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atériels et le syndrome fondamental : celui de la
croissance
illimitée. La crise mondiale, et la carence politique des Européens s
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litique du célèbre Rapport sur « Les Limites à la
croissance
» (matérielle) reste à écrire : je l’intitulerais pour ma part Rappor
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sement du pouvoir sur soi-même, mais seulement la
croissance
illimitée de besoins et de produits matériels, croissance dont on a r
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ce illimitée de besoins et de produits matériels,
croissance
dont on a remarqué que le rythme est celui de la prolifération des ce
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0) ; il a fallu le rapport sur « Les Limites à la
croissance
» ; il a fallu la crise du pétrole et ses suites ; mais surtout, il a
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rise profonde de civilisation, due au culte de la
croissance
. (Mais on ne peut parler de tout à la fois, même avec la maîtrise d’u
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ic et Eduard Pestel. À mon sens, les Limites à la
croissance
ont marqué le tournant du siècle. Mais si Forrester et Meadows ont bi
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eadows ont bien fait voir que les problèmes de la
croissance
sont en interactions mondiales, il fallait montrer aussitôt que ces p
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nations étatisées. Cela se poursuit à travers la
croissance
industrielle — qui est une croissance non régulée, contrairement à la
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travers la croissance industrielle — qui est une
croissance
non régulée, contrairement à la croissance organique d’un individu —
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st une croissance non régulée, contrairement à la
croissance
organique d’un individu — à travers l’aventure scientifique et techni
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s de la région. Un facteur d’autorégulation de la
croissance
serait ainsi introduit à la base par l’autonomie régionale. Mais les