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é, elle ne veut pas le savoir, et moins encore le
croire
. Assez sage peut-être en cela, pour deux raisons : elle sent qu’elle
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pour une foule immense de suiveurs excités qui se
croient
l’avant-garde en Europe, en Afrique, en Asie et en URSS (mais pas en
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echnique n’est pas neutre dans notre société —
Croyez
-vous donc la technique mauvaise en soi ? — Non, mais quand je prétend
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au sens freudien. Maintenant, vous parlez du mal.
Croiriez
-vous au péché, comme les chrétiens d’antan ? — Mon péché, c’est le ma
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ais n’est-ce pas l’homme lui-même, bénéficiaire —
croit
-il — du rapt du feu, qui se condamne au dur travail, à la douleur et
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e la nature ; et cela s’appelle écologie. Mais je
crois
très urgent de dénoncer les dangers que fait courir à la Terre vivant
7
Elle a beaucoup à voir avec leur malheur, si j’en
crois
Engels, ou plutôt, si j’en crois mes yeux. Ses principes intangibles
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malheur, si j’en crois Engels, ou plutôt, si j’en
crois
mes yeux. Ses principes intangibles et seuls « sérieux » font tout po
9
aux et politiques, diffèrent tellement — à les en
croire
—, en sont à la croissance zéro quand ce n’est pas à la régression dé
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ux n’auraient rien appris que par l’école ? On le
croirait
presque, à les lire. 33. On trouvera cela dans une « Argumentation c
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ien qu’on nous dise qu’il en dépend, mais je n’en
crois
rien. Car les problèmes que nous pose l’énergie ne dépendent pas des
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igneusement ces nécropoles atomiques !45 Qui
croire
? Arrêtons-nous ici : 1973. En ce point du débat nucléaire, toute
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ui voudrait se faire passer pour prospective. Qui
croire
, lorsque trente-deux savants parmi lesquels onze prix Nobel, signent
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professeurs d’université. Et il conclut46 : Qui
croire
? On ne peut le dire en toute certitude. Mais il est utile de savoir
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ontrées. Et l’on trompe le public en lui laissant
croire
qu’une probabilité de 1 contre 100 000 signifie la sécurité pour cent
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de la réponse des promoteurs, on verra bien s’ils
croient
ce qu’ils nous disent, ou s’ils mentent. 4. « La sécheresse de 197
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rnes et non pas un retour au bon sens. Je ne vous
crois
pas un seul instant malintentionnés, déshonnêtes. Mais ayant écarté f
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est pas le profit comme on voudrait nous le faire
croire
, par un leurre qui arrange bien la gauche traditionnelle (seuls les g
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e, naïve, aveugle des ressources naturelles qu’on
croit
illimitées. Cela se développe au xxe siècle avec la pollution de l’a
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st confiée tout entière au président.72 Si j’en
crois
ces déclarations, le Français moyen d’aujourd’hui, qu’il soit sociali
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diale », comme le dira le communiqué, on pourrait
croire
qu’ils vont chercher ensemble les moyens de surmonter un mal cosmique
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citoyens. L’État sera tenté d’en abuser dès qu’il
croira
déceler que les citoyens sont secrètement tentés de se laisser glisse
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ossible pour demain, mais aux prophètes ce qu’ils
croient
nécessaire. 59. De la période du charbon, du fer, des chemins de f
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eule qui réussisse et qui progresse. Vous semblez
croire
que nous sommes libres, après Heisenberg et la Bombe, de penser n’imp
25
. Personne n’osant le contester autour de moi, je
crois
prudent de l’accepter. J’admets aussi que l’évocation des fées ne ser
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u’elle est « vraie ». En retour, nous refusons de
croire
ce que « l’état présent de la science » nie ou condamne, et nous acco
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ions métaphysiques que notre hâte même voulait et
croyait
fuir. Nous ne pensons encore qu’à gagner du temps. Mais quand nous au
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rialiste, naïve et dure. On s’accroche à ce qu’on
croit
le tangible et qui n’est guère que le mesurable : progrès quantitatif
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r l’État (la Grande Bête), abolie ? Mais faute de
croire
à l’au-delà de l’histoire, à cette suprême Venue qui transcende l’his
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quant à la nature même de l’avenir, et nous fait
croire
qu’il existe déjà en avant de nous et sans liens avec nous — si bien
31
ssent, se fanent et meurent comme chacun sait, ou
croit
savoir, et ce n’est pas vrai. En lavant donc vers les inévitables déc
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n ces termes Louis Lumière : « Il veut nous faire
croire
que son “cinématographe” pourrait divertir, à la rigueur même remplac
33
ns nul doute ses auteurs) il faut commencer par y
croire
. Car si on le récuse, on ne fera rien pour échapper à ce qu’il annonc
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livre entend dénoncer : elle voudrait nous faire
croire
que la société, la civilisation, leur crise et le système de leur cri
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t. En manipulant son « modèle », le futurologiste
croit
-il vraiment qu’il manipule un avenir réel ? (D’autant qu’il a pris so
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pective n’aurait plus de raison d’être si l’on ne
croyait
plus à la liberté de l’homme. Elle existe et n’a d’intérêt qu’à seule
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uel du gaspillage motorisé. Nos gouvernements n’y
croient
pas ou du moins le disent publiquement : ils touchent 60 % sur la ven
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embargo sur le pétrole ne sont pas là. Si l’on en
croit
le plénipotentiaire d’un émirat s’adressant au Premier ministrea japo
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t tiré nulle conséquence, parce qu’ils ne veulent
croire
qu’à la croissance102. Les émirs ont été plus réalistes. Saisissant l
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On a trop dit que notre époque est chaotique. Je
crois
bien, au contraire, que l’histoire n’a pas connu de période où les di
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uffit pourtant de regarder autour de nous et d’en
croire
nos yeux. » Je prends Henry Ford comme un symbole du monde moderne, e
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le procédé très simple de la répétition, on fait
croire
aux gens qu’ils ne peuvent plus vivre heureux sans auto. Voilà l’affa
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aisse les prix. Le client fait la comparaison. Il
croit
qu’il va gagner cinq francs en achetant cinq francs moins chers un ob
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et de l’avenir de son effort. Pour mon compte, je
crois
que l’idée fixe de produire peut très bien envahir un cerveau moderne
45
aillac, parce que ma mission me protège.” Il faut
croire
un homme qui dit cela… D’où lui vient le pouvoir surhumain qu’il déve
46
’entends et subis en 1936, j’écris ceci : « Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
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auquel l’immense majorité des hommes de ce siècle
croit
vraiment. Les temps sont proches quand les finalités d’une société ne
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se. Les États cèdent avec une docilité dont j’ai
cru
voir qu’elle est directement proportionnelle au degré d’autoritarisme
49
l’on me demande : — Serons-nous assez nombreux à
croire
cela ? (ou à me croire ?) Le message sera-t-il efficace ? Les masses
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rons-nous assez nombreux à croire cela ? (ou à me
croire
?) Le message sera-t-il efficace ? Les masses (ou au contraire les él
51
et ce serait bien s’il s’agissait de ce que vous
croyez
: un tiercé dont les favoris sont les partis et idéologies. Mais vous
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aquelle l’expert qui nous parle, émarge. (Si vous
croyez
que c’est moins simple que cela, vous vous trompez, j’en tiens les pr
53
e, au nom « d’impératifs » si opportuns qu’on les
croirait
faits sur mesure… Si l’État c’était nous, tout changerait aussitôt. L
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t cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me
croyais
à un meeting de masses, à quelque manifestation politique. Mais c’est
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l’inverse est vrai, mais on essaie de nous faire
croire
qu’un avenir qui ne dépendrait plus des agences de l’État, c’est-à-di
56
, et cela dans toutes les civilisations dont nous
croyons
pouvoir nous former quelque idée : ashrams de l’Inde, couvents du Tib
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est loisible, faute de mieux, de dire et même de
croire
parfois, que nous en sommes. Faute de pouvoir confirmer avec ce voisi
58
u national que pourtant la plupart sont tentés de
croire
seul valable, cependant qu’ils y dépérissent visiblement, faute d’y t
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comprend qu’elle exaspère les sots), personne n’y
croit
, personne n’est prêt pour elle à consentir le moindre sacrifice. Or,
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la région appelle la fédération continentale. Je
crois
bien n’avoir plus à démontrer que l’Europe des États n’est qu’un cerc
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sieurs départements de Rhône-Alpes. Entité que je
croyais
accidentelle d’ailleurs, mais je me trompais. Car la région universit
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un siècle, et selon lequel l’homme d’aujourd’hui
croit
sans la moindre discussion en une série de propositions axiomatiques
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nt, la contestation de la souveraineté nationale,
croyez
-vous qu’elles soient sans relation avec la criminalité et la délinqua
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ement inexistante.) Une panacée ? On dira oui, je
crois
, quand on aura pris le soin de vérifier ce qui suit : — que la région
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dent, et ses conséquences pour le Monde. — « Vous
croyez
donc qu’une simple modification de la structure administrative de not
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rselle) que vous avez d’abord décrite ? » — Je ne
crois
pas qu’une structure par elle-même soit capable de rien sauver. Mais
67
n de leurs traditions, plus homogènes qu’on ne le
croit
, du moins de leurs conditions et ambitions présentes. Ce qui aura d’a
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humaine. Et, du même coup, elle tend à nous faire
croire
que cet État-nation a toujours existé, tel une idée platonicienne ou
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de nations) qui forment la France actuelle : à en
croire
les manuels d’histoire français, les rois de France ne les ont pas co
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ouer leur torpeur fataliste et sceptique. Mais je
crois
davantage à la douce violence de la tendresse des jeunes pour l’ordre
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prise du pouvoir, mais toutes les fois qu’ils ont
cru
y arriver, c’est le pouvoir qui les a pris. Car on ne peut prendre un
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it rien à prendre. Celui des Soviets ? Lénine n’y
croyait
pas et fit tout pour l’éliminer, c’est-à-dire pour instaurer — en pro
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qui leur est le moins congénital. À qui fera-t-on
croire
que l’Occident pourrait nourrir l’Inde et le Bangladesh, l’Afrique no
74
ù tout est faux, impossible et réel ; le refus de
croire
que l’état des forces cataloguées, tel que vous venez de le caractéri
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i sait ou pourrait savoir ce que je découvrais et
croyais
révéler : les ressources limitées, les besoins infinis, les centrales
76
» évoque « doux rêveur » dans les esprits qui se
croient
réalistes. Toutefois, tant qu’à rêver, comme ils le font en parlant d