1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 ’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur , ne l’aime ? Car Dieu seul connaît l’homme dans son origine et dans s
2 onsciente et avouée pour soustraire l’homme à son créateur , pour rebâtir un monde à la mesure de l’homme considéré comme autonom
2 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
3 rt et la loi du talion. Ici, c’est le capitalisme créateur de chômage, là c’est la tyrannie des dictatures. C’est contre la form
4 es, elles sont apparues comme de fondamentales et créatrices objections de la foi à la forme du monde. Mais, direz-vous encore, no
5 état d’esprit général. Elles appellent une morale créatrice , prenant le pas sur nos morales trop idéalistes, ou cyniques. Et le t
3 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
6 piré aucun artiste, musicien, poète ou philosophe créateur , parce qu’il n’avait aucune exigence claire et ferme, parce qu’il n’o
7 aire et ferme, parce qu’il n’offrait à l’instinct créateur aucune charpente et qu’il ne fixait aucune limite qui soit en même te
8 le siècle, de transformer ses croyances en action créatrice . Les forces de création lui échappent. Tout ce qui est créé est alors
9 pas les moyens de mettre en contact organique les créateurs de culture et l’Église comme telle — l’Église comme corps de doctrine
4 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
10 iècle, s’exténuer les formes extrêmes, hardies et créatrices des différentes confessions. On reculait sous la pression de l’incroy
5 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
11 un climat rationaliste, n’est pas une attitude de créateur . L’art suppose une orthodoxie, un parti pris, un fanatisme, quelque p
12 à renouveler, tout ce système de gênes où l’élan créateur prend son appui. Voilà sans doute pourquoi les premières générations