1 issionnons de notre rôle d’hommes responsables et créateurs . Leur rigueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe L

2  la personne, au contraire, représente l’attitude créatrice , la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dans l’homme

3 Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne au destin collectif, mais c’est peut-être v

4 t nous définissons la personne comme une vocation créatrice , la situation se renverse. La vocation d’un homme n’est pas un droit

5 sur la contrainte matérielle, mais sur le pouvoir créateur , ordonnateur. L’Esprit dont nous parlons n’est pas une espèce de flui

6 nt, par le moyen de la dictature étatiste, l’élan créateur , spirituel de la Révolution. On peut dire, très exactement, que le ma

7 ieu : et que la relation d’un être déchu avec son Créateur ne puisse être que paradoxale, cela est clair, d’une clarté propremen

8 ’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur , ne l’aime ? Car Dieu seul connaît l’homme dans son origine et dans s

9 onsciente et avouée pour soustraire l’homme à son créateur , pour rebâtir un monde à la mesure de l’individu considéré comme auto

10 ment que par une suite de coups de force, d’actes créateurs , — révolutionnant le déterminisme rigoureux de la matière abandonnée

11 stes », théorie qui ôte à l’acte toute efficacité créatrice et par là même doit être dénoncée comme antirévolutionnaire50. Le mat

12 s. Elles veulent l’union par et dans la diversité créatrice . Fortes de leur souplesse, elles empêchent les conflits de s’accumule

13 il entendait sauvegarder et orienter ces tensions créatrices , sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension organique

14 elle a pour but de les dépasser et de les rendre créatrices . Le type même d’une telle tension est celle qui s’établit entre deux

15 eignent en rouge la révolution. La révolution est créatrice . Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure.

16 égal à son humanité totale que là où il se montre créateur de lui-même. Non, ce n’est point un « homme nouveau » que la révoluti

17 , une révolution véritable. La doctrine est seule créatrice d’une liberté que l’homme des rues reste incapable de forger avec tou

18 cé par les philosophes, le jour où, à la personne créatrice , ils ont substitué pour les besoins de leurs systèmes l’individu abst

19 t dépourvu de résistance active. Alors le travail créateur , seul travail qui n’implique pas la négation du loisir, qui ne vide p

20 es de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs . Elle exprime simplement l’état accidentel d’un conflit absurde entre

21 u’elle résulte, d’une déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide »

22 re, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatrices . Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la cré

23  » ou des efforts stériles. Est-ce un long loisir créateur  ? Un long travail d’enfantement ? Cela ne va pas sans douleur, non pl

24 faire aimer aux hommes une caricature du travail créateur , l’émulation socialiste n’est rien d’autre qu’un nouvel opium. Ce bou

25 rance en termes révolutionnaires et politiquement créateurs . Devant cette impuissance, que va faire la jeunesse ? Elle voit bien

26 : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres, de chômage, d’immoralité publique et

27 it concret). Sur cette notion de l’homme actif et créateur , se fondait une analyse du pouvoir et des valeurs, et une critique du

28 e la nation et le libre déploiement de ses forces créatrices . Le but est d’abord de faire triompher tel parti dont on est membre.

29 ci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur . Et quand tout va mal, quand la crise est là, les partis se mettent à

30 s’enracine dans l’homme, en tant qu’il est actif, créateur et responsable vis-à-vis de la communauté. Elle n’est pas une obligat

31 que nous voulons subordonner l’État à la liberté créatrice de ceux qui forment la nation. C’est en vertu de notre conception de

32 politiques naissent de grandes visions, d’utopies créatrices , d’idéaux jaillis des profondeurs de l’homme et d’une large considéra

33 à la politique, à la culture, à toutes les forces créatrices de ce pays. (paru dans L’Ordre nouveau , 1936.) 79. Le gouvernem

34 Le protestantisme créateur de personnes63 Je souhaite que beaucoup d’entre vous, apercevant l

35 ue totalitaire, et vidée de ses meilleures forces créatrices . Mais dès que le parti protestant relève la tête, en tous pays, nous

36 de prôner ou de laisser prôner le protestantisme créateur de personnalités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralism

37 ne peuvent prévaloir contre la vérité de l’homme créateur , celui-ci se gardera d’en tirer ses vrais motifs d’espérance ou de do