1 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. I. Pour une nouvelle définition du fédéralisme
1 ités contraires mais également valables, voilà je crois ce qui définit l’apport original et spécifique de la pensée occidenta
2 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
2 nce quotidienne de 700 millions de Chinois qui se croyaient confucianistes, bouddhistes, ou sans croyance aucune… Mais ce n’est p
3 euse, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on croit le sentir en Occident ; l’apport slave dès le milieu du xixe , l’anar
4 ir l’Europe ! Voilà qui explique suffisamment, je crois , pourquoi l’on n’a pas avancé d’un mètre en direction de notre union
5 ou Liberté comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois pas à cette « imp
6 ois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois pas à cette « imposante Confédération » qu’évoquait le général de Gau
7 eurs prétentions à la souveraineté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des misanthropes. Je crois à la nécessité de défa
8 ne crois pas à cette amicale des misanthropes. Je crois à la nécessité de défaire nos États‑nations. Ou plutôt, de les dépass