1 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
1 es immédiates, qu’on l’agrandisse ! Les crises de croissance n’ont jamais été mortelles pour les administrations : elles représent
2 ajorité de nos contemporains les impératifs de la croissance de production, et de l’aide aux sous-développés ? 4. Possibilité d’un
2 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
3 ressources, prendrait la mesure de leurs pôles de croissance , de l’intensité de leurs échanges et de l’orientation des flux de bie
3 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
4 iens et de services, d’urbanisation et de taux de croissance , qui ne saurait coïncider que par accident et temporairement avec un
5 ocal et régional. La recherche d’un optimum entre croissance industrielle et équilibre humain s’illustre aisément à ce niveau. Les
4 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
6 politique de réduction simultanée des facteurs de croissance dans les deux décennies qui viennent, l’essentiel serait obtenu, les
5 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
7 se borner à « rechercher les causes et le mode de croissance du Pouvoir dans la Société », il dénonce en fait l’étatisation de la
8 le tout récent Rapport de Tokyo sur l’homme et la croissance 120. que jusqu’ici l’on n’a guère étudié « que les structures et le m
6 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
9 nd ils tendent à nous faire accroire qu’une seule croissance est à la fois possible et nécessaire, celle de la production matériel
10 ». Mais je vois au contraire les promoteurs de la croissance se servir des calculs prévisionnels pour couper court à toute critiqu
11 rme ne peut faire ressortir que l’absurdité de la croissance dès qu’elle devient exponentielle. Le long terme, au surplus, devrait
12 nverse une tendance — comme on va le voir pour la croissance démographique dans toute l’Europe — le long terme en subira des effet
13 Si bien qu’on peut se demander si le dogme de la croissance industrielle n’est pas devenu sacro-saint dans la mesure même où il p
14 ment les technologues, portent en soi des fins de croissance illimitée, qui condamnent le système à la fuite en avant vers un désa
15 hnologiques, accordés par leur facture même à une croissance illimitée, portent en eux des finalités virtuellement incompatibles a
16 ouvoir d’achat, et d’autoroutes, c’est-à-dire une croissance illimitée — celle que l’on « justifiait » naguère par la croissance d
17 ée — celle que l’on « justifiait » naguère par la croissance démographique… Or toute croissance biologique porte en elle-même ses
18 naguère par la croissance démographique… Or toute croissance biologique porte en elle-même ses principes régulateurs. Ce n’est pas
19 principes régulateurs. Ce n’est pas le cas de la croissance industrielle, qui est contraire aux lois de la vie et qui met en péri
20 litique conduirait d’une manière calculable à une croissance exponentielle ; et de préconiser au contraire tous moyens dont la mis
21 je lis dans le Rapport de Tokyo sur l’homme et la croissance , publié par le club de Rome : « En vérité, nous sommes comme un enfan
7 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
22 eux ou inepte, tandis que s’accélère le rythme de croissance des échanges matériels et des contacts humains, voilà qui ne cesse de
23 de demain s’annonce si long que les dangers de la croissance illimitée sont encore inconcevables dans ce monde-là. D’autant plus q