1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 PNB et de la consommation d’énergie, comme l’ont cru , depuis le siècle dernier, capitalistes et communistes, socialistes e
2 ut « rattraper l’Amérique », laquelle continue de croire , dans sa majorité, que plus c’est grand et mieux cela vaut. Reste alo
3 ger son avènement puissant mais sans violence, de croire en notre avenir commun. Cette Europe fédérée des communes, des région
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
4 économie va-t-on parler ici ? Le grand public croit trop souvent que l’Économie est une entité qui a ses lois, lesquelles
5 raires. Elle explique enfin que les gouvernements croient nécessaire d’augmenter encore l’expansion pour obtenir dans un proche
6 les réalités sociales et naturelles qu’elle avait cru pouvoir éliminer de ses comptes. Il est grand temps que « R & D »
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
7 x, n’ont rien senti et ne craignent rien à les en croire  ; — les votes négatifs de plusieurs conseils généraux et régionaux en
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
8 qui préoccupe le plus nos populations, si l’on en croit les sondages d’opinion. D’où vient cette contradiction entre le souc
9 méricain », quoi qu’il advienne, si insolents que croient devoir s’afficher certains leaders politiques à l’égard de Jimmy Cart
10 contrairement au général français P. Gallois, ne croit pas que « chaque nation, à l’instar de la France, puisse assurer sa p
11 rait le Luxembourg ? demande-t-il.) Surtout il ne croit pas que « les Américains voleraient au secours des Européens incapabl