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ieu : et que la relation d’un être déchu avec son
Créateur
ne puisse être que paradoxale, cela est clair, d’une clarté propremen
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elles la tension, le ressort nécessaires à l’acte
créateur
. Loin de tenter leur réduction à quelque idéale synthèse, elle s’exal
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rait, non sans soulagement, mais bien vers l’acte
créateur
par où la personne accède à une plus dangereuse réalité. Ceci peut ra
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uit le dépassement qu’il permet ? Et le rendement
créateur
de cette éthique de la personne, par quoi, au bout du temps, se trouv
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questions, on affirmerait par là même que l’acte
créateur
se crée soi-même et se suffit en soi. Si l’on refusait de poser la qu
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la personne humaine : le rapport de l’homme à son
Créateur
. Le Droit romain a peut-être raison de refuser à mon voisin le pouvoi