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ment sous-développé ? Il ne le semble guère. À en
croire
le sociologue belge Léo Moulin (que Rougemont et moi avons bien connu
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lectique, mais jusqu’à preuve du contraire, je ne
crois
pas que Denis de Rougemont l’ait adopté. En revanche, il était en que
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contribué à illustrer. Dans notre génération, je
crois
avoir été le premier à utiliser ce terme en français, en l’empruntant
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ôt individualiste) de ce propos, il est permis de
croire
qu’il n’aurait point déplu à Denis de Rougemont. N’a-t-il pas affirmé
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qui caractérise cette époque par son contenu, je
crois
qu’il faudrait l’appeler l’époque des communes, des communautés de ma
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es branches de la culture en Europe et même, à en
croire
certains historiens et sociologues, les linéaments du parlementarisme
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là, je n’ai qu’un remède de bonne femme, mais j’y
crois
dur comme fer ; je crois à la vertu des choses petites, des petites u
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de bonne femme, mais j’y crois dur comme fer ; je
crois
à la vertu des choses petites, des petites universités, des petites d
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n voit naître l’existentialisme, que tant de gens
croient
inventé par une école parisienne durant l’occupation allemande. Tant
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ovient de ceci que la « réalité » à laquelle nous
croyons
chaque matin n’est faite que par la presse et la radio, et n’est souv
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euse, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on
croit
le sentir en Occident ; l’apport slave au xixe siècle ; l’art africa
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d’esprit (avec les nationalistes) qui s’oppose ou
croit
devoir s’opposer à toute formule d’union, et surtout de fédération, j
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e de l’Europe, et notamment de la France que l’on
croit
à tort entièrement uniformisée, si l’on voulait faire coïncider les n
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ir l’Europe ! Voilà qui explique suffisamment, je
crois
, pourquoi l’on n’a pas avancé d’un centimètre en direction de notre u
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aimé la politique de de Gaulle en France, mais je
crois
qu’il aurait fait un très bon président de la première République eur
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nion des Européens n’est pas l’économie, comme le
croyaient
les fondateurs du Marché commun, mais la culture. L’Europe, en effet,
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sme ne pouvait naître réellement, malgré ce qu’on
croit
, qu’au xxe siècle, parce qu’il fallait que toute cette dialectique s
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ou liberté comme finalités de l’union. Mais je ne
crois
pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois pas à cette « imp
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ois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne
crois
pas à cette « imposante Confédération » qu’évoquait le général de Gau
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eurs prétentions à la souveraineté absolue. Je ne
crois
pas à cette amicale des misanthropes. Je crois à la nécessité de défa
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ne crois pas à cette amicale des misanthropes. Je
crois
à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt, de les dépass
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l à Proudhon, qui a été séduit au début, et qui a
cru
pendant longtemps qu’il était hégélien. Il n’avait pas fait attention
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ême phrase. Tous les États-nations de l’Europe se
croient
supérieurs à tous les autres. 17 décembre 1976 De la notion d’associa
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es lire. Pour cela, le principe de base, c’est de
croire
les chiffres plutôt que les justifications de ces chiffres. Par exemp
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oblèmes jugés plus importants. On essaie de faire
croire
que la politique que l’on adopte est « dictée par le budget », alors
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ixe siècle et de la technique au xxe siècle. Je
crois
qu’elles nous offrent l’exemple le plus visible, tangible, plastique,
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du tout inépuisables comme tous les hommes l’ont
cru
naïvement jusqu’à nous : le charbon et le pétrole s’épuisent d’une ma
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ls, alors que le nationalisme voudrait nous faire
croire
qu’elle est la somme de tous ces égoïsmes additionnés en un super-égo
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la personne. Il est évident que le fait que l’on
croie
ou que l’on ne croie pas à la Trinité et à la définition de la person
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évident que le fait que l’on croie ou que l’on ne
croie
pas à la Trinité et à la définition de la personne de Jésus-Christ n’
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tout là-haut vers les étoiles, comme le peuple le
croit
naïvement. C’est un au-delà qualitatif, qui peut aussi bien être en n