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phère moraliste a tué les germes de l’imagination
créatrice
chez les protestants, qui lui furent plus que d’autres soumis, de par
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de la foi, ne peut manquer de libérer des forces
créatrices
. Or les temps vont nous y contraindre. Que rien ne soit plus favorab
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sible l’origine de l’égarement, rende efficace et
créatrice
la critique de tout cela qui agite le cœur des hommes. Ce n’est pas u
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issionnons de notre rôle d’hommes responsables et
créateurs
. Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe L
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onne à son tour n’est rien d’autre que l’attitude
créatrice
de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans l’homme et se rapporte
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Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme
créateur
à l’homme qui s’abandonne au destin collectif, mais c’est peut-être v
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Une créature. Qu’est-ce que son ordre ? La loi du
Créateur
. Le solitaire que Kierkegaard appelle, c’est l’homme seul devant son
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on » contre « le siècle », pas d’autre révolution
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. Et tous nos appels à l’esprit, s’ils ne sont pas ce retour au Réel,
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elle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme
créateur
. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, pe
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r une passion qui jaillisse du tréfonds de sa foi
créatrice
. Les hommes qui ont fait l’histoire sont ceux qui avaient une vision
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de son pouvoir, il se prive de toute inspiration
créatrice
. L’homme n’est plus qu’une fonction sociale, un « soldat politique »,
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s plans. L’œcuménisme exclut l’orthodoxie fermée,
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de schismes, et la dissidence obstinée. Le fédéralisme exclut de même
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’est-à-dire du factum, du déjà fait. Toute pensée
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est du « wishful thinking », prend nos désirs pour des réalités, jusq