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ne idée généreuse…, c’est qu’il n’a pas envie d’y
croire
, qu’il ne fera rien, qu’il pense qu’il est sérieux et que vous rêvez.
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erre mondiale et l’occupation de l’Europe. On put
croire
un moment que tout notre travail allait être effacé pour toujours. C’
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uel bonheur, auquel il suffirait peut-être d’oser
croire
? Se peut-il que ce soit tout simplement l’Europe, redécouverte à la
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ons reçues à notre enquête. Le rapporteur belge «
croit
pouvoir dire » que les historiens de son pays sont attachés aux princ
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e et du prestige mondial de l’Europe, on pourrait
croire
qu’elle n’est plus, aujourd’hui, qu’un appendice aux déclarations off
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nent pratiquement au sérieux. Ce qui est sérieux,
croient
-ils, ce sont les armements et les échanges économiques, voire le jeu
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s marchés, et de la stratégie mondiale. Nous nous
croyons
en conséquence trop petits pour le siècle, et condamnés à perdre, apr
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ts et de ses produits. Chaque groupement national
croit
avoir ses problèmes uniques, parce qu’il ignore ceux des autres, et p
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nts lui disant en substance ceci : « Monsieur, je
crois
exacte votre description du stalinisme. En conséquence, je m’inscris
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communs à toutes nos élites, et plus qu’on ne le
croit
aux individus qui forment en réalité les masses. Dans le champ des in
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tôt que démontrer, et faire voir au lieu de faire
croire
. Mais cette prise de conscience du siècle en marche revêt, qu’on le v
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tan Auden : l’emploi de la magie par ceux qui n’y
croient
plus contre ceux qui y croient encore. Comment donc allons-nous répon
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e par ceux qui n’y croient plus contre ceux qui y
croient
encore. Comment donc allons-nous répondre au défi des totalitaires si
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ment — il est gênant de parler de cela quand on y
croit
, dans un tel lieu, et sous le feu des projecteurs ? Je répondrai à cô
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y aura plus de civilisation du tout. — Et vous ne
croyez
pas qu’il y aurait des indices pour une autre culture, une autre civi
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e maoïsme aucun germe de civilisation nouvelle. —
Croyez
-vous plus au succès des révolutions que des évolutions ? R. — Je ne c
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s des révolutions que des évolutions ? R. — Je ne
crois
pas du tout au succès des révolutions. Elles ont toutes abouti à des
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apogée et la chute des civilisations ? R. — Je ne
crois
pas que les civilisations soient comme les plantes, qui poussent, don
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ature, a développé dans cette civilisation. Je ne
crois
pas que l’homme devient esclave des machines ; il est esclave de cert
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veux dire plus divin. Et ne me demandez pas si je
crois
que cela réussira : car nous ne sommes pas là pour essayer de prévoir
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ar le chauvinisme culturel — les Français de 1914
croyaient
défendre la Civilisation contre les Allemands qui croyaient défendre
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défendre la Civilisation contre les Allemands qui
croyaient
défendre leur Kultur — elle se dissipe comme brume au soleil à la lum
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fres soviétiques ou du désarmement, mais ce qu’il
croit
devoir dire à tel moment pour que la presse et la radio en tirent tel
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ient de ceci : que la « réalité » à laquelle nous
croyons
chaque matin n’est faite que par la presse et la radio, et n’est souv
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ières libertés qui nous restent — celle de ne pas
croire
ou de croire ce qui nous plaît, celle de douter, ou de soupçonner un
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s qui nous restent — celle de ne pas croire ou de
croire
ce qui nous plaît, celle de douter, ou de soupçonner un piège. En bre
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séparation et les distances entre le savoir et le
croire
, entre ces deux aspects de la personne totale, jadis but et module de
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tes les facultés et instituts spécialisés. Je n’y
crois
guère… Presque toutes les expériences tentées dans cette intention si
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ient remettre en question les certitudes que l’on
croyait
acquises, d’autre part est le gage d’un progrès vers le vrai. Ainsi d
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ne voient pas ce qui les a rendues possibles. Ils
croient
qu’ils peuvent acheter ces beaux objets et en user, mais sans payer l
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e nos manières propres de penser, de sentir et de
croire
, de légiférer, de rêver et d’agir. Or ces réalités qu’on peut appeler
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elèvent d’elle, pour s’approcher de la Vérité. Je
crois
que la Vérité est une, mais que son appropriation existentielle — seu
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t l’expression cynique de l’égoïsme pour ceux qui
croient
qu’ils ne croient pas en Dieu. Mais on peut le comprendre autrement.
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ique de l’égoïsme pour ceux qui croient qu’ils ne
croient
pas en Dieu. Mais on peut le comprendre autrement. « Chacun pour soi
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up plus avancé qu’on ne le pense généralement. Je
crois
qu’en définitive on ne construira même pas une Europe supranationale
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ent a fait demi-tour dans l’esprit du public : on
croit
bonnement qu’un auteur engagé est celui qui s’en est remis une fois p
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vre ne constitue une partie de la réalité qu’elle
croit
décrire quand elle l’écrit… On ne peut donc parler que de différents