1 elle « l’idée européenne » est en fait une action créatrice . La nécessité d’unir nos peuples résulte des faits les plus patents e

2 ommun. À tel point que M. Nehru, qui fut l’un des créateurs de l’unité indienne, pour avoir contribué à chasser les Anglais de l’

3 llustrent la direction générale dans laquelle les créateurs et les agents de cette civilisation ont décidé de chercher et persist

4 en même temps, le reliant au prochain ainsi qu’au Créateur de tous les hommes. Cet homme-là, j’entends la personne, se voit donc

5 un sens dans cette évolution unique, dramatique, créatrice de nouveauté, et qui a été inaugurée par la vision chrétienne du temp

6 humains et divins de la personne, de ses pouvoirs créateurs et de ses libertés. Rien n’est fatal. Les deux éventualités sont poss

7 s se voient assimilées et retrouvent leur pouvoir créateur , mutuellement modérateur, humanisant. Dans la plupart des cas, s’occi

8 s définissent et qu’elles propagent, leurs vertus créatrices , leurs mesures et leur sens. La machine passe généralement pour le pr

9 ntre vivant, et demeure peut-être encore le foyer créateur , ou en tout cas peut le redevenir. Nous ne trouverons pas de réponse

10 n pâtirait. Car le monde entier a besoin du génie créateur de l’Europe, de son sens de la mesure comme de son sens critique, et

11 livres et apprennent une science, mais l’activité créatrice de ceux qui peignent, écrivent, conçoivent et inventent. Car s’il est

12 r de sa culture, c’est aux activités de recherche créatrice que doit aller d’abord le soutien financier du mécénat européen. P

13 ue signifie, dans le concret, l’aide à la culture créatrice  ? Jusqu’à notre temps, c’est bien simple. Certes, on ne finance pas u

14 celui de la subvention, qui n’est plus l’aide aux créateurs individuels, mais aux instituts de recherches, bureaux d’études, sémi

15 uper essentiellement des représentants qualifiés ( créateurs plutôt qu’organisateurs) de toutes les branches de la culture. On pen