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es immédiates, qu’on l’agrandisse ! Les crises de
croissance
n’ont jamais été mortelles pour les administrations : elles représent
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ajorité de nos contemporains les impératifs de la
croissance
de production, et de l’aide aux sous-développés ? 4. Possibilité d’un
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ressources, prendrait la mesure de leurs pôles de
croissance
, de l’intensité de leurs échanges et de l’orientation des flux de bie
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iens et de services, d’urbanisation et de taux de
croissance
, qui ne saurait coïncider que par accident et temporairement avec un
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ocal et régional. La recherche d’un optimum entre
croissance
industrielle et équilibre humain s’illustre aisément à ce niveau. Les
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politique de réduction simultanée des facteurs de
croissance
dans les deux décennies qui viennent, l’essentiel serait obtenu, les
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se borner à « rechercher les causes et le mode de
croissance
du Pouvoir dans la Société », il dénonce en fait l’étatisation de la
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le tout récent Rapport de Tokyo sur l’homme et la
croissance
120. que jusqu’ici l’on n’a guère étudié « que les structures et le m
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nd ils tendent à nous faire accroire qu’une seule
croissance
est à la fois possible et nécessaire, celle de la production matériel
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». Mais je vois au contraire les promoteurs de la
croissance
se servir des calculs prévisionnels pour couper court à toute critiqu
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rme ne peut faire ressortir que l’absurdité de la
croissance
dès qu’elle devient exponentielle. Le long terme, au surplus, devrait
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nverse une tendance — comme on va le voir pour la
croissance
démographique dans toute l’Europe — le long terme en subira des effet
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Si bien qu’on peut se demander si le dogme de la
croissance
industrielle n’est pas devenu sacro-saint dans la mesure même où il p
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ment les technologues, portent en soi des fins de
croissance
illimitée, qui condamnent le système à la fuite en avant vers un désa
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hnologiques, accordés par leur facture même à une
croissance
illimitée, portent en eux des finalités virtuellement incompatibles a
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ouvoir d’achat, et d’autoroutes, c’est-à-dire une
croissance
illimitée — celle que l’on « justifiait » naguère par la croissance d
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ée — celle que l’on « justifiait » naguère par la
croissance
démographique… Or toute croissance biologique porte en elle-même ses
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naguère par la croissance démographique… Or toute
croissance
biologique porte en elle-même ses principes régulateurs. Ce n’est pas
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principes régulateurs. Ce n’est pas le cas de la
croissance
industrielle, qui est contraire aux lois de la vie et qui met en péri
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litique conduirait d’une manière calculable à une
croissance
exponentielle ; et de préconiser au contraire tous moyens dont la mis
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je lis dans le Rapport de Tokyo sur l’homme et la
croissance
, publié par le club de Rome : « En vérité, nous sommes comme un enfan
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eux ou inepte, tandis que s’accélère le rythme de
croissance
des échanges matériels et des contacts humains, voilà qui ne cesse de
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de demain s’annonce si long que les dangers de la
croissance
illimitée sont encore inconcevables dans ce monde-là. D’autant plus q