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icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
création
, un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
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es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la
création
de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
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e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la
création
. Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
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ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la
création
. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
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dans une activité qui est la négation même de la
création
; activité purement « nécessitée » par la révolte de 17, qui décréta
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r n’était qu’anathème au présent, où serait notre
création
? Et si l’ordre que nous voulons n’était rien d’autre que la subversi
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end à dévaloriser, à disqualifier humainement les
créations
intellectuelles. Si l’on voulait trouver un critère général qui nous
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à rendre compte des seules œuvres mineures, toute
création
réelle étant la position d’un acte indépendant des mécanismes de la s
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’homme rendu à la conscience de sa liberté. Toute
création
suppose une liberté, ou plus exactement, créer, c’est être libre. Un
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, si l’homme est un événement, une rupture et une
création
, un fauteur de nouveauté pure, un poseur de questions, un « prochain
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u’initie l’acte de présence, c’est le temps de la
création
qui naît de l’acte, c’est le rythme imprimé à l’action générale par c
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loi perde à la fois son risque et son pouvoir de
création
(démocratie libérale). Le droit de la personne à primer sur l’ensembl
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er sa vitalité, sa puissance d’assimilation et de
création
, le génie de ses ouvriers, de ses artisans, de ses artistes, de ses «
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valeur spirituelle de ces écrits. Ce n’est pas la
création
, c’est le rabâchage qui rapporte. Publiez un poème, un essai, un roma
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ns l’édition. Moins un livre comporte d’idées, de
création
, d’esprit actif, mieux il se vend. La crise force les éditeurs à se f
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tait vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de toute
création
est dans le visage de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créate
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nnaît dans leur sens primitif, dans le sens de la
création
qui tout entière advient à l’homme. Ainsi l’Adam d’avant le Temps, d’
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ci au lieu de l’incarnation des images — ou de la
création
imaginée. Il faut rendre à ce mot d’imagination son sens fort : c’est
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; elle est dans la volonté, dans l’amour, dans la
création
du contact avec l’objet. » Mais on peut dire cela de Goethe aussi ? E
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e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la
création
du monde. 48. Il dit des personnages de ses romans : « Je ne les aim
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49. Pour autant, bien entendu, qu’il implique une
création
, qu’il résulte d’une mise en présence effective de l’homme et de ce q
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sent-ils à animer toutes les facultés humaines de
création
, d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
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emple : les disciplines imposées par le Plan à la
création
artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
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e. Mais elle est réfutée dans son principe par la
création
culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extéri
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pe par la création culturelle, dès lors que cette
création
vient s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses
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Mais il est totalement impuissant à provoquer la
création
, et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
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par son origine coupé des sources mêmes de toute
création
culturelle, qui jaillissent de la personne, de l’aventure personnelle
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lut, à nous autres nations libérales, est dans la
création
d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
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s ne marquons pas notre avance historique par des
créations
aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
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d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en
créations
toujours nouvelles le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6
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érience : toute tentative de déification (ici, la
création
d’un « homme nouveau ») se termine par d’horribles brûlures — ou par
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ssayiste, avec tout ce que cela peut comporter de
création
personnelle, c’est-à-dire, dans ce cas, ordonnée à une loi qui n’est
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tre pauvres en amour du prochain » ; et : « Toute
création
est communication. Celui qui connaît, celui qui crée, celui qui aime
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! « Nous savons en effet que jusqu’à ce jour, la
création
tout entière gémit dans les angoisses de l’enfantement. Et ce n’est p
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allait lui demander : les prémices d’une nouvelle
création
, et la « révélation des enfants de lumière » ! 21 avril Voici les aff
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c’est la volonté de réintégration générale de la
création
dans son état d’innocence et de grâce, et il n’y aurait pas de poésie
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e personnaliste reste pour nous inséparable de la
création
, de l’avènement et de la durée d’un ordre social personnaliste. Elle
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cette nécessité comme une des conditions de leur
création
. Et nous pensons qu’il n’est pas vain de le prouver en les réunissant
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t au point où ils deviennent les conditions d’une
création
unique. Au niveau de l’instruction publique, nous étouffons dans le m
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une espèce d’asepsie qui tue les germes de toute
création
. (La culture suppose plus de folie, suppose des contaminations multip
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pétuel refus, une volonté d’exclure et de nier la
création
dans sa diversité, d’empêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité d
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eur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle
création
, elle est le double aboutissement de « l’amour-action ». Ce qui niait
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, et vivifiante, dans l’économie provisoire de la
Création
, de l’humain. Le païen ne pouvait autrement que de faire un dieu de l
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ension permanente d’où jaillirent nos plus belles
créations
. Mais ce qui produit la vie produit aussi la mort. Il suffit qu’un ac
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8. Pendant ce temps, on néglige l’essentiel : la
création
de moyens d’action neufs, et qui seraient efficaces justement parce q
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fait impossible.) Or seul le créateur connaît la
création
, seul il est en mesure de la reconnaître là où elle est apparue dans