviétique. Je
crois
bien qu’elle oublie que les vagues n’ont jamais rien fait avancer, qu
228
à rivaliser d’intolérance brutale avec eux qu’il
croit
condamner… N’est-ce pas cela, le vrai danger totalitaire, dans un pay
229
se que je projette à l’usage des Américains. J’ai
cru
bon de l’avertir qu’il n’y serait question ni d’edelweiss, ni de cor
230
ue. Il fait fond sur un reste de bon sens qu’il a
cru
déceler dans mes manières polies. 27 janvier 1941 Soirée, hier,
231
sque d’instaurer. Mais c’est aussi parce qu’on ne
croit
plus au mal, en Amérique. « C’est trop affreux pour être vrai », dit-
232
e leur régime « d’avenir »… Celui qui ne veut pas
croire
au diable travaille fatalement pour lui. 5 février 1941 Le mau
233
général et à l’Amérique en particulier, c’est de
croire
au diable. On sort de table et pendant que nous attendons l’ascenseur
234
pestre étaient des gens simples et réalistes. Ils
crurent
l’apôtre et donc le tuèrent. Et le plus beau, c’est que ça réussit :
235
ui est au-delà. Somnium narrare vigilantis… — Ils
croient
qu’y croire, c’est le créer. Ils le refoulent. Or c’est ce qu’il veut
236
à. Somnium narrare vigilantis… — Ils croient qu’y
croire
, c’est le créer. Ils le refoulent. Or c’est ce qu’il veut. — Dialogue
237
ique, celui que j’élaborais, vers 1930 ou 1931 je
crois
, avec Adamov, et où se mêlaient mystique et poésie, langue sacrée et
238
ture individuelle un prix nouveau. — Très peu, je
crois
, sont prêts à le payer. 87. Cf. The Heart of Europe by Denis de Ro
239
ans la zone dont dépend Vichy. J’avais peine à le
croire
. Hier à dîner, Costa du Rels me dit qu’étant à Nice l’hiver dernier,
240
timent qu’occupent les bureaux de mon journal, on
croit
au diable et on le connaît, monsieur ! Une fois par mois, il se décha
241
mène avec un beau courage. — Non, monsieur, je ne
crois
pas, je regrette… Nous parlerons encore du diable. C’est ainsi. Entre
242
s se hissaient légèrement sur de petits chevaux à
cru
— deux ou trois enfants par cheval, chacun serrant les bras de l’autr
243
me forcer à crier avec elle d’admiration. Elle me
croyait
indifférent, et j’étais simplement envoûté. ⁂ Société. — Pour être p
244
prudent d’y renoncer, un tiers des membres étant,
croit
-il, amis de l’Axe. Ils sont prêts à soutenir un coup d’État fasciste
245
pour cela, ou à l’inverse, mais pire encore, ils
croiront
que le jazz, la libre concurrence, et la radio, sont des choses assez
246
ndant qu’on jouait le Star-Spangled Banner. Je me
croyais
dans un roman de Dos Passos sur l’autre guerre. Fin décembre 1941,
247
ugié arrivant à New York me dit : — Puisqu’ils ne
croient
qu’à l’argent, dans ce pays, je suis bien décidé à le leur faire paye
248
du diable ?), mais seulement dans un univers qui
croit
aux règles : « Le garçon qui a violé outrageusement les règles du foo
249
un climat tempéré. C’est la France. Ses habitants
croient
que la nature dont ils jouissent est le climat normal de l’homme. Ils
250
e semaine. C’est Consuelo qui l’a trouvée et l’on
croirait
qu’elle l’a même inventée : c’est immense, sur un promontoire emplumé
251
e. Exemple inquiétant des singes. — Si l’on en
croit
le professeur Kœhler qui enseigne à l’Université de Yale et dont les
252
u’elles doivent être jolies, jeunes et riches. Je
croyais
à un bluff, mais non : je viens d’en voir une de mes yeux. Une amie,
253
nse, un sourire gentiment courageux — vous alliez
croire
à de l’insouciance — vers une party… « J’espère que tu t’amuses, que
254
nt : signe évident d’un esprit « féodal » si j’en
crois
les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête est une illustr
255
obre 1943 La fille aînée de Mary, qui a 9 ans,
croit
à Pégase et l’aime de tout son cœur. On lui a planté sur une prairie
256
oulez-vous que je vous joue du piano ? Pour faire
croire
que je n’ai pas peur… » — Eh bien ? m’ont demandé mes amis dans la vo
257
é Breton chez Consuelo de Saint-Exupéry : G. B. —
Croyez
-vous à l’avènement du fascisme en Amérique ? A. B. — Dès la fin de la
258
e là d’un de ces sentiments « bizarres » qu’on se
croit
seul à éprouver et qu’on partage en fait avec tout un chacun. Idiosyn
259
port et la démarche d’une déesse des Eddas. Je la
croyais
d’origine suédoise. L’autre jour, elle dînait à Long Island chez des
260
r si peu. Elle subsiste intacte et nous juge. Eux
croient
, s’ils changent d’avis par « intérêt vital », que tout a changé dans
261
rope, le voisin n’est que l’ennemi virtuel.) J’ai
cru
poli de m’arrêter une heure dans la ville natale de Robert, à quelque
262
considéré comme modèle de toute cause. Si l’on ne
croit
pas en Dieu, l’idée de cause n’a plus de sens. Je m’excuse, je crois
263
l’idée de cause n’a plus de sens. Je m’excuse, je
crois
que vous croyez en Dieu… Remarquez l’ambiguïté du mot croire, dans ce
264
n’a plus de sens. Je m’excuse, je crois que vous
croyez
en Dieu… Remarquez l’ambiguïté du mot croire, dans cette phrase. — Je
265
vous croyez en Dieu… Remarquez l’ambiguïté du mot
croire
, dans cette phrase. — Je crois en Dieu, mais je le considère comme l’
266
’ambiguïté du mot croire, dans cette phrase. — Je
crois
en Dieu, mais je le considère comme l’origine, non comme l’effet de n
267
le, évidemment… D’ailleurs, ce n’est pas cela. Je
crois
que Dieu est fou selon nos normes rationnelles, infiniment plus fou q
268
aire, alors que naguère le physicien matérialiste
croyait
qu’il fallait une masse préexistante pour qu’un mouvement s’y appliqu
269
m’a-t-il dit ce matin en me rendant le livre. Je
crois
que je comprends tout, ou presque tout, à part épistémologie, j’ai ou
270
domaine de l’art. Regardez comme ils produisent.
Croyez
-vous qu’ils aiment cela, et qu’ils ont du plaisir à peindre cinquante
271
égorie qui m’a beaucoup occupé depuis dix ans. Je
crois
que par l’infra-mince on peut passer de la deuxième à la troisième di
272
un vice, déclare-t-il avec sérénité. Peut-être le
croit
-il. Moi non. Cet « artiste-inventeur » prend son temps simplement. Ce
273
Grand Patron100 qui m’avait invitée à dîner, mais
croirez
-vous que de toute la soirée je n’ai pas pu dire un mot de ce qui m’am
274
— Quoi ? — Oh pardon ! je me trompe d’abonné. Je
crois
que c’est tout ce que j’ai pour vous. Décembre 1945 Leur anglai
275
ront-ils plus adroits dans ce même jeu ? On ne le
croirait
pas, à les voir. Curieux trio : un loup déguisé en mouton et deux mou
276
eubles blancs, et ce grape-fruit. Ils la vengent,
croit
-elle, d’une Amérique « où tout est laid », mais d’où ils viennent.
277
— en plein cinquième arrondissement — quand je me
croyais
encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et prov
278
euples disent que les chefs s’y opposent. Faut-il
croire
qu’ils sont prêts à se faire tuer, c’est-à-dire dans ce cas précis dé